L'usage veut qu'un taux d'effort de 30% en matière de logement soit considéré comme un seuil à ne pas dépasser, au risque de ne pas laisser suffisamment de marge de manœuvre au ménage pour assumer ses autres charges au-delà de celles du logement.
L'effort net (TEN) est appréhendé par le ratio entre le coût du logement, déduction faite des allocations logement, et les revenus : TEN = (Loyer + Charges forfaitaires - Aides Logements) / (Revenu y compris prestations familiales hors aides logement).
Il est calculé à partir du reste à vivre, c'est-à-dire de la somme qui reste à l'emprunteur une fois ses revenus reçus et ses charges payées. Habituellement, le taux d'effort était fixé à 33 % des revenus.
En général, le taux d'effort locataire ne doit pas excéder les 33 % : le loyer ne doit pas représenter plus d'un tiers des revenus du candidat locataire. Ce pourcentage permet ensuite de déterminer sa capacité locative, c'est-à-dire le montant maximum de loyer qu'il est en mesure de payer chaque mois.
Le taux d'effort est le rapport entre la somme des dépenses liées à l'habitation principale et les revenus des ménages. Les dépenses comprennent pour les propriétaires les remboursements d'emprunt pour l'achat du logement, la taxe foncière et les charges de copropriété.
Un loyer d'un tiers du salaire est généralement conseillé. Ainsi par exemple, pour louer un appartement au loyer de 800 €, un salaire de 2800 € serait exigé. Vous l'aurez compris !
Les locataires peuvent accéder, sous certaines conditions, à des logements à loyer modéré. Ceux-ci sont désignés selon le mode de financement qui a permis de les construire : logements PLAI, PLUS, PLS et PLI.
Sachez qu'en moyenne, le plafond s'élève environ à 14.000 euros pour une personne seule et 26.000 euros pour un couple avec deux enfants. Pour plus d'informations concernant votre demande d'APL, vous pouvez consulter notre article sur l'APL accession.
2. Les logements sociaux PLUS. L'acronyme PLUS correspond à Prêt Locatif à Usage Social. En d'autres termes, il s'agit des habitations à loyer modéré, les HLM.
ne pas dépasser un taux d'effort de 35 % des ressources de l'emprunteur (revenu net avant impôt), limiter la durée de l'emprunt à 25 ans, pouvant s'accompagner d'une période de différé de 2 ans. Notamment dans le cas d'une vente en l'état de futur achèvement (achat sur plan).
Pour la première, suivant le normogramme proposé par Myers, on attend 5 ou 6 METs, soit 60 à 75 watts ; et pour l'homme 11 à 12 METs, soit 140 à 150 watts.
Le test d'effort est maximal et décrit comme normal cliniquement et électriquement : la probabilité d'une maladie coronarienne est faible et le pronostic est bon en raison de la capacité d'effort du patient. Il n'est a priori pas nécessaire de proposer d'autres investigations.
Le salaire du locataire est généralement 3 fois supérieur au montant du loyer. Ainsi par exemple, pour louer un appartement au loyer de 700€, un revenu de 2100€ serait probablement exigé.
« Exemple: pour un loyer CC de 550€, le salaire minimum du locataire doit- être de 1760€ net mensuel. »
Le taux d'effort correspond à un coefficient appliqué au quotient familial, qui tient compte de la composition et des revenus du foyer. Pour définir votre tarif, il vous faut donc multiplier le taux d'effort du service concerné par votre quotient familial.
Le montant de cette aide s'élève en moyenne à 330 euros et touche les personnes au faible revenu ou sans travail. Selon cette enquête, 600 000 ménages éligibles ne recourent pas à cette source d'argent supplémentaire dont le cumul est versé tous les trimestres.
L'APL est attribuée sous conditions de ressources et conformément à certains plafonds variant en fonction de la composition de votre foyer et du lieu de votre logement. Les ressources prises en compte sont celles des 12 derniers mois. Elles sont actualisées de manière automatique tous les 3 mois.
Les principaux motifs de refus de l'APL : Je dépasse le plafond de ressources. Mon logement ne répond pas aux normes de décence. Le logement que j'habite n'est pas ma résidence principale.
Ces ménages prioritaires sont les personnes mal logées, défavorisées ou rencontrant des difficultés particulières de logement, par exemple les personnes reconnues prioritaires au titre du droit au logement, les personnes victimes de violences conjugales, les personnes handicapées, hébergées ou logées temporairement, ...
Il est conseillé de se rendre directement en préfecture ou à la mairie, pour gagner du temps. Autrement, vous pouvez déposer votre document dans votre entreprise, si celle-ci emploie plus de 20 personnes et qu'elle cotise à l'action logement.
Cette règle stipule que notre salaire annuel doit être au moins 40 fois supérieur au prix de la location. En reprenant l'exemple précédent, pour pouvoir payer un loyer de 450 euros par mois, notre salaire annuel devrait être de 18 000 euros.
Gagner 3 fois le loyer : ce n'est pas une obligation !
La pratique consistant à demander des revenus supérieurs à trois fois le montant du loyer est donc finalement un usage, mais rien n'interdit à un propriétaire de choisir un locataire qui gagne moins.
Les conditions de ressource
Pour donner un ordre d'idée, un célibataire doit gagner généralement moins de 1 500 € net mensuel, un couple avec un enfant lorsqu'un seul travail 2 200 € et un couple sans enfant 2 900 €.