victime n.f. Personne qui a péri dans une guerre, une catastrophe, un... Qui sacrifie volontairement sa vie, son bonheur.
Victime désigne alors une créature vivante offerte en sacrifice et, par extension, toute personne qui souffre des agissements d'autrui. Il s'emploie ensuite, à partir du XVIIIe siècle, pour indiquer toute personne tuée ou blessée à la suite d'un cataclysme, d'un accident ou d'une violence quelconque.
1. Personne blessée ou tuée. Synonyme : martyr, supplicié.
Une victime est une personne ou une entité qui subit personnellement un dommage.
La victime s'entend généralement de la personne qui subit et qui souffre soit des agissements d'autrui, soit d'événements néfastes. De cette définition il ressort que la victime est un sujet passif, par opposition au sujet actif, celui qui cause le dommage.
Quand une personne assume le rôle de victime, parce qu'elle ne peut pas faire face à la situation qui la dérange ou parce qu'elle ne comprend pas le mal qui l'affecte, elle cherche un des deux objectifs : Inhiber l'agresseur, c'est-à-dire que la victime se montre vaincue, en position d'infériorité de conditions.
Il n'est pas rare que celui qui joue la victime soit une personne contrôlante. Il cherche à éveiller la souffrance des autres et ainsi générer de la solidarité dans son environnement. Attirer l'attention. Comme il a une carence, celui qui se victimise a besoin de setir qu'on prenne soin de lui.
victime n.f. Personne qui a péri dans une guerre, une catastrophe, un... Qui sacrifie volontairement sa vie, son bonheur.
Iconoclaste : Définition simple et facile du dictionnaire.
Omniscient : Définition simple et facile du dictionnaire.
Pourquoi l'auto-victimisation ? La plupart des individus ayant ce positionnement psychique ont souvent un manque de confiance en eux, une perte d'estime à un moment ou à un autre de leur parcours.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Quelques signes présents chez la personne ayant tendance à la victimisation : elle peut avoir tendance à perdre le contrôle de sa vie, à ne pas être capable de se défendre, à laisser les forces extérieures influencer sa vie, ou encore avoir tendance à s'apitoyer.
métier (ex : délinquant qui décide de tuer un agent de police). défense ou état de nécessité). exaspération ou colère d'une autre personne qui va répondre en commettant une infraction. psychologiques hostiles (ex : délits de famille ou entre amis).
Les bons gestes :
- Mettre la victime en position latérale de sécurité (sur le côté) si elle est inconsciente. - Si la victime saigne abondamment, comprimer la plaie. - Couvrir la victime, lui parler, la réconforter. - Demander aux autres passants d'aider.
Si elle est consciente et en fonction de l'emplacement de sa blessure, demandez-lui d'exercer une forte pression continue sur sa plaie pour arrêter le saignement. Si vous le pouvez, enfilez des gants ou protégez vos mains d'un sac plastique ou d'un linge et comprimez vous-même sa blessure jusqu'à l'arrivée des secours.
anthropophobe . (Celui, celle) qui n'aime pas l'homme, les hommes. Synon. misanthrope.
outrecuidant adj. Qui se croit supérieur aux autres.
profiteur (n.m.) 1. personne qui tire des profits immoraux ou malhonnêtes de quelque chose, parfois aux dépens d'autrui.
“Je t'aime” signifie que j'ai besoin de toi parce que j'ai besoin de quelqu'un qui ne m'abandonne pas. J'ai besoin de quelqu'un que je peux utiliser comme un sac de frappe. Quelqu'un qui me fera me sentir bien.
La séduction : le manipulateur commence toujours par séduire sa victime pour mieux la manipuler ensuite. Au départ, il fait tout pour plaire à sa proie pour que celle-ci baisse la garde et se sente en parfaite confiance. Plus on se sent à l'aise avec une personne, moins on s'en méfie.
Le manipulateur risque de vous faire perdre vos moyens et le contrôle de vos émotions. Il est important de rester calme et en maîtrise de soi-même. Évitez de tomber dans l'agressivité et l'hostilité en sa présence. Si vous réagissez par la colère, vous confirmerez au manipulateur qu'il a de l'emprise sur vous.
La victime a tendance, de son côté, à se sentir fautive, à s'en vouloir, à se blâmer, comme pour pomper la culpabilité que l'agresseur se refuse d'assumer. Elle cherchera, inconsciemment, à s'autopunir, à se torturer, à se saboter, au lieu de diriger sa colère vers le malfaiteur.
Une « victime » qui devient « bourreau » à son insu
Parfois, un mécanisme se met en oeuvre qui consiste à non seulement se poser en victime mais aussi, insidieusement, à récupérer de l'intérêt et de l'énergie en culpabilisant les autres, en leur faisant du chantage affectif.
“Le plus souvent, c'est dans l'après-coup que les victimes réalisent ce qui leur est arrivé: le goût que ça laisse. On ne se sent pas bien et tout à coup, on fait une crise d'angoisse… Un viol, c'est un château de cartes qui s'effondre”, analyse Pascal Lapeyre.