Selon les études les plus optimistes, l'espèce humaine pourrait survivre encore un milliard d'années sur la planète bleue. Passé ce stade, Scientific American explique que le Soleil signera la fin de l'humanité. Lorsque ce dernier chauffera la Terre comme il le fait déjà avec Vénus, la planète deviendra invivable.
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes. La planète sera confrontée à des défis démographiques, économiques et climatiques de plus en plus importants. Ils doivent être pris en compte sans tarder pour éviter que l'inertie ne rende la situation irréversible.
Si l'on en croit l'ONU, la population mondiale atteindra les 6,9 milliards cette année. Une tendance démographique qui, couplée à ce que Fenner appelle notre «consommation débridée», mènera à terme à la disparition de l'espèce humaine.
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
0, qui correspond à des émissions modérées à élevées, le réchauffement global moyen est de 2,2°C au-dessus des niveaux actuels d'ici 2100, mais continue d'augmenter jusqu'à 3,6°C en 2200 et 4,6°C en 2500.
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
La sixième extinction de masse s'accélère et met en péril la survie de la population humaine : c'est ce qu'affirme une étude, publiée le 1 er juin dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
Pollutions, réductions ou privations de territoires, exploitations aveugles des ressources naturelles ajoutées à mille petites agressions, ont mis l'univers du vivant au seuil d'une nouvelle grande extinction des espècesextinction des espèces, la première d'origine anthropique.
La théorie de l'évolution suggère que toutes les espèces vivantes sont en perpétuelle transformation et subissent au fil du temps et des générations des modifications morphologiques comme génétiques. Ce concept a été présenté par Charles Darwin dans son ouvrage L'origine des espèces publié le 24 novembre 1859.
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
On pourrait devenir de super nageurs
Certes d'un côté, la terre s'assèche mais les glaciers fondent et augmenteront considérablement le niveau de l'eau (pas besoin d'attendre 3000 ans pour que ça se produise, donc commencez à vous familiariser avec des palmes).
D'ici 2080, sans des réductions spectaculaires des émissions de gaz, le sud de l'Europe sera en sécheresse permanente et extrême, comme certaines régions des Etats-Unis. Il en va de même en Irak et en Syrie et dans une grande partie du reste du Moyen-Orient.
Si maintenant on fait l'hypothèse que la longévité médiane est de 150 ans en 2100 et que la population française en 2100 est de 60 millions d'habitants, il faudrait s'attendre à voir une personne de 240 ans et 1 % de la population atteindrait l'âge de 200 ans.
Et dès 2050 nous pourrions commencer à être moins nombreux. Et, après plusieurs décennies de baisse constante, la population mondiale serait divisée par deux pour revenir à 4 milliards d'habitants. C'est à dire le niveau de 1975. Ce serait, plus rapidement que prévu, la fin du spectre de la surpopulation terrestre.
l'europe continentale se réchauffe davantage que la moyenne du. globe cela veut dire par exemple que l'été 2050 sera toujours chaud et même torride pour les estivants du bassin. méditerranéen. car au sud de l'europe en été on s'attend un réchauffement.
Guerre nucléaire, changement climatique, impact d'un astéroïde géant, pandémie qui tuerait des centaines de millions de personnes. Ce sont les menaces les plus vraisemblables qui pourraient mettre à mal la civilisation humaine explique le très sérieux The Atlantic.
Les fossiles présentent certaines des caractéristiques dérivées uniques à Homo sapiens. Ils sont datés d'environ 300 000 ans. Puis, des restes d'Homme anatomiquement moderne, ou Homo sapiens, dont nous sommes les descendants, sont mis au jour en Ethiopie, datés entre 195 à 160 000 ans.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
Des tigres aux éléphants, en passant par les gorilles, voici les espèces les plus menacées de disparition.
Dans la catégorie En danger, nous avons le tigre (Panthera tigris) ou le gorille des montagnes (Gorilla beringei). Parmi les espèces emblématiques classées Vulnérables figurent le panda géant (Ailuropoda melanoleuca), la girafe (Giraffa camelopardalis) ou le léopard des neiges (Panthera uncia).
"Nous estimons que la terre cessera d'être habitable quelque part entre 1,75 et 3,25 milliards d'années. Après, la Terre sera dans la zone chaude du soleil, avec des températures si élevées que les mers pourraient s'évaporer" explique Andrew Rushby de l'université d'East Anglia.
Le réchauffement climatique se poursuivra sur les 20 prochaines années, stimulé par une augmentation hallucinante des émissions de gaz à effet de serre. Concrètement, les températures sur toute la surface du globe ne cesseront de s'élever selon un mécanisme environnemental aux engrenages bien graissés.
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.