Néanmoins, en cas de surdosage de Tramadol (plus de 400 mg par jour), une somnolence, un évanouissement, des nausées voire des vomissements peuvent apparaître.
Si vous ressentez le besoin d'augmenter les doses ou la fréquence des prises, consultez à nouveau votre médecin. L'usage du tramadol ne doit pas être banalisé. Cet opioïde puissant peut avoir des effets indésirables graves. Il est contre-indiqué dans plusieurs cas (insuffisance respiratoire ou rénale, épilepsie, etc.).
Le tramadol provoque fréquemment des troubles digestifs, comme les nausées et la constipation, des vertiges, la bouche sèche, une somnolence. La revue Prescrire soulignait le risque de troubles du rythme cardiaque et d'hypoglycémie, particulièrement dangereuse chez les personnes âgées.
Pour devenir dépendant de ce genre de médicament c'est entre 2 semaine et 1 mois de prise pour ça il faut bien suivre les prescription quand vous prenez un anti douleur et faire un sevrage ne pas arrêté d'un coup .
Posologie usuelle :
douleur aiguë : 2 gélules lors de la première prise, puis 1 ou 2 gélules lors des prises suivantes, à renouveler si nécessaire toutes les 4 à 6 heures. douleur chronique : 1 ou 2 gélules toutes les 4 à 6 heures.
En effet, le tramadol sans association est le plus puissant des antalgiques opioïdes de niveau II , et son conditionnement permet des doses importantes (jusqu'à 400 mg par jour).
Le tramadol n'est pas considéré comme un produit dopant. Utilisé fréquemment par les cyclistes, il ne fait pas partie des substances interdites par l'Agence mondiale du dopage. Mais à cause de son effet sur la douleur et par ricochet sur la performance sportive, il est sous surveillance depuis 2012 par l'agence.
Ne dépassez pas 400 mg de chlorhydrate de tramadol par jour, sauf si votre médecin vous l'a prescrit. Un comprimé de TRAMADOL VIATRIS LP 150 mg, comprimé à libération prolongée deux fois par jour (ce qui représente 300 mg de chlorhydrate de tramadol par jour), de préférence matin et soir.
Le tramadol est un analgésique opioïde synthétique vendu au Canada depuis 2005. Il est réglementé en vertu de la Loi sur les aliments et drogues et n'est disponible que sur ordonnance.
Pour les sujets dégradant peu la codéine, il est possible de prescrire du tramadol. Il se lie aux récepteurs opioïdes mu (avec une faible affinité), mais inhibe aussi, dans les neurones, la « recapture » de deux neuromédiateurs, la sérotonine et la noradrénaline, à l'instar des antidépresseurs.
"Ce sont des douleurs liées au manque alors même que la douleur initiale n'est plus là. Les autres signes sont des tremblements, des sueurs, une sensation de chaud-froid, le nez qui coule, ou encore des diarrhées."
Ainsi le tramadol est interdit par l'UCI en cyclisme plus en raison des risques liés aux effets secondaires que par un effet dopant.
Le tramadol, seul (Topalgic, Contramal...) ou avec du paracétamol (Ixprim, Zaldiar...), peut entraîner vertiges, céphalées et somnolence, surtout à doses élevées. Dans tous les cas, éviter les boissons alcoolisées au cours du traitement.
Le Tramadol est connu sous d'autres appellations : Tra, Tramol-Monsieur, Maiguwa, Goudou… [3]. Les opiacés sont des substances dérivées de l'opium. Ces produits sont d'origine naturelle ou synthétique.
Le tramadol n'est pas un dérivé de la morphine mais une molécule originale qui agit sur les récepteurs du cerveau sensibles à la morphine, ainsi que sur les récepteurs d'autres messagers chimiques du cerveau (sérotonine et noradrénaline).
Posologie et mode d'administration
Une dose quotidienne de 400 mg de tramadol ne doit pas être dépassée sauf circonstances cliniques particulières. La dose initiale habituelle est de 50 à 100 mg de chlorhydrate de tramadol deux fois par jour, matin et soir.
La dose d'attaque est de 100 mg (2 comprimés) suivie de 50 ou 100 mg (1 ou 2 comprimés) toutes les 4-6 heures sans dépasser 400 mg/24 h (8 comprimés).
Une option est une diminution progressive des doses de tramadol, par paliers d'environ 5 à 10 % toutes les 1 à 4 semaines. Les patients peuvent adapter le calendrier de sevrage : soit en réduisant moins les doses quotidiennes, soit en allongeant la durée des paliers.
Cette substance opioïde est intéressante pour soulager les douleurs modérées à intenses qu'elles soient chroniques ou aiguës. On peut, par exemple, l'utiliser en cas de lombalgie ou de lumbago (douleur dans le bas du dos) ou de zona en phase aiguë.
des antidépresseurs ISRS (comme le Prozac) et inhibiteurs MAO. des anticoagulants (les effets de ces médicaments peuvent être accrus et entraîner une hémorragie. des tranquillisants, somnifères ou autres antalgiques de niveau 2 (morphine ou codéine)
Trois familles d'antidouleurs sont disponibles sans ordonnance : Les dérivés du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…) Les dérives de l'acide acétylsalicylique (Aspirine, Aspégic…) Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (Advil, Nurofène, Voltarène…)
On savait depuis pas mal de temps que le tramadol était un produit couramment consommé par les coureurs cyclistes professionnels. Ce médicament n'augmente pas les performances physiques mais il permet de repousser la douleur, une propriété intéressante, surtout dans les 50 derniers kilomètres d'une course.
Le tramadol commence habituellement à agir dans l'heure suivant sa prise.
Je conseille dans les douleurs de prendre le doliprane et si celle-ci ne cède pas alors compléter au tramadol qui a une action plus puissante, mais des effets secondaires plus marqués comme des étourdissements, de la somnolence, des nausées et de la constipation.
Si vous remarquez l'un des effets indésirables suivants, vous devez arrêter de prendre ce médicament et consulter immédiatement un médecin : respiration lente ou superficielle, confusion, somnolence, rétrécissement des pupilles, nausées ou vomissements, constipation, perte d'appétit.