Plus le coefficient est élevé plus les vagues seront consistantes et rapides et meilleur sera le surf. Un coeff idéale est entre 50 et 70. A savoir qu'il vaut mieux surfer à marée basse quand les vagues sont petites (50cm), il y aura moins d'eau et les vagues se formeront plus facilement.
On peut surfer quand le vent est très faible. La marée correspond au déplacement des masses d'eau lié à l'attraction de la lune et du soleil. Marée montante : Les conditions sont meilleures 2h à 4h après le début de la marée montante, mais dépendent toujours de la houle.
Le printemps est une excellente période pour pratiquer le surf. Les jours s'allongent, il commence à faire chaud, la houle est régulière et surtout : vous avez la mer pour vous tout seul ! Les vagues sont plus petites en été mais grâce au vent offshore le matin et le soir, les conditions de surf restent parfaites.
L'affluence et le bien-être d'aller surfer le matin
La raison la plus évidente est l'affluence sur les spots de surfs. En effet, le matin tôt il y a moins de monde à l'eau qu'a un autre moment de la journée. C'est pourquoi les surfeurs les plus motivés vont choisir d'aller surfer tôt le matin.
Quelle est donc la période idéale ? Disons qu'il n'y a pas de période idéale. Une bonne période se situe aux alentours de 11/12 secondes de période. Pour espérer des vagues à peu près correctes, sur la plupart des spots, comptez une fourchette entre 8 secondes de période jusqu'à 15 secondes.
Plus le coefficient est élevé plus les vagues seront consistantes et rapides et meilleur sera le surf. Un coeff idéale est entre 50 et 70. A savoir qu'il vaut mieux surfer à marée basse quand les vagues sont petites (50cm), il y aura moins d'eau et les vagues se formeront plus facilement.
L'orientation de la houle est aussi à prendre en considération. C'est la direction par laquelle la houle arrive sur le spot. Pour avoir une bonne orientation de houle il faut que le spot soit orienté dans la même direction (exemple: spot orienté Ouest, meilleure orientation de houle : Ouest).
Pourquoi les surfeurs sont souvent très musclés ? Le surfeur passe en moyenne 85% de sa session à ramer pour passer la barre et remonter au line up. La rame permet de muscler les bras, le haut du corps et le buste ainsi que le mouvement de pompe qui permet de se relever sur sa planche.
Nous allons prendre dans un premier temps l'exemple de Biarritz, une des villes majeures en France de surf. Tout d'abord, il faut savoir que selon la direction du vent, les vagues ne se forment pas de la même façon. Avec un vent “off shore”, les conditions sont idéales, le vent va en direction de l'océan.
Certains spots fonctionnent mieux à marée haute, d'autres à marée basse ; on peut quand même dire que sur les vagues de sable, il est plus facile d'apprendre à surfer à marée basse, car on a pied plus loin et les vagues sont plus longues.
La vague la plus haute jamais observée s'est produite dans la baie de Lituya en Alaska le 9 juillet 1958 : un mur d'eau de 524 mètres a été causé par l'effondrement d'un pan de montagne, entrainant un séisme de 7,9 sur l'échelle de Richter.
Plus l'angle d'une épaule est « raide », c'est-à-dire qu'elle descend vers le bas drastiquement, plus la vague va dérouler lentement. Plus l'épaule est « droite », plus la vague se rapproche du « close-out », elle déroulera donc rapidement.
PERIODE : c'est l'intervalle de temps en secondes entre deux crêtes de houle non déferlées sur une série. Dans l'Atlantique de 10 à 16-17 secondes. Dans le Pacifique, elle peut atteindre plus de 20 secondes. LONGUEUR : distance en mètres sur laquelle une ligne de houle non déferlée se dresse.
C'est le spot de surf à marée basse le plus proche du pont de l'Île de Ré, Gouillaud est une longue, très longue droite au large. Pour y accéder, il faut marcher sur les rochers environs 5min (à marée basse) et ramer 10 min pour accéder au pic.
La longueur d'onde correspond à la distance entre deux vagues (crêtes) successives. L'amplitude se calcule en divisant la hauteur de la vague (mesurée entre la crête et le creux) par deux. La période représente l'intervalle de temps en secondes s'écoulant entre le passage de deux crêtes de vagues.
Vent off-shore : Le graal du surfeur, le vent off-shore est un vent qui souffle depuis les terres en direction de l'océan (off the shore) et va former de belles vagues, lorsqu'il est puissant il peut former des tubes sur certains spots.
L'eau, elle, n'accompagne que le mouvement vertical de l'onde. Mais pour que cette houle et ses vagues atteignent les côtes, il faut prendre en compte plusieurs paramètres : la force du vent, la durée du vent et la distance en mer sur laquelle souffle ce vent.
Le surf permet de se muscler
Ce travail physique sollicite les bras, les épaules, mais aussi le dos. Cela permet de développer les pectoraux et la sangle abdominale. En étant debout sur la planche, à la recherche du bon équilibre, le surfeur travaille sa posture et son gainage.
Apprendre le surf est possible à tout moment de la vie, l'essentiel étant d'avoir la condition physique nécessaire. Néanmoins, pour un enfant, il est conseillé d'attendre au moins l'âge de 6 ans.
Avec le Surf Set
Grâce à des exercices spécifiques, basés sur la recherche d'équilibre et de stabilité (allongée sur la planche ou debout), on peut s'entraîner toute l'année en ville, s'initier à la pratique ou simplement remodeler son corps en s'amusant.
Glassy surf : Glassy surf est une application qui permet d'augmenter sa performance en surf grâce aux données récoltées lorsque vous enregistrez votre session de surf. L'application propose également du contenu instructif avec des articles et des vidéos pour améliorer sa technique.
Le mois de septembre est vraiment idéal pour apprendre le surf dans les Landes et se perfectionner dans les vagues. En effet, la foule de l'été s'est dissipée, mais les bonnes conditions de surf s'avèrent toujours bien présentes. Généralement, les vagues restent assez petites et douces.