Pour retrouver les cinq hivers les plus rigoureux en température moyenne depuis 1900, il faut en revanche remonter plus de 50 ans en arrière : entre 1928 et 1963. L'hiver le plus froid jamais mesuré est celui de 1962-1963, avec une moyenne de 0,7 °C enregistrée de décembre à février, soit 4,7 °C sous la normale.
La commune située à 850 mètres d'altitude près de Mouthe, dans le Doubs, ne bat pas le record détenu par celle-ci, surnommée « la petite Sibérie », qui s'établit à -41 °C (enregistré lors de l'hiver 1985), rappelle le site de La Chaîne Météo.
On enregistre -25° à Luxeuil-les-bains (70), -21° à Mulhouse, -17° à Nancy, -16° à Reims et –13° à Paris mais au vent, le ressenti est plutôt de l'ordre de –25 à –40° !
Du 3 au 7 juin 1983: vague de chaleur - les températures atteignent 34 à 35° en Aquitaine et dépassent les 30° sur presque toute la France - ce sont les prémices d'un été 1983 chaud et très orageux - le 5 juin : un violent orage éclate au Havre où il tombe 73mm d'eau.
En météorologie, l'hiver couvre les mois de décembre, janvier et février, c'est-à-dire la période la plus froide de l'année dans l'hémisphère Nord. C'est la saison du froid, voire des grands froids, mais aussi de la neige, du givre, du brouillard, des pluies verglaçantes et des tempêtes…
Cette tendance devrait se poursuivre à l'avenir. Les huit années les plus chaudes ont toutes été enregistrées depuis 2015, les années 2016, 2019 et 2020 arrivant en tête du classement.
C'est l'hiver 2019-2020 qui détient le record de douceur avec une moyenne 8,1°C, soit 2,7 °C au dessus de la normale, juste devant l'hiver 2015-2016 (+ 2,6 °C). Ayant enregistré près de 2°C au dessus de la normale de saison, les hivers 2006-2007 et 2013-2014 font également partie des cinq plus doux.
en 1945, selon Météo France. Le 1er mai 1945 au matin, Météo France relevait 6 cm de neige dans la capitale. Une semaine après, alors que l'Allemagne capitulait, il faisait 29 degrés à Paris. Puis la chaleur s'est poursuivie jusqu'au 12 mai 1945 avec 30,2 degrés !
Janvier et février 1963 sont glacials mais janvier est très ensoleillé notamment à Paris et à Brest. Du 1er au 9 janvier 1963 : le froid résiste dans l'extrême nord de la France alors que partout ailleurs, il fait presque doux.
Les gelées puis la neige se généralisent à tout le pays et les températures atteignent près de –20° en Lorraine et dans le Morvan, -18° à Limoges et –14° à Alençon. Le 13 janvier, une énorme tempête de neige se déclenche de la Normandie au Poitou-Charentes et à l'Aquitaine.
Du 24 au 29 juin 1947 : la chaleur devient vraiment torride et les 35° sont souvent dépassés - on atteint par exemple 38° à Paris, Bordeaux et Reims, et 40° à l'ombre à Auxerre.
Un immense nuage de poussières toxiques entraîna une baisse de la température mondiale moyenne de 1 °C, provoquant des dérèglements climatiques ressentis jusqu'en Europe en 1452-1453.
Quelle a été la température maximale lors de la canicule de 1976 en France ? Les températures maximales observées en France n'ont pas dépassé les 40 degrés indique Meteo-Paris. Les 15 et 16 juillet 1976 : il fait 38° en Aquitaine, 37 ° à Toulouse et 36° en Lorraine.
Du 20 au 22 avril 1968 : une véritable vague de chaleur, très précoce pour la saison fait monter les températures entre 25 et 30° sur toute la France - on atteint 27 à 28° à Paris - au même moment, les premiers affrontement étudiants se produisent à l'université de Nanterre et il semble que cette grande douceur ait ...
Où vivre en France sans canicule ? Voici quelques endroits idéaux pour se protéger de la canicule : Bretagne : la région bretonne sera assez épargnée par l'augmentation de la chaleur. … La Normandie : elle est idéale pour la culture de la vigne.
Il s'agit, a annoncé Météo France, du « record de précocité du 40 °C en France (hors Corse) ». Jamais il n'avait fait aussi chaud aussi tôt dans l'année en France, depuis le début des mesures en 1947. Le précédent record des 40 °C atteints le plus tôt dans l'année datait de 2003.
La vague de chaleur du début juillet 1957 en France
Fin juin et jusqu'au 7 juillet 1957, la France ainsi que l'Europe connaissent une vague de chaleur avec des maximales qui dépasseront notamment en Auvergne les 35°. Des records seront battus.
Du 15 au 21 octobre 1977 : l'été essaie de se faire pardonner - une chaleur très agréable concerne toute la France - les températures dépassent partout les 20° - on relève jusqu'à 24° à Paris et Angers, 25° à Bordeaux, 26° à Biarritz, Troyes et Auxerre.
Les températures atteignent alors des niveaux records avec –27° à Ambérieux (Ain), -26° à Vichy et Moulins, -23° à St Etienne, -23° à Lyon, -18° à Montpellier, -14° à Dinard et -13° à Paris. La neige réapparaît pour la quatrième fois de l'hiver à Marseille où l'on mesure encore 20 cm !
Chronique 1950
Du 19 au 30 janvier 1950 : période très froide mais sèche et sans dégel - les températures oscillent entre 0 et -10° sur toute la France.
Les 16, 28 et 29 juillet 1978 sont les seules journées estivales partout à la fois - il fait jusqu'à 35° en Aquitaine et plus de 30° sur tout le pays. Dans la nuit du 30 au 31 juillet 1978, de très violents orages souvent accompagnés de torrents de boue éclatent sur un axe Aquitaine, Limousin, Centre, Normandie.
Bora Bora, Polynésie française. Bora Bora - tout comme les autres îles de l'archipel Tuamotu - jouit d'une température moyenne annuelle de 25°C, dans l'air comme dans l'eau.
Brest suit avec 37 °C, puis Quimper avec 39,3 °C. Les hausses prévisionnelles sont moins fortes sur le reste du territoire : 9 °C de plus à Nice (de 33 à 42 °C), 6 °C à Marseille (43 °C désormais selon les estimations). Le record de température est atteint par Nîmes avec 48 °C prévus en 2050.
Le nouveau record est de 46,0 °C mesurés à Vérargues dans l'Hérault le 28 juin 2019.