Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.
Elle est de l'ordre de 4 ng/mL de sang. Le taux normal de PSA varie en fonction de l'âge du patient: il est de 2,5 ng/mL pour les hommes de moins de 50 ans, de 3, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 50 à 60 ans et de 4, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 60 à 70 ans.
Si l'examen est effectué pour un dépistage, un résultat inférieur à 4 ng/ml est considéré comme une valeur normale. Si le taux est supérieur à 4 ng/ml, il existe un risque de cancer et d'autres examens sont nécessaires pour confirmer ou infirmer le diagnostic.
Cependant il est difficile d'indiquer un taux limite normal pour tous les individus car le taux de PSA varie en fonction de nombreux facteurs et pas uniquement du cancer de la prostate. Ainsi, le PSA augmente avec la taille de la prostate et avec l'âge, même en l'absence de cancer.
Des taux élevés de PSA peuvent indiquer la présence d'un cancer de la prostate, mais peuvent également être causés par d'autres affections courantes non liées au cancer, telles qu'une hypertrophie de la prostate (également appelée hyperplasie bénigne de la prostate ou HBP) ou une inflammation de la prostate (également ...
Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.
La catéchine contenue dans le thé vert contribue également à faire baisser le taux de PSA. Son action antioxydante lui permettrait de protéger l'organisme contre certains cancers.
Le chlordécone, pesticide largement utilisé dans la culture de bananes aux Antilles, pourrait multiplier jusqu'à trois fois le risque de récidive de cancer de la prostate.
La consommation quotidienne de plusieurs tasses de café permettrait de réduire les risques de développer un cancer de la prostate. Boire du café réduit le risque de développer le cancer de la prostate.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
Lors d'une infection urinaire, le PSA peut augmenter parfois au delà de 30 ng/ml. Le PSA provient toujours de la prostate, mais n'importe quelle pathologie prostatique fait monter le PSA et non pas uniquement le cancer. Ne pas faire l'autruche : un taux de PSA élevé impose de consulter un urologue.
Le taux normal serait de moins de 1 µg/l/10 cc de volume de prostate. Le rapport PSA libre / PSA total pour un taux de PSA total compris entre 4 et 10 ng/ml, un rapport < 5 % est évocateur d'un cancer, à l'inverse, un rapport >30 % est plus en faveur d'une maladie bénigne de la prostate.
L'évolution du cancer de la prostate
Le cancer est une maladie qui évolue souvent sur plusieurs années. Contrairement à d'autres types de cancer, celui de la prostate a une croissance relativement lente. Son évolution peut se faire sur 10 ans et plus.
La maladie peut également engendrer des troubles sexuels (dysfonctions de l'érection, éjaculations douloureuses). Si la tumeur s'étend, des douleurs au niveau des os (dos, bassin, jambes) peuvent survenir, ainsi qu'une fatigue et une perte de poids.
Quels sont les examens clés? Une prise de sang permet de connaître le taux d'une protéine naturellement produite par la prostate, l'antigène spécifique de la prostate ou PSA. Une élévation de ce taux par rapport aux valeurs normales (inférieures à 4 ng/ml) peut être le signe d'une anomalie.
Un verre de vin rouge par jour peut-il prémunir contre le cancer de la prostate ? Une consommation modérée de vin rouge n'augmente pas significativement le risque de cancer de la prostate, selon une nouvelle étude. En réalité, elle pourrait même avoir un effet légèrement protecteur.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
On trouve cette molécule dans plusieurs fruits et légumes : pastèque, pamplemousse rose, papaye… Principale source de lycopène, la tomate est un allié alimentaire de choix pour la prostate.
"La capsaïcine a eu un profond effet anti-proliférant sur les cultures de cellules humaines de cancer de la prostate", a souligné l'un des chercheurs ayant participé à l'étude. La découverte est de taille lorsqu'on sait que 680 000 hommes sont atteints chaque année d'un cancer de la prostate dans le monde !
Plusieurs substances composant l'avocat protègeraient du cancer de la prostate. La lutéine augmente la mort des cellules tumorales et la persenone a un rôle anti-inflammatoire.
Si vous êtes souvent embêtés avec des soucis de cystites (pour ces dames) ou de prostate (pour ces messieurs), le miel de bruyère sera votre meilleur allié. Il est très riche en sels minéraux et aide à la dissolution des calculs rénaux.
L'alcool peut-il augmenter le risque de développer une hyperplasie de la prostate? Ce serait plutôt le contraire! D'après l'état actuel de la science, il existe une corrélation négative entre la consommation d'alcool et le risque d'HBP.
Ces éléments font que 95 % des hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate auront une espérance de vie supérieure à 15 ans. Et, même en cas de cancer avancé, la survie a largement progressé, atteignant 5 à 6 ans en cas de cancer métastatique.