Quelle partie du corps dégage le plus de chaleur? D'une manière générale, c'est la partie haute du corps, et plus particulièrement la tête. En effet, le cerveau reçoit un débit sanguin important en comparaison des autres régions du corps.
Notre corps est idéalement à une température de 37°C, c'est à cette température que le noyau du corps fonctionne. Cependant plus l'on s'éloigne de ce noyau et plus la température baisse. Et c'est au niveau des extrémités (mains, doigts, pieds) que nous atteignons la température la plus froide égale à 30°.
D'après une étude récente menée sur des jeunes hommes et femmes en pleine santé, la limite de température humide supportable par nos corps serait en fait plus proche des 31 degrés, soit une température extérieure de 31 degrés combinée à un taux d'humidité de 100%, ou de 38 degrés si le taux est de 50%.
Les voies de régulation
L'hypothalamus est le centre de contrôle de la thermorégulation. C'est là que se trouvent des récepteurs sensibles à la température (thermorécepteurs) qui enregistrent la température du noyau central.
Lorsque l'on a chaud, le corps fait circuler davantage de sang dans la peau.
Le sang possède un goût salé et métallique, d'une couleur rouge écarlate quand il est riche en oxygène (sang artériel), et rouge sombre quand il est dépourvu d'oxygène (sang veineux).
Selon le système de groupes sanguins le plus important, le système ABO combiné au facteur rhésus, le groupe sanguin le plus rare est le groupe AB-, tandis que le plus courant est O+.
En théorie, le corps se refroidit pendant la phase où l'on dort et se réchauffe lorsque l'on est éveillé. La somnolence est donc maximale lors que la température corporelle diminue et les difficultés d'endormissement apparaissent au contraire lorsque la température de notre corps est trop élevée.
D'où vient la chaleur du corps ? Des organes ou plus précisément des cellules. Elles produisent de la chaleur en fonctionnant grâce à l'énergie fournie par la nourriture que nous absorbons, ou aux stocks glucidiques ou lipidiques du corps.
Notre corps est composé de cellules qui ont besoin de nourriture pour vivre. Les cellules brulent la graisse et le sucre, libérant ainsi de l'énergie, dont 25% peut les faire fonctionner mais 75% part en chaleur. C'est pourquoi notre corps, même au repos, produit de la chaleur.
La fièvre est caractérisée par une température corporelle généralement supérieure à 38°C. Mais elle peut s'élever bien plus haut. La plus forte fièvre relevée par des médecins était de 42,7°C. L'hyperthermie est considérée comme un risque mortel au-delà de 41,6°C.
#1 La ville de Koweït au Koweït
C'est notamment le cas avec la ville du Koweït considérée comme la ville la plus chaude du monde pour beaucoup de personnes. Les températures avoisinent très régulièrement les 50 degrés Celsius sans jamais vraiment retomber et pouvant aller jusqu'à 52,1 degrés en plein mois de juillet.
Mais la température la plus basse qui puisse exister est de... -273,16°C. On ne pourra jamais descendre en dessous. C'est l'une des particularités de la température que d'avoir une limite de froideur, mais pas de limite de chaleur.
La valeur moyenne de la température tes- ticulaire chez l'homme se situe entre 33 et 34°C, celle du scrotum (mesurée simultanément) entre 32,6 et 33,4°C [16]. ELEVATION EXPERIMENTALE DE LA TEMPERATURE TESTICULAIRE SCROTALE CHEZ L'HOMME.
La chaleur du corps est en effet produite par le métabolisme des aliments et par le «travail» fourni par les différents muscles et organes qui «brûlent» de l'oxygène.
« L'hypothalamus est une zone du cerveau qui contrôle de nombreuses fonctions métaboliques de base, la faim, la soif, l'horloge biologique ou le contrôle de la température, note Axel Kahn, généticien à l'Institut Cochin. Il est donc plutôt rassurant d'y trouver le centre de contrôle de la fièvre.
Certaines personnes oxydent plus rapidement les molécules et génèrent plus de chaleur. Cette différence s'expliquerait par notre patrimoine génétique et notre vécu, propre et unique à chacun. Cette différence fondamentale pourrait aussi expliquer cette inégalité dans la perception du froid entre les individus.
"Chez l'Homme, cette température moyenne varie entre 36,1° et 37,8°, sachant que celle-ci varie en fonction du moment de la journée, classiquement supérieure de 0.5 °C le soir par rapport au matin", précise l'expert.
Il faut savoir qu'il est normal que l'on puisse entendre en dormant, puisque le cerveau reste actif pendant la nuit. Selon les phases du sommeil, certaines parties demeurent plus actives que d'autres, mais, en général, l'oreille continue de capter les sons environnants.
Pendant le sommeil, les neurones sont, comme on l'a vu , encore actifs mais les échanges entre les différents réseaux de ton cerveau diminuent, la communication est moins intense que pendant l'éveil et l'information ne transite pas à travers toutes ses parties.
La baisse de température du corps est donc un catalyseur de la somnolence qui conduit au sommeil. Cette baisse de température se produit par un mécanisme de vasodilatation des vaisseaux au niveau de la peau qui conduit à abaisser la température du corps en permettant une plus grande dissipation de l'énergie du corps.
Une étude japonaise réalisée en 2004 a montré que le moustique tigre était plus attiré par les individus de groupe sanguin O. Les personnes de ce groupe sanguin auraient 85% de risque supplémentaire d'attirer les moustiques, contre seulement 45 % de risque pour les autres groupes sanguins.
Recherché pour ses globules rouges, ses plaquettes et son plasma : c'est le groupe parfait ! Par chance, c'est le plus représenté dans la population. Comme le groupe A, on ne peut s'en passer car ses globules rouges, ses plaquettes et son plasma sont très demandés.
Ainsi, le groupe O- est destiné à tout le monde; on l'appelle « donneur universel ». On utilisera donc, entre autres, du sang O- dans les situations d'urgence. À l'inverse, le groupe AB+ peut recevoir du sang de tous les groupes sanguins; c'est donc le groupe appelé « receveur universel ».
Si du sang est avalé, il est souvent vomi parce qu'il irrite l'estomac. Le sang avalé peut passer dans le tube digestif et apparaître dans les selles sous forme de selles goudronneuses noires.