Il y a parfois des raisons de parler vite volontairement et ainsi d'impressionner son auditoire. Cela peut se justifier à l'occasion d'une présentation commerciale où le communicant recherche l'effet de surprise plus que la raison.
Parler vite c'est souvent un mécanisme lié au stress, c'est aussi une mauvaise habitude que l'on prend lorsque l'on vit à un rythme effréné ou lorsque l'on n'aime pas parler en public (manque de confiance en soi, peur d'être « coupé »…).
Plusieurs raisons à cela: parler vite rend votre discours, plus rythmé, stimulant, et donne l'impression que vous êtes «passionné» par le sujet. Mais surtout, énoncer vos arguments rapidement donnera très peu de temps à votre auditoire pour réellement comprendre et analyser ce que vous dites.
Une personne volubile, du latin volubilis, « qui tourne », s'exprime avec facilité et rapidité, ce qui est plutôt une qualité. Exception faite pour Littré qui considère qu'on est volubile quand on parle trop et trop vite (ex. : un enfant volubile).
Étirez vos voyelles. Essayez d'étirer les voyelles pendant vos exercices de prononciation afin d'allonger l'articulation de chaque mot. Cela vous aidera à parler plus clairement et beaucoup moins vite X Source de recherche . Au début, accentuez l'étirement, puis prenez une courte pause entre chaque mot.
Il s'agit tout simplement de prendre des respirations très profondes : vous faites entrer le maximum d'air dans vos poumons et vous le relâchez très, très lentement. Pendant que vous le faites, concentrez vous sur ce que vous ressentez : l'air qui entre dans votre corps, le trajet qu'il fait, comment il ressort.
"La vitesse de la parole est le seul facteur qui apparait lié à l'intelligence, confirme Sébastien Bohler. Un débit important indique une personnalité qui n'hésite pas, compétente et dotée d'un cerveau qui va vite."
Contrairement aux idées reçues largement répandues, parler tout seul n'a rien d'anormal. Cette habitude peut certes paraître étrange vue de l'extérieur, mais elle est bien loin de cacher un quelconque trouble psychologique.
Selon la psychologue Mélanie Fouré, ce genre de comportement s'explique : "Si l'on exclut les problèmes ORL, le fait de parler plus fort que les autres dénote paradoxalement un besoin de sur-compenser un sentiment d'insécurité, et bien souvent la peur de ne pas avoir la capacité d'attirer l'attention de son ...
Parler trop fort peut être un signe de perte d'audition. Les autres signes de perte auditive neurosensorielle comprennent la difficulté à entendre lorsqu'il y a beaucoup de bruits de fond et l'incapacité à comprendre clairement ce que les autres disent.
Le débit de parole, aussi appelé la vitesse d'élocution, correspond au nombre de mots prononcés en une durée déterminée. Par convention, on donne généralement le nombre de mots par minute. En France, le débit de parole moyen oral sans support se situe entre 120 et 160 mots par minute.
La dysarthrie est une incapacité à articuler les mots de façon normale. L'élocution peut être saccadée, hachée, chuchotante, irrégulière, imprécise ou monotone, mais les personnes peuvent comprendre le langage et l'utiliser correctement.
Ken : Faire l'amour. Exemple : « La première fois que je suis allée chez lui, on a ken. »
Swag : « avoir le swag » ou « être swag », c'est être cool.
"Parler à haute voix existe dans les troubles psychotiques sévères où les personnes ont perdu cet autre intérieur qui nous permet de nous parler en silence, précise le psychiatre. Ils ont besoin de soliloquer, d'être dans des invectives, ce que provoque aussi l'ivresse.
La logorrhée est un terme qui caractérise le besoin constant de parler. Le flux de parole est considérablement augmenté, et le sujet s'exprime pendant de longs moments.
“Répéter tout haut ses objectifs permet de se concentrer dessus,de contrôler ses émotions et de minimiser les sources de distraction.” Pour résumer, se parler tout haut permettrait donc de mieux voir, de mieux apprendre, de mieux décider et d'atteindre plus facilement ses objectifs !
Les personnes très intelligentes trouvent beaucoup de choses faciles. Elles ont l'impression qu'on leur en demande trop peu et elles s'ennuient. Par conséquent, elles changent d'emploi plus fréquemment et plus rapidement afin de relever de nouveaux défis.
Poussez volontairement la voix, sans crier, forcez vous à parler à la limite du supportable pour vous. C'est à ce moment là que vous atteindrez le niveau sonore optimal pour que vos interlocuteurs puissent vous entendre correctement. Une conversation normale tourne autour de 60 décibels.
Maîtriser sa respiration
Pour bien parler, il est important de bien respirer. Vous pourrez plus facilement projeter votre voix, éviter qu'elle ne tremble et parler plus longtemps sans finir essoufflé. Il faut pour cela effectuer des respirations abdominales: inspirez calmement avec le ventre et expirez avec la bouche.