Selon les données du ministère de la Culture, le fait que les jeunes lisent moins, couplé au vieillissement de la population, tend à faire diminuer la pratique de la lecture.
Le point de vue des enseignants
« Les jeunes ne lisent plus parce que tout simplement les livres qu'on leur propose ne sont adaptés ni à notre culture ni à notre temps », explique-t-elle.
Seuls les 65-74 ans lisent plus, de 61 % en 2008 à 65 % en 2018. Dans l'ensemble, 62 % de la population aurait donc lu au moins un livre au cours de l'année passée. Depuis 1988, la baisse est constante : l'enquête de cette année indiquait 73 % de lecteurs, puis 71 % en 1997, 67 % en 2008 et finalement 62 % en 2018.
Les Français lisent plus qu'avant
30 % également des femmes sont de « grandes lectrices ». Plus on prend de l'âge, plus on lit : 12 livres par an au format papier sont lus en moyenne dans la tranche d'âge 15-44 ans, 21 pour la tranche 45 ans et plus… Le nombre de livres numériques lus passe en deux ans, de 2 à 3.
LECTURE - Si l'Inde rafle la première place du classement, la France ne s'en sort pas trop mal, à la huitième place. Les pays occidentaux en mauvaise position. Les champions du monde de la lecture, les Indiens, lisent quatre heures de plus que les Français, avec 10h42 par semaine et par jour.
Les habitudes des plus fortunés
Les personnes très aisées optent pour du contenu leur permettant de s'améliorer ou de continuer à apprendre. Cet objectif est également retrouvé dans leurs autres occupations. "Les riches sont des lecteurs avides lorsqu'il s'agit d'apprendre à progresser.
Moralité, les jeunes ne maîtrisent plus la conjugaison et les règles grammaticales. Les raisons profondes de cette « crise de la lecture» sont à chercher dans les environnements scolaire et même universitaire, le faible niveau des élèves, les programmes dépassés et inadaptés…
Les jeunes lisent moins de livres et, surtout, lisent moins pour le plaisir. La lecture n'est plus considérée comme la porte d'accès privilégiée au savoir et n'est plus synonyme de plaisir.
En moyenne, les jeunes lisent 3h14 par semaine, soit plus de treize minutes chez les 7-19 ans qu'en 2016. Au contraire, les garçons et les foyers moins favorisés passent moins de 3h à lire dans la semaine. Les mères ont un rôle important car ce sont majoritairement elles qui lisent des histoires à leurs enfants.
Quelles sont les raisons des dysfonctionnements, les obstacles ?" - Niveau de lecture insuffisant pour comprendre. - Vitesse de lecture trop lente. - Un vocabulaire ou une syntaxe trop complexe (des phrases trop longues) peuvent gêner la compréhension.
Les difficultés d'apprentissage de la lecture peuvent avoir différentes origines : milieu socio-culturel défavorable, troubles auditif ou visuel non diagnostiqués ou déficits cognitifs. Le trouble de la lecture le plus connu concerne les enfants présentant une dyslexie développementale.
Selon le Rapport national d'évaluation des progrès scolaires, 32 % des élèves de quatrième année et 24 % des élèves de huitième année ne lisent pas à un niveau élémentaire. La pauvreté est l'un des prétextes que les enseignants invoquent depuis longtemps pour expliquer les mauvais résultats en lecture.
Senior Member. bibliophobe, mais attesté seulement comme adjectif.
BIBLIOPHILE : Définition de BIBLIOPHILE.
Un bibliophobe est quelqu'un qui déteste les livres.
Car en 2021, seuls 80% des 15-24 ans se perçoivent comme lecteurs, ils étaient 92% à le penser en 2019. 91% des jeunes sondés ont lu au moins un genre littéraire cité dans l'enquête, une chute de sept points par rapport à 2019. Ils restent malgré tout la tranche d'âge qui lit le plus, juste devant les seniors.
Ce comportement a des causes purement physiologiques. L'adolescence est une période de transformation du corps, notamment de bouleversements hormonaux qui dérèglent l'horloge biologique et mettent le jeune dans une sorte de décalage horaire permanent.
3- Un autre bon conseil pour inciter à la lecture c'est de lire chaque jour à un moment précis. Si nécessaire, une fois par jour, vous pouvez lire avec vos enfants afin de leur faire comprendre que la lecture constitue une part essentielle de leur routine quotidienne.
La non-lecture a donc pour conséquence le contraire de l'essor, de liberté de conscience. beaucoup plus dangereuses. « 1° Cette facilité de communiquer ses pensées tend évidemment à dissiper l'ignorance, qui est la gardienne et la sauvegarde des États bien policés ».
La lecture permet de se divertir et de se faire plaisir
Tout comme le sport par exemple, la lecture procure du plaisir, aide à oublier les problèmes du quotidien et nous éloigne du stress.
Lire stimule le cerveau et améliore la mémoire
La lecture est un excellent moyen pour le faire travailler puisqu'elle participe à une bonne stimulation cognitive. Cela permet aussi à notre cerveau d'augmenter ses capacités de mémorisation, de réflexion, d'analyse ou encore d'imagination.
L'étude de l'ACPM place Le Figaro, Le Monde et Le Parisien en tête des titres les plus influents.
La lecture est un moyen de nous fuir nous-même, de voyager et de rencontrer d'autres gens, d'autres cultures. Par ailleurs, le lecteur peut aussi s' identifier aux personnages, et ainsi provoquer en lui des aspirations, des élans ou des désirs.