- Sollen : Exprime une obligation émanant de la volonté d'une tierce personne. - Können : Exprime une capacité, une possibilité. - Dürfen : Exprime une possibilité mais dans le sens d'une autorisation.
Sollen signifie « avoir l'obligation morale de faire quelque chose, pour le sujet ou envers quelqu'un d'autre ». Il est souvent utilisé pour exprimer la volonté des parents ou pour un conseil. z.B. : Du sollst dein Zimmer aufräumen. Wollen exprime la volonté ferme de faire quelque chose.
Sollen se traduira aussi souvent par « devoir », mais plus dans le sens « être censé… » : Ich soll studieren : Je dois étudier (il ne s'agit pas d'une obligation formelle, mais plus d'un devoir moral ou donné par des agents extérieurs). Pour exprimer l'éventualité : Es soll heute regnen (Il doit pleuvoir aujourd'hui).
On utilise wollen (vouloir) et möchten (souhaiter) pour exprimer un souhait ou une intention. Möchten est plus poli que wollen. Lisa will in den Urlaub fahren.
En allemand, il existe 6 verbes de modalité : sollen, müssen, können, dürfen, wollen, mögen.
Haben, Sein et Werden.
Le subjonctif II est utilisé pour désigner le caractère irréel, imaginaire d'une action. Il sert à formuler des phrases hypothétiques, des suggestions, des souhaits, des regrets. Les différentes catégories de verbes présentent des disparités par rapport au subjonctif I.
Les auxiliaires, ou verbes modaux, sont des verbes qui expriment une modalité. C'est-à-dire qu'ils marquent le degré de probabilité ou de nécessité que le locuteur accorde à son énoncé. Il existe 3 auxiliaires modaux : devoir, falloir et pouvoir. Les auxiliaires devoir et pouvoir sont toujours suivis de l'infinitif.
Le Konjunktiv II se forme avec sein ou haben au Konjunktiv II suivi du participe passé.
-les verbes de modalité: falloir , vouloir , pouvoir. -des verbes impersonnels: il est sûr que ; il se peut que , il semble que... -le conditionnel. - la phrase exclamative ou interrogative employée avec une tonalité ironique.
Le verbe modal müssen permet de décrire une nécessité ou un devoir. Exemple : Gleich kommen meine Eltern zu Besuch. Ich muss schnell die Wohnung aufräumen! (Mes parents vont arriver d'une minute à l'autre, je dois vite ranger l'appartement !)
L'impératif se forme sur le radical de l'infinitif sauf pour les verbes forts à changement vocalique en „e' et „i' au présent. Pour cela, il faut tenir compte de ce changement de voyelle à l'impératif. Ex : Leb! Vis !
Pour former le passif, on utilise l'auxiliaire werden suivi du participe passé. Pour former le complément d'agent, on utilise von + datif, lorsque le complément d'agent est à l'origine de l'action, et durch + accusatif pour exprimer un moyen ou une cause.
Résumé de cette leçon : – Pour exprimer l'incertitude, MAY et MIGHT ont le même sens. – Pour faire une demande polie ou très polie : MAY est poli, MIGHT est encore plus poli. – Pour exprimer un refus catégorique : nous pouvons utiliser MAY NOT.
« Might » permet de signaler une incertitude, un doute, un risque ou une éventualité. Ce verbe permet, lui aussi, de demander quelque chose poliment.
Un auxiliaire modal est en premier lieu un « auxiliaire », c'est-à-dire un mot qui est « au service » d'un autre, le verbe. Il est dit « modal », parce qu'il permet au locuteur d'exprimer son point de vue, en indiquant par exemple ce qu'il faut faire ou pas, ce qu'on a le droit de faire ou pas, etc.
On définit généralement sept verbes comme étant des semi-auxiliaires. Il s'agit des verbes aller, venir, devoir, pouvoir, savoir, vouloir et faire.
Les auxiliaires de modalité permettent d'exprimer des notions de capacité, obligation, probabilité, répétition (etc.), ou de conjuguer les verbes dans des temps autres que le présent.
On utilise avant tout le Konjunktiv I pour le discours indirect et l'expression de la neutralité et la distance, par exemple dans les médias.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Le subjonctif passé sert à exprimer une action terminée qui s'est produite avant une autre. Elle souhaite que tu aies complété le ménage avant qu'elle arrive. Je lui explique que je suis contente qu'il ait réussi son examen.