Le vin rouge est la boisson alcoolisée la plus nocive pour la peau, notamment en présence d'une affection cutanée comme la rosacée (dilatation permanente des vaisseaux sanguins qui donne à la peau une apparence rougeaude et, dans certains cas, provoque une irritation, l'apparition de boutons ainsi que des plaques ...
Sur une échelle de dangerosité de 0 à 100, l'alcool est évalué à 72, l'héroïne à 55 et le crack à 54. Mais si l'on considère les seuls effets sur le corps humain, l'héroïne, le crack et la méthamphétamine sont les plus mortelles.
L'alcool doit être clair
J'ai nommé Vodka, Gin, et Saké. Plus un alcool est clair, moins il contient d'impuretés liées à la fermentation que notre corps a du mal à assimiler.
Pour éviter les nausées et les maux de tête du lendemain, mieux vaut éviter les alcools forts (plus de 40°c) en début de repas car ils favorisent un enivrement rapide. En pratique : évitez le whisky ou le ricard et préférez le champagne, le vin ou la bière dont les valeurs sont moyennes.
Le vin et une consommation ancienne moins délétères
Le risque était d'autant plus important que la consommation d'alcool était récente, c'est-à-dire chez les plus âgés (40-59 ans). Le type d'alcool consommé a aussi une influence. Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts.
C'est surtout le vin rouge, du fait de sa forte teneur en tanins, qui est à incriminer mais d'autres boissons alcoolisées peuvent aussi susciter des migraines.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
L'alcool est un cancérogène avéré pour l'homme (groupe 1 du CIRC). Les cancers dont le lien avec la consommation d'alcool est avéré sont les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) , de l'œsophage, du foie, du sein chez la femme, et le cancer colorectal (WCRF/AICR, 2018).
Le whisky détruit les cellules hépatiques
Pendant très longtemps, la première cause du cancer du foie a été la cirrhose alcoolique.
Les effets à long terme de l'alcool sur le cerveau
Une consommation régulière et excessive d'alcool peut être responsable de troubles cognitifs : altération de la mémoire, des capacités de planification, d'attention et de prise de décisions.
Conclusion : le whisky ne dilate - et encore très légèrement - les coronaires que chez la moitié des individus, quel que soit d'ailleurs leur état de santé.
Une consommation régulière de bière est associée au risque de cancer de la prostate. Boire de la bière à tous les jours, sur une longue période, est associé à un risque d'être atteint d'un cancer de la prostate agressif, selon une étude menée auprès de 3927 hommes du grand Montréal.
Le meilleur alcool reste le vin rouge de producteurs de vins naturels. C'est ce qu'il y a de mieux parce que vous aurez très peu de sulfites. Le vin rouge est aussi beaucoup moins acide que le vin blanc et contient des antioxydants.
Le whisky est riche en antioxydants
Tout comme certaines bières brunes ou le vin rouge, le whisky est une boisson riche en antioxydants. Les antioxydants, présents dans de nombreux aliments également, permettent de réduire le taux de mauvais cholestérol, tout en stimulant la production du bon cholestérol.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Généralement, le cancer du foie se manifeste par un amaigrissement important, une perte d'appétit, des nausées, des douleurs dans la partie supérieure droite de l'abdomen, voire une masse détectable à la palpation. Ces symptômes nécessitent donc un avis médical et, au besoin, des examens complémentaires.
La maladie touche essentiellement des personnes de plus de 55 ans. Le diagnostic est posé en moyenne à 73 ans pour les femmes et 70 ans pour les hommes, généralement à un stade évolué, ce qui explique le mauvais pronostic de la maladie.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Buvez 1,5L à 2L d'eau par jour
Il est donc important de bien boire, à savoir entre 1,5L et 2L d'eau par jour, pour que le foie puisse faire son travail correctement et éliminer les déchets. C'est pour cette raison qu'il est particulièrement important de boire beaucoup d'eau lorsque l'on consomme de l'alcool.
Il est scientifiquement prouvé qu'arrêter l'alcool permet de perdre du poids. En une seule semaine vous pouvez éliminer de 0.5 kg à 2 kgs. Au bout de quatre semaines, la perte de graisse est plus marquée et on commence à percevoir un vrai changement.
Des chercheurs du King's College London viennent de publier une étude dans le journal Gastroenterology, dans laquelle ils affirment que le vin rouge serait bon pour le microbiote intestinal.
Si vous y êtes sensible optez pour un verre de vin rouge ou de champagne à la place d'un vin blanc ou d'un rosé demi-sec. Et en ce qui concerne le mal de tête, tout dépend de la quantité ingérée.
Il ne faut pas penser que seuls les alcools forts peuvent donner une diarrhée, car l'effet ne provient pas du degré absorbé. “Dans les faits, ce n'est pas le type d'alcool qui a un effet, mais bien la quantité ingérée par la personne.