En 2020‑2021, à 18 ans, 55 % des femmes sont inscrites dans le supérieur, contre 44 % des hommes.
À l'inverse, les formations paramédicales et sociales sont très féminisées et comprennent 86 % de femmes. À l'université, elles sont sept sur dix dans les filières Langues, lettres et sciences humaines.
L'enseignement supérieur apparaît plus généralement largement divisé entre des filières " masculinisées " (sciences et techniques) et des filières " féminisées ", comme les formations paramédicales et sociales (85 % de filles) ou les licences en lettres et sciences humaines (70 %).
Le chiffre est criant : seules 28% de femmes sont inscrites dans des formations en ingénierie. Depuis 2013, ce taux ne progresse pas malgré les nombreuses actions menées par les écoles d'ingénieurs et d'autres acteurs de l'enseignement supérieur.
En 2020, 40 % des 48 000 enseignants‐chercheurs universitaires sont des femmes. La proportion de femmes parmi les enseignants‐chercheurs augmente régulièrement depuis la création du statut d'universitaire.
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Les études d'ingénieurs peinent encore à attirer les filles. Elles représentent moins de 30 % des effectifs des écoles. En cause : des préjugés qui ont la vie dure.
Le féminin ingénieure est surtout en usage au Québec. En France, la forme ingénieur est aussi utilisée comme appellation de genre féminin. Personne qui assure, à un haut niveau technique et scientifique, un travail de création, d'organisation, de direction (
De plus le loi permet aux femmes d'exercer tous les métiers car être une femme ce n'est pas un obstacle qui prive le droit et la possibilité de travailler.
Grâce à leurs talents en mathématiques, en physique et en ingénierie, ces femmes ont compris des équations cruciales et ont programmé un système informatique complexe et novateur d'IBM. Leurs réalisations ont renforcé la compétitivité des États-Unis dans la poursuite de technologies spatiales innovantes.
L'ouverture relative des universités aux femmes
En France, la première étudiante, Mary Putnam, est officiellement inscrite en 1868. La Hollande, qui a déjà une longue tradition de mixité dans l'enseignement primaire, l'élargit au secondaire et au supérieur en 1871.
1. Architecte, un métier qui paye bien les femmes. En 2019, 30,7% des femmes sont inscrites dans l'Ordre des architectes. Elles se revendiquent architecte et non « femme architecte ».
Le métier de secrétaire comptable est exercé par 84.6% de femmes pour seulement 15.4% d'hommes (283 000 offres étudiées). Le métier d'agent administratif et d'assistant administratif est exercé par 84.6% de femmes pour seulement 15.4% d'hommes (303 000 offres étudiées).
Depuis les années 80, le travail sur le genre des métiers fait l'objet de nombreuses actions visant à donner une image mixte au métier pour permettre aux hommes et aux femmes de s'y identifier. Il deviendrait ainsi possible de parvenir à des proportions plus équitables d'hommes et de femmes dans les métiers.
Dans le classement 2021 publié par l'institut mi-août, la célèbre université de Harvard aux États-Unis s'est classée première pour la 18e année consécutive.
Pour l'IESF, les secteurs qui payent le mieux sont : la finance et des grands cabinets de conseil. Ainsi, le secteur banque-assurance est celui qui paye, en médiane, le mieux en 2021 avec un salaire médian à 77 850 euros suivi de celui des télécoms (70 000 euros) et des industries de transport 61500).
Le féminin de chercheur est chercheuse ; il suit les règles de formation du féminin et est passé dans l'usage.
Au final, un chercheur perçoit un salaire brut moyen de 4 710 € mensuels, contre 4 840 € pour un enseignant-chercheur, d'où un écart de 180 € mensuels.
Un chercheur est un scientifique de haut niveau qui recherche, expérimente et fait progresser sa discipline : mathématiques, physique, chimie, biologie, médecine, mais aussi psychologie, histoire, sociologie, ethnologie…
La première école professionnelle pour jeunes filles, une école de couture créée par Élisa Lemonnier, ouvre le 1er octobre 1862 . Le 10 avril 1867 , la Loi Duruy réorganise le programme de l'enseignement primaire féminin qui devient national.
Précurseur de Jules Ferry, Victor Duruy, ministre de l'Instruction publique sous le Second Empire, contribue à son tour au développement de l'enseignement primaire par la loi du 10 avril 1867, qui oblige les communes de plus de 500 habitants à se doter d'une école publique pour filles, et qui leur permet d'établir la ...