Le récit rapporté par l'auteur et narrateur, prend des aspects de thriller, avec le soin apporté pour révéler peu à peu les événements successifs. Avec pour apothéose, une scène qui faisait partie du quotidien de la bonne société du 19è siècle (plus de 200 morts entre 1826 et 1834 en France).
Pauline est d'abord le roman d'un amour indicible et surtout impossible. De fait, l'héroïne, mariée avec Horace de Beuzeval, a découvert que ce dernier était un brigand. Ne voulant pas que son épouse dévoile son secret, il l'enferme dans un endroit complètement isolé, le but étant de la faire mourir!
Pauline est une œuvre romantique parce que l'on y dépeint les sentiments des héros avec beaucoup de complaisance, on s'étend sur leurs états d'âme. La nature, les passions, les allusions au passé donnent au récit un caractère romanesque, les coups de théâtre font rebondir l'intrigue.
S'inscrivant dans la tradition du roman gothique à l'anglaise, Pauline propose ainsi des décors inquiétants, des événements quasi surnaturels, des situations macabres et des personnages extrêmement violents car torturés intérieurement.
On a oublié le rôle fondamental d'Alexandre Dumas dans l'implantation du mouvement romantique en France. Car si de nos jours on continue de jouer les pièces de Musset, Hugo, Vigny, c'est Dumas qui impose sur scène le drame romantique dès avant 1830 et c'est encore Dumas qui le popularise par ses succès.
Il a pour fils l'écrivain Alexandre Dumas, connu notamment pour La Dame aux camélias, il laisse une œuvre imposante, avec près de quatre-vingt romans. Il aura vécu sa vie comme ses héros de roman, avec panache, excès, et un certain goût pour la mise en scène.
Alexandre Dumas a popularisé la devise « un pour tous, tous pour un » grâce à son roman Les Trois Mousquetaires, alors que cette devise apparaît en fait sous la forme « tous pour un, un pour tous » dans le roman…
L'art gothique est avant tout un courant au service de la religion chrétienne. Les images créées à l'époque véhiculent en permanence un message eschatologique (l'espérance de vie est, à l'époque, d'une trentaine d'années) dans le but d'éduquer les fidèles qui ne savent ni lire ni écrire.
Le style roman : les murs doivent être épais, car ils portent la voute. Les fenêtres sont donc petites. Le style gothique : la voute est portée par les piliers et les arcs-boutants. Les murs peuvent donc être percés de grandes fenêtres.
Le récit gothique suscite auprès du lecteur une intensité émotionnelle associée à l'horreur organique ou à la terreur. Concourent à ces effets l'information retardée, l'équivoque et le suspense, mais aussi l'exhibition théâtralisée de phénomènes d'altérité angoissante.
Dumas, le narrateur premier de l'oeuvre, nous relate une conversation eue avec Alfred de Nerval, qui lui même lui raconte l'histoire de Pauline de Meulien, qui à un moment même raconte elle-même ce qui lui est arrivé. C'est un livre particulier, également, parce que l'on sait dès le début comment finit l'histoire.
L'histoire commence en 1834, où Alexandre Dumas, personnage du livre et narrateur, retrouve un vieil ami, Alfred de Nerval. Celui-ci lui raconte l'étonnante histoire de Pauline, qui est décédée un an auparavant.
Le personnage qui raconte, dans le deuxième chapitre, l'histoire de Pauline est Alfred de Nerval. Le premier narrateur (Alexandre Dumas) laisse donc la parole à l'un des principaux personnages (Alfred de Nerval) qui devient à son tour le narrateur. C'est alors lui qui nous apprend pourquoi Pauline est morte (cf.
Elle est la filleule de la princesse Borghese. Elle est secrètement amoureuse de Valentin. Il lui apprend à jouer sur son piano, qu'il lui offre. Elle l'aide ensuite par de menues tricheries à subsister.
Pauline Peyraud-Magnin, la gardienne des Bleues, opposées au Maroc ce mardi (13 heures) en huitièmes de finale de la Coupe du monde, explique comment le travail effectué avec un préparateur mental l'a aidée à mieux gérer ses émotions.
Raphaël se propose de lui donner des cours de piano pour faire son éducation. Elle semble être tombée amoureuse du jeune homme – et lui offre son corps pour le remercier, ce qu'il décline –, puis nie cet amour. Elle retrouve Raphaël après que son père, réapparu dans sa vie, l'a rendue riche.
Les gothique habillent en noir car cette couleur représente la vanité de la vie. Elle permet de voir la mort telle qu'elle est. Les Goths optent pour la couleur noire, car elle rappelle la tristesse, la mélancolie et la nuit. C'est cette teinte qui dévoile au mieux leur état d'esprit.
Les gothiques n'ont pas de religion fixe. La pratique Goth est tout à fait dissociée de la religion. Par contre, la spiritualité est au cœur même de cette contre-culture. Les notions de la mort et des esprits sont très présents dans le mouvement.
Ils incluent : cold wave, dark wave, death rock, horror punk, new wave, post-punk, punk rock, rock gothique, et witch house. Beaucoup de groupes gothiques mélangent plusieurs de ces genres ou vont incorporer de la minimal synthwave ou du minimal EBM.
L'art gothique est fondé sur trois innovations-clé : l'arc brisé, la voûte sur croisées d'ogives et l'arc-boutant.
Au fil des années, le style gothique a évolué pour inclure de nombreux sous-genres, tels que le cyber-goth, le steampunk, le victorian goth, le romantique goth, le punk goth, chacun ayant ses propres caractéristiques et influences.
Dumas a accepté l'idée, en jugeant que son absurdité - les héros sont en effet au nombre de quatre - contribuerait au succès de l'œuvre en interpellant les lecteurs. Mais, finalement, le titre se justifie aussi, car le quatrième mousquetaire, D'Artagnan, ne le devient qu'au milieu du roman.
Cette phrase a été prononcée pour la première fois par le régent Erasme Louis Surlet de Chokier lors de son serment en 1831.