Parmi ces édulcorants en poudre, on trouve l'aspartame et le sucralose. Avec 4 calories pour 1 g, l'aspartame a un pouvoir sucrant 180 fois supérieur à celui du sucre. Le sucralose quant à lui, est à zéro calorie et a un pouvoir sucrant 600 fois supérieur à celui du sucre.
On entend souvent parler du miel comme l'aliment phare pour remplacer le traditionnel sucre blanc dans nos assiettes. Il possède effectivement l'avantage de contenir des minéraux (magnésium, calcium, potassium, fer) et des vitamines (B et C), même si la teneur reste faible.
Sucre de coco biologique : c'est l'édulcorant préféré des adeptes de la cuisine, car il s'accommode parfaitement à la cuisson. Malgré son goût caramélisé, son indice glycémique est seulement de 35 et il remplace facilement le sucre dans les recettes de desserts (1 dose de sucre de coco pour 1 dose de sucre raffiné).
Stevia. Le stevia est un édulcorant naturel qui provient des feuilles de l'arbuste sud-américain Stevia rebaudiana. Les fabricants extraient des feuilles de la plante des composés chimiques appelés glycosides de stéviol. Ces composés ne contiennent pas de calories, sont jusqu'à 450 fois plus sucrés que le sucre.
A l'heure actuelle, aucun effet secondaire n'est à déplorer même si la controverse demeure : pas d'effets cancérogènes, mutagènes, elle n'est pas toxique en tous cas dans les quantités raisonnables (ne pas dépasser 1 g de stévia par jour, ce qui est malgré tout considérable).
Aussi connus sous le nom d'édulcorants de synthèse ou de substituts de sucre, les «faux sucres» sont des substances issues de la transformation en laboratoire de différents composés chimiques. Parmi les plus populaires: l'aspartame, le sucralose, la saccharine et l'acésulfame-potassium.
La consommation d'édulcorants est associée à un risque plus élevé de cancer. Aspartame, saccharine, acésulfame-K... Selon une nouvelle étude de l'Inserm, les édulcorants peuvent avoir des effets délétères. Les plus gros consommateurs d'édulcorants ont notamment plus de risque de développer un cancer.
Les résultats des études longitudinales indiquent de plus que la consommation régulière d'édulcorants non nutritifs est associée à une augmentation du poids et du tour de taille, ainsi qu'à une incidence accrue d'obésité, d'hypertension, de diabète et d'accidents cardiovasculaires.
La consommation d'aspartame, de saccharine, d'acésulfame-potassium, de cyclamates, de sucralose, de glycosides de stéviol et de polyols est sécuritaire pour les personnes diabétiques.
(lanutrition.fr) Enfin, pour notre gâteau tout choco, on a choisi les deux sucres ayant les IG les plus bas : le sucre de fleur de coco, avec un IG de 35 et le miel d'acacia, aussi réputé pour son IG faible de seulement 35.
"La stévia n'est pas dangereuse. La stévia est issue d'une plante, elle a un pouvoir sucrant très important. Elle donne le goût comme le sucre, mais elle n'a pas de calories.
Seul le sucre de canne complet ou intégral, dépourvu de sa mélasse et obtenu en déshydratant du jus de canne à sucre, est bénéfique pour la santé. Issu de l'agriculture biologique, il ne subit aucune transformation ni raffinage et conserve tous les sels minéraux, vitamines et acides aminés de la canne à sucre.
Comme son nom l'indique, le Coca-Cola Zéro ne contient certes aucun sucre mais fait la part belle aux édulcorants (acésulfame K, aspartame).
Il existe plusieurs faux sucres, ou édulcorants artificiels, mais les plus connus sont l'aspartame (Equal), le stevia, l'acesulfame-k (Sunett), le sucralose (Splenda), et la saccharine (Twin).
Une étude a mis en avant que les édulcorants perturbent la composition de la flore intestinale ce qui pourrait, à long terme, provoquer des troubles métaboliques tels que l'intolérance au glucose (prédiabète) ou le diabète mais également d'autres pathologies en lien avec une flore intestinale déséquilibrée.
Les édulcorants à proprement parlé ne font pas maigrir mais, intégrés à un programme minceur, ils permettent de rendre celui-ci plus facile à suivre sur le long terme. De nombreux documentaires ou articles nous alertent régulièrement sur l'éventuelle toxicité de tels produits.
Aucun effet cancérigène n'a jamais été établi pour l'aspartame ou le stévia, ni chez les animaux ni chez l'homme, même à fortes doses. Par contre, un effet cancérigène a pu être constaté chez les animaux, dans le cas d'une consommation de très fortes doses d'acésulfame-K, de cyclamate et de saccharine.
Faux-sucres : des risques pour la santé à connaître
Un lien entre consommation d'édulcorants hypocaloriques et risques de diabète de type 2 a aussi été établi : "Les édulcorants artificiels modifient également les bactéries intestinales, ce qui peut entraîner un gain de poids et un risque de diabète de type 2 ".
Le stévia, un édulcorant naturel.
Les nombreuses études disponibles ne montrent globalement pas de risque pour la santé à dose journalière admissible. L'aspartame est un substitut de synthèse artificiel, composé de l'acide L-aspartique et de l'ester méthylique de la L-phénylalanine.
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Pour s'assurer d'acheter un produit Stévia à peu près mangeable au niveau goût, il vaut mieux choisir les produits à base de rébaudioside A que de stévioside. Mais même si c'est le cas, la stévia aura toujours un arrière-goût de réglisse déplaisant.
Privilégiez les pâtisseries aux édulcorants ou aux polyols (sorbitol, maltitol, xylitol) car elles augmentent moins rapidement la glycémie.