Avec environ 5 260 km de diamètre, Ganymède est le plus grand satellite naturel du Système solaire, légèrement plus grand que le second, Titan (5 150 km ), un satellite de Saturne. Il est aussi plus grand que la planète Mercure (4 878 km ) et la planète naine Pluton.
Si on s'envole encore plus loin, on découvre sans doute le plus ancien satellite de la Terre : la Lune. 360 000 kilomètres nous séparent, et sa révolution orbitale dure 28 jours. C'est pour ça qu'on voit la pleine lune environ une fois par mois.
Avec 20 nouvelles lunes, Saturne devient la planète avec le plus de satellites | National Geographic.
La planète Neptune possède 14 satellites, tous nommés.
Ganymède. Article détaillé : Ganymède (lune).
Comme la Lune et les planètes, les satellites artificiels reflètent la lumière du Soleil. À l'aube ou au crépuscule, ces objets spatiaux sont visibles à l'œil nu, apparaissant sous forme de points lumineux dans le ciel.
Les débris spatiaux finissent par brûler en grande partie dans l'atmosphère terrestre lors de leur rentrée atmosphérique, mais de 10 % à 40 % de leur masse reste intacte et revient sur la Terre.
Mis en orbite dans la nuit du 3 au 4 juin, les 60 nouveaux satellites Starlink de SpaceX peuvent être observés dans le ciel Un premier passage facilement observable est prévu dans la soirée du 4 juin.
Uranus jette un froid
Mais on ne l'a découverte qu'en 1781 grâce à l'invention du télescope, peut-être aussi parce qu'elle brille très peu et qu'il est presque impossible de la voir à soleil nu. C'est la planète la plus froide du système solaire, avec des pointes à -220°C.
Le 4 octobre 1957, l'Union soviétique lançait Spoutnik 1, le premier satellite artificiel en orbite autour de la Terre. Le 3 novembre 1957, l'URSS récidivait en lançant Spoutnik 2 avec à son bord le premier organisme vivant à aller dans l'espace, une chienne dénommée Laïka.
La surface de Vénus est dominée par un intense volcanisme, et comporte plus de volcans que les autres planètes du système solaire.
Des nuages fins donnent un éclat rougeoyant à la pleine lune au-dessus de l'océan parsemé d'icebergs en Antarctique. La Lune est le seul satellite naturel de la Terre. Elle est notre compagnon le plus fidèle. Elle orbite autour de la Terre depuis des milliards d'années.
Cette planète n'étant pas solide, il serait déjà impossible de s'y poser. Et quand bien même, le climat n'est pas du tout propice à la vie sur Saturne. Les vents atteignent des rafales de 1 400 km/h, et comme mentionné plus haut, la température à la surface de Saturne descend jusqu'à -190°C.
Pour rester en orbite, un satellite doit avoir une très grande vitesse, qui dépend de sa hauteur. Pour une orbite circulaire à 300 km au-dessus de la surface de la Terre, il faut par exemple une vitesse de 7,8 km/s (28 000 km/h).
Chaque satellite ne mesure que quelques mètres de côté, panneaux solaires compris, et n'émettent pas de lumière propre. S'ils brillent dans le ciel nocturne, c'est à cause du Soleil.
En frôlant le soleil ce 29 avril à 532 000 km/h, l'objet est le plus rapide jamais conçu par l'humanité. La sonde Parker, fabriquée par la Nasa, peut ainsi parcourir plus de 140 kilomètres en une seconde. À cette vitesse, elle pourrait rejoindre la Lune depuis la Terre en seulement 43 minutes, selon Futura Sciences.
La planète qui en est le plus proche, Mercure, serait un petit grain de 2,5 millimètres gravitant en moyenne à 29 mètres de lui ! Vénus, elle, serait un gros grain de 6 millimètres tournant à 54 mètres de l'astre du jour.
Dans le bestiaire cosmique, KELT-9b est le premier spécimen de planète qualifiée d'« ultra chaude ».
Bien que Vénus soit la deuxième planète à partir du Soleil, c'est elle et non Mercure qui est la planète la plus chaude du Système solaire. La température élevée de Vénus est causée par son atmosphère très épaisse, au moins 90 fois plus épaisse que celle de la Terre!
La durée de vie d'un satellite, variable selon le type de mission, peut atteindre quinze ans. Les progrès de l'électronique permettent également de concevoir des microsatellites capables d'effectuer des missions élaborées.
L'orbite des satellites morts
Un satellite en orbite géostationnaire se situe à 36.000 km au-dessus de nos têtes. Pour espérer le renvoyer dans "l'incinérateur atmosphérique" lorsqu'il arrive en fin de vie, il faudrait garder en réserve des quantités importantes de carburant.
Il est en fait installé dans un équilibre délicat, attiré à la fois par la Terre et sa gravité et par le vide intersidéral à cause de sa vitesse rapide qui le « pousse » vers l'extérieur de sa courbe.
Même si l'atmosphère de la Terre, à quelques centaines de kilomètres d'altitude, est extrêmement ténue, le frottement contre les molécules d'air résiduelles des satellites artificiels réduit leur énergie et les fait redescendre progressivement. Plus leur orbite est basse, plus ils retombent vite sur Terre.
L'organisme chargé de veiller à ce que les objectifs de chacune de ces missions soient atteints est le Centre européen de contrôle des satellites ou ESOC (European Space Operations Centre). Sis à Darmstadt, en Allemagne, il fait partie de l' Agence spatiale européenne.
Un récepteur GNSS a besoin d'un minimum de 4 satellites pour être en mesure de calculer sa propre position. Trois satellites vont déterminer la latitude, longitude, et la hauteur. Tandis que le quatrième permet de synchroniser l'horloge interne du récepteur.