Étymologie. (1050) De l'ancien français seignor, cas régime de sire (déjà dans les Serments de Strasbourg), et qui remonte au latin seniorem , accusatif de senior « aîné, plus âgé ».
1. Propriétaire féodal. 2. Sous l'Ancien Régime, personne noble de haut rang.
[Ancien Testament] Dieu le Père.
grand seigneur masculin
(Figuré) Personne vivant avec magnificence et générosité.
Difficultés de seigneur
Prend une majuscule dans "le Seigneur". Par ailleurs, on lie par un trait d'union "Notre-Seigneur", Jésus-Christ. Cependant, on supprime le trait d'union et on garde la majuscule quand on écrit "le Grand Seigneur, sultan de Turquie".
Dans la pensée médiévale, toutes les femmes sont des « filles d'Ève ». Elles sont donc réputées faibles – dans le droit, on utilise les concepts de « sexe faible » (fragilitas sexus ou infirmitas sexus) –, versatiles, excessives – en particulier, elles parlent trop –, lascives et portées à la luxure.
Au Moyen Âge, celle qui possédait une seigneurie, avec autorité et commandement sur des vassaux. Haute et puissante dame. Femme de haute naissance ou de très haut rang.
« Ma dame » est une marque de respect dès le XIIIe siècle. Le sens s'affaiblit après le moyen-âge. Il ne désigne plus ni une femme noble, ni une femme mariée, mais simplement une femme avec un rang social.
Jésus y est présenté comme « Seigneur » investi de la puissance divine. Paul présente Jésus dans son épitre aux Romains, en 9, 5 comme étant "au dessus de toutes choses, Dieu béni éternellement".
Le seigneur est un titre pour désigner Dieu dans la liturgie chrétienne. Bien qu'il désigne Dieu le Père dans l'Ancien Testament, il sert aussi à nommer son fils, le Christ à partir du Nouveau Testament.
Nom souvent donné à Dieu dans l'Ancien Testament. Dans la Bible hébraïque, ce mot est lu à la place du tétragramme sacré YHWH (ou YHVH), dont le nom ne devait être prononcé sous peine de sacrilège. (→ Yahvé.)
Sauveur n.m. et adj. m. = (celui) qui sauve, qui participe au salut de qqn ou qqch. Toujours masculin, même pour désigner une femme : elle a été mon sauveur à ce moment difficile de ma vie.
a) Celui, celle qui relève d'un seigneur, à cause d'un fief qu'il lui a concédé en échange de foi et hommage. Dans le moyen âge et tant que la féodalité conserva son empire, tous ceux qui tenaient des terres du seigneur (ceux que la langue féodale nommait proprement des vassaux) (...)
Nom commun - français. (Botanique) Celui qui récolte les sagnes dans les roselières.
« Demoiselle » (et sa variante « damoiselle ») vient du latin vulgaire « domnicella », diminutif de « domina » désignant une femme noble. Une demoiselle est donc au sens premier une jeune fille noble.
Le latin fēmĭna était en concurrence sur le territoire gallo-romain avec les mots mulier (« femme ») et uxor (« épouse »). Ces deux derniers mots passeront en ancien français, sous la forme : moillier (« épouse, femme ») et oissour (« épouse »).
Le suzerain devait protection et justice à ses vassaux. adjectif Dame suzeraine. déf.
➙ fillette. Jeune fille : fille nubile ou femme jeune non mariée (équivalent plus soutenu de fille, ci-dessous). ➙ demoiselle ; mademoiselle.
En cette Journée internationale des femmes, nous honorons les femmes et les filles du monde entier. Nous rendons hommage à leur rôle dans la lutte contre la pandémie de COVID-19, à leurs idées, leurs innovations et leur activisme, qui rendent notre monde meilleur, et à leur leadership sur tous les fronts.
N'écrivez pas que vous êtes « dans le secret des Dieux », mais que vous êtes « dans le secret des dieux ». « Dieu » ne prend une majuscule que s'il s'agit de celui, unique, que vénèrent les religions monothéistes. Les divinités païennes doivent, elles, se contenter de la minuscule.
Considéré comme un nom propre, le nom « Dieu » prend alors une majuscule ainsi que les métonymies ou les pronoms qui s'y substituent.
«Dans les religions historiques, note le thésaurus, principalement dans la tradition judéo-chrétienne, le mot est généralement orthographié avec une majuscule, parce que assimilé à un nom propre.»