Le mot wagon viendrait de l'anglais wagon et du néerlandais wagen. Il signifie dans un premier temps « chariot » puis « véhicule couvert pour le transport de marchandises et de passagers ».
Ainsi le nom wagon s'est d'abord prononcé avec un <w> conforme à la prononciation anglaise d'origine, auquel un <v> s'est substitué dans la seconde moitié du 19e siècle, sans doute sous l'influence de l'allemand Wagen – ce qui explique la variante graphique vagon que l'on trouve tant chez Littré que chez Larousse.
On parle de wagons pour les marchandises et les animaux1, et de voitures pour les passagers, même si certains véhicules historiques, ceux de la CIWL (compagnie des wagons-lits et des grands express européens), arboraient le nom de wagon-lit ou de wagon-restaurant ce qui est courant au début du xixe siècle2.
La locomotive, joliment baptisée « Catch me who can » (M'attrape qui peut), a été conçue par l'ingénieur des mines Richard Trevithick, passionné par la motorisation à vapeur. Elle tracte ce jour-là dix tonnes de fer et 60 personnes montées sur cinq wagons, effectuant 16 km en 4 heures et 5 minutes.
Parce qu'on considère que c'est comme ça qu'il doit se prononcer. La consonne "w" a été introduite tardivement dans l'alphabet français*. Wagon étant vu comme la francisation de "wagen" allemand (se prononçant va-gueune) il se prononce "va-gon".
«Wagon» déroge toutefois à cette règle, car il est issu du néerlandais «wagen» (chariot) et qu'il nous est venu par l'anglais. «W. -C.» ne respecte pas non plus la logique, la plupart des Français prononçant [vécé] cette abréviation de l'anglais «water closet».
Pour l'Église flamande, le français était la langue d'un pays qui avait, lors de la Révolution de 1789, retiré son pouvoir à l'Église, et l'Église flamande ne voulait pas risquer de perdre le sien.
Les premiers wagons de ce type furent américains ; wagon « mille-pattes » pour les transports exceptionnels ; wagon articulé, formés d'au moins deux plates-formes fixées l'une à l'autre par une articulation. C'est souvent le cas des wagons de transport d'automobiles, à deux plateformes et trois essieux.
vagón m. Le train n'a que trois wagons. El tren solo tiene tres vagones.
La toute première voie ferrée au monde est mise en service en 1825 au Royaume-Uni par l'ingénieur George Stephenson qui relie par rails les villes de Stockton et Darlington. Sur cette ligne destinée au transport du charbon, les wagons étaient tirés par des locomotives à vapeur.
Véhicule ferroviaire remorqué, destiné au transport des marchandises ou des animaux, par opposition à voiture ; son contenu.
Le néologisme “autosolisme” se compose d'auto et de solo, deux mots qui permettent d'indiquer une pratique solitaire de la conduite d'un véhicule motorisé, plus spécifiquement d'une voiture.
Définition de wagon nom masculin
Véhicule sur rails, tiré par une locomotive. Wagon de marchandises ; wagon à bestiaux. ➙ fourgon. courant, abusivement Voiture d'un train destinée aux voyageurs.
Le v latin initial originellement prononcé comme une semi-consonne s'est consonantisé en [v] en latin vulgaire, alors que les migrations germaniques ont réintroduit le phonème /w/ [w], noté W en gallo-roman.
Les mots commençant par W font leur apparition dans la 5e édition du Dictionnaire de l'Académie (1798), mais non la lettre elle-même.
La prononciation est normalement \v\ dans les mots venant de l'allemand ou de l'alsacien (ou quand la prononciation a été influencée par l'allemand) : walkyrie, Wagner, wagnérien, Lech Walesa, warrant, weltanschauung, wergeld, winstub, woïwodie, wisigoth, wolfram, wormien, würmien, wyandotte…
(familier) ¡vale!
À partir de la deuxième moitié du XIXe siècle, en France, en Suisse et au Canada, la prononciation « ouagon » a été supplantée par la forme francisée « vagon ». Cependant, en Belgique, la prononciation standard est restée celle avec le son [ w ]. Dans le nord de la France, on peut entendre les deux.
Le train est né il y a plus de deux siècles. Le 13 février 1804, il y a 216 ans, Richard Trevithick, un ingénieur anglais, présente un engin extraordinaire, jamais vu : une locomotive à vapeur !
Le plus souvent, la locomotive. se trouve à l'avant du train et tire les wagons ou les voitures derrière elle. Cette disposition (traction) impose une manœuvre à chaque fois que le train change de direction, la " pousse " (locomotive située en queue de rame) est donc de plus en plus utilisée pour les rames légères.
D'après Axel Tihon, professeur d'histoire à l'université de Namur interrogé par L'Avenir, cette rivalité s'explique d'abord par des raisons historiques, au moment de la formation du Royaume de France : “Les principautés belges sont alors perçues comme inférieures par les Français.
Historiquement, la Belgique, le royaume des Pays-Bas et le grand-duché de Luxembourg étaient connus, aux XV e – XVII e siècles, sous le nom de Pays-Bas, région qui correspondait à un territoire un peu plus vaste que l'actuel Benelux, puisque les régions de Lille, Arras, Douai, Valenciennes, Montmédy, ou encore ...
Ce sont les Francs qui auraient donné le nom de Wallon (de walha, nom francique d'une tribu celtique de la Gaule narbonnaise, les Volcae, mais ce nom signifie aussi «étrangers») aux habitants de cette région du sud de la Belgique. Par la suite, les populations flamandes leur auraient attribué le même nom (Waal).