le début d'une prière. Le Christ fait ce qu'on fait lorsqu'on prie : on commence par appeler celui qu'on prie, qui, pour le croyant, à juste titre est appelé « Dieu » 11. On le fait au moyen d'une formule appropriée : dans MD, le possessif mon ajoute une proximité affective.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Locution interjective
Expression qui exprime la surprise ou l'émotion.
oh mon Dieu {interjection}
oh my God {interj.} Oh, mon dieu, Oh, mon dieu !
My God, if this be so! Oh, my God! Oh mon Dieu! Well, dear, oh dear.
Oh my god!: Mon dieu !
Oh, my God! Mon Dieu !
N'écrivez pas que vous êtes « dans le secret des Dieux », mais que vous êtes « dans le secret des dieux ». « Dieu » ne prend une majuscule que s'il s'agit de celui, unique, que vénèrent les religions monothéistes. Les divinités païennes doivent, elles, se contenter de la minuscule.
Étymologie. Composé de ma (« mon ») et Doue (« Dieu »).
Le Breton ne fait pas exception. Aussi n'hésite-t-il pas à lancer des «Ma Doué», «Nom de Doué» ou encore «Ma Doué benniget» pour signifier sa colère, son étonnement ou son indignation. L'équivalent d'un «Nom de Dieu», ou de nos sempiternels «p*tain».
Dans l'évangile de Jean, Jésus de Nazareth demande au Père de les garder en son nom YHWH, ce nom qu'il lui a donné.
C'est un juron. Origine : Cette expression tire son origine d'une autre, "par le sang de Dieu", issue du XIVe siècle. Celle-ci étant jugée blasphématoire, elle est remplacée par différentes variantes, dont "Bon sang de bonsoir".
1. (Au singulier ou au pluriel, avec une minuscule, et un féminin déesse) Dans les religions polythéistes, être supérieur doué d'un pouvoir surnaturel sur les hommes ; divinité : Les dieux des Romains.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
C'est ainsi, d'après Matthieu (1, 18-24), seul évangéliste avec Luc à donner un récit circonstancié de la naissance de Jésus, que Joseph accepta le rôle de père adoptif.
Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH. C'est par suite d'une vocalisation factice que naquit " le vocable hybride Jéhovah ".
Dans le langage arpitan, une cuche est un petit mont (la Cuche entre Noyarey et Veurey-Voroize, 998m, en Isère). À Lyon, on parle d'un cuchon de feuilles pour un tas de feuilles. 3. Synonyme de plein (ce verre est cuche) dans le patois auvergnat plus particulièrement en Haute-Loire.
Pokoù signifie « bisous » en breton mais il existe plusieurs variantes : Pokigoù : Des bisous ! Pokoù bras : Gros bisous ! Ur pokig bras : Un grand bisou !
La création du monde est relatée dans deux récits successifs dans les deux premiers chapitres du Livre de la Genèse. Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour.
D'Éros à Cupidon
Dans la mythologie romaine, Cupidon (du latin cupido signifiant « désir », « passion ») est le fils adultérin de Vénus et de Mars. Dieu de l'amour, il est assimilé à Éros.
Les quatre Pères de l'Église latine (Augustin, Grégoire, Ambroise et Jérôme) représentés en 1738 en Bavière.
Ainsi, « gosh » remplace « God » dans des expressions comme « Oh My Gosh », « By Gosh » ou tout simplement « Gosh ». Comme il était jadis jugé blasphématoire de prononcer le nom du Seigneur en vain, les gens lui ont inventé de nombreux mots de substitution, ou euphémismes, pour rester poli et éviter d'offenser Dieu.
They all mean the same thing but "oh my gosh" and "oh my goodness" are ways to say "oh my God" without using God's name in vain, which is considered a sin in Christianity.
Modification euphémistique de oh my God par remplacement de God (« Dieu ») par gosh .