CUMULONIMBUS. Ce sont des cumulus de pluie, d'averses, de grêle... Ils forment d'énormes volutes au sommet en panache ou en forme d'enclume, ils peuvent déchaîner des intempéries trés violentes. Le cumulonimbus est le seul nuage qui peut provoquer des orages.
Cumulonimbus (Cb) | Altitude : 300 à 17 000 m
C'est le nuage d'orage. Sa base aux alentours de 300 à 1 000 mètres peut s'étendre verticalement au-delà de 10 000 mètres (jusqu'à la stratosphère où son sommet s'étend, formant une enclume).
Le cumulonimbus : 300 m a 17 km
Ce sont des cumulus annonciateurs de mauvais temps : orages, averses, grêles. Ils sont formés d'énormes volutes au sommet et peuvent engendrer de très violentes intempéries. Ils sont d'ailleurs les seuls nuages à provoquer des orages.
Le stratus donne au ciel un aspect gris uniforme et lourd, style nuage-déprime ! Le stratocumulus se présente en bancs ou nappes grises ou blanchâtres avec des parties sombres. Le pire est le nimbostratus : épais, gris et sombre. Prévision : nuages bas = mauvaise pioche (brouillard, brume, pluie, neige).
Les nuages apparaissent blancs en raison de la diffusion de la lumière par les grosses gouttes d'eau. Les nuages apparaissent gris ou noirs s'ils arrêtent tout ou une partie de la lumière (ombre propre).
D'un blanc éclatant, les cumulus sont des nuages de beau temps, malgré leur taille parfois imposante. Les cumulus ont des contours nets ; ils se développent en forme de mamelons, de dômes ou de tours, dont la partie supérieure bourgeonnante ressemble ordinairement à un chou-fleur.
L'air est alors plus chaud en altitude qu'au niveau du sol, et le soleil ne pénètre pas sous la couche nuageuse pour réchauffer la pellicule d'air froid. Les nuages bas sont alors persistants engendrant des maximales très basses et une luminosité faible.
Les nuages bas
Précipitations associées: bruine ou neige en grain. STRATOCUMULUS (Sc) Banc, nappe ou couche de nuages composés de « dalles, galets ». La plupart des éléments (soudés ou non) ont une largeur apparente supérieure à 5 degrés*. Ils sont constitués de gouttelettes d'eau.
Si le ciel s'assombrit subitement et qu'un fort vent se lève : nul doute que vous êtes sous un orage violent. La base très sombre du nuage indique la très grande hauteur du nuage d'orage. La lumière n'arrive plus à le traverser. Il faut de toute urgence vous mettre à l'abri.
I – Repérer un gradient thermique
C'est celui-ci qui vous permettra de repérer un risque orageux parfois plusieurs jours à l'avance. En effet, une différence de température entre le sol et l'altitude sera le premier paramètre déclencheur, c'est celle-ci qui engendre la notion de l'instabilité atmosphérique.
Nuages séparés, à contours bien définis, se développant verticalement. La partie supérieure prend souvent la forme d'un chou-fleur. Quand le Soleil les éclaire, ils sont d'un blanc éclatant. Gros nuages donc les sommets sont aplatis et s'étalent souvent en forme d'enclume.
Cela entraîne donc une inversion de température, ce qui rend l'atmosphère plus stable. La présence de la couche limite, qui est la délimitation entre l'air plus chaud en altitude et l'air plus froid en surface, est en partie responsable du puissant tonnerre nocturne.
Le cirrus est un genre de nuage présent dans la couche supérieure de la troposphère (entre 5 000 et 14 000 mètres d'altitude, dépendant de la latitude et de la saison), formé de cristaux de glace. Ces nuages ont l'apparence de filaments blancs et ne causent pas de précipitations.
A 10 000 mètres d'altitude, inutile de vérifier la météo : il fait toujours beau. C'est très difficile à imaginer quand on est sous la grisaille ou la pluie, mais il existe un lieu privilégié où les nuages forment un matelas sur lequel s'allonger pour mieux profiter du soleil.
Une ligne rouge avec des demi-cercles sur un côté représente des fronts chauds. Le côté où se trouvent les demi-cercles représente la direction prise par le front chaud. Les fronts stationnaires, il s'agit d'une frontière immobile entre deux masses d'air différentes.
En règle générale, la base des nuages de l'étage supérieur se trouve à une altitude dépassant environ 5 000 mètres (16 500 pieds); celle des nuages de l'étage moyen, à une altitude comprise entre 2 000 et 7 000 m (6 500 à 23 000 pieds); et celle des nuages de l'étage inférieur, à une altitude maximale de 2 000 m (6 500 ...
Le nuage, en apparence statique, a en réalité une dynamique importante. Les courants ascendants à l'intérieur agitent les gouttes d'eau, leur permettant de rester en suspension. Fort de tous ces mouvements, les gouttelettes, et donc le nuage, ne tombent pas.
Le cumulonimbus est le nuage caractéristique des phénomènes orageux. Il est également responsable de toutes les chutes de grêle. Ce nuage géant et menaçant, large de 5 à 15 km, peut s'élever jusqu'à 15 km d'altitude sous nos latitudes.
La vapeur se condense alors en gouttelettes ou en cristaux de glace qui réfractent la lumière et font apparaître le nuage. En l'absence de vent, l'air forme des strates où la température est constante sur une vaste superficie ; c'est pourquoi les nuages dont la base est plate sont souvent de beaux cumulonimbus.
Depuis ce mardi 15 mars au matin, de nombreux clichés montrant un ciel dont la couleur va du jaune à l'orange, ou des voitures salies par des résidus de poussière, intriguent les internautes. Ce phénomène, constaté dans plusieurs villes de France, est en réalité dû à un épisode météorologique : le sable du Sahara.
La grêle se forme dans un nuage d'orage en présence d'une importante quantité d'eau en surfusion (eau liquide alors que la température est inférieure à 0°C). Lorsque ces gouttes d'eau rencontrent une impureté (poussières, pollens,..) la cristallisation s'effectue et le grêlon se forme.
Comme nous l'avons expliqué, l'effet des températures. Les plus chauds se produisent généralement pendant la journée, pas la nuit. La nuit, il n'y a pas tellement d'évaporation, à part le sol considérablement plus froid. Tout cela fait que la grêle passe inaperçue.