Il est cependant difficile d'identifier la raison de ce refus. L'une des raisons et probablement la principale, serait le risque potentiel de transmission d'une maladie du sang au receveur, puisque la personne qui vit avec le DT1 fait l'usage d'aiguilles de façon plus ou moins quotidienne.
Vous pouvez donner du sang si résolu ou contrôlé par la diète ou un médicament (sauf insuline).
Les contre-indications permanentes concernent les infections actives connues pour être transmissibles par le sang (hépatites virales, syphilis, infection par le VIH ou par le HTLV, maladie de Chagas, paludisme) ; des situations d'exposition à des agents transmissibles non détectables tels que le prion (séjours de plus ...
Après plusieurs années d'hyperglycémie, le diabète est associé au risque de complications sévères, par atteinte des vaisseaux sanguins ou dégénérative : infarctus du myocarde et insuffisance cardiaque, rétinopathie (yeux), insuffisance rénale, accident vasculaire cérébral, artériopathie et neuropathie des membres ...
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Avec un diagnostic à 80 ans, l'espérance de vie était la même que celle des contrôles, alors qu'un diagnostic avant 20 ans était associé à 10 années de vie en moins. Dans l'ensemble, les sur-risques étaient numériquement plus élevés chez les femmes atteintes de diabète de type 2.
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Le diabète est un important facteur de risque des maladies cardiovasculaires et est reconnu comme un facteur indépendant de risque de l'AVC ischémique. Le risque d'AVC est 50 % plus élevé chez les personnes diabétiques.
Selon le système de groupes sanguins le plus important, le système ABO combiné au facteur rhésus, le groupe sanguin le plus rare est le groupe AB-, tandis que le plus courant est O+.
Ainsi, le groupe O- est destiné à tout le monde; on l'appelle « donneur universel ». On utilisera donc, entre autres, du sang O- dans les situations d'urgence. À l'inverse, le groupe AB+ peut recevoir du sang de tous les groupes sanguins; c'est donc le groupe appelé « receveur universel ».
Ainsi, en abaissant les taux de fer et en réduisant la surcharge en fer, le don de sang peut contribuer à réduire le risque d'affections cardiaques et hépatiques telles que les anomalies cardiaques, les crises cardiaques, la cirrhose, l'insuffisance hépatique, les lésions du pancréas, etc.
Donneur que pour les groupes au Rhésus +
Un sujet du groupe O+ a un rhésus positif (RHD+) . Il ne peut donc donner son sang qu'à des sujets de ce même rhésus (RHD) : seuls les individus A+, B+, AB+ et O+ peuvent recevoir ses globules rouges.
Cependant, la formation de nouveaux globules rouges dans la moelle osseuse demande quelques semaines, c'est pourquoi il n'est permis de donner son sang que trois ou quatre fois par an.
Après 70 ans révolus, aucun don n'est autorisé, sauf dérogation prévue pour le don de sang de groupe sanguin rare. Ainsi, la prise de risque pour le donneur de plus de 70 ans n'est tolérée qu'à titre exceptionnel, pour des motifs d'urgence thérapeutique ou en cas d'immunisation complexe ou de phénotype rare du malade.
Si l'insuline est en quantité insuffisante ou si elle est inefficace, le sucre s'accumule dans le sang et la glycémie augmente de façon excessive : c'est l'hyperglycémie. En l'absence de traitement, cette hyperglycémie se maintient à un niveau trop élevé : c'est l'hyperglycémie chronique qui définit le diabète.
Pensez au « thé glacé maison, au jus de citron vert et quelques zestes dans de l'eau fraîche, des feuilles de menthe et du jus de citron dans de l'eau pétillante », conseille Mélanie Mercier, diététicienne nutritionniste au sein de la Fédération Française des Diabétiques.
Le diabète de type 2 peut être réversible à la suite d'un programme intensif de gestion du poids, selon un essai clinique chez des patients souffrant de cette maladie depuis plusieurs années.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Les cellules essayent de survivre en utilisant d'autres carburants, de mauvaise qualité, qu'elles fabriquent à partir des protéines et des graisses : ceci explique la perte de poids et l'apparition d'acétone qui est un déchet de ces mauvaises combustions des graisses dans les cellules.
Est-ce que je peux vivre longtemps avec le diabète ? Oui, il est heureusement possible de vivre très longtemps avec le diabète. Tou- tefois, par rapport à une personne non-diabétique, le diabète est un facteur de risque supplémentaire de complications affectant les organes vitaux comme le cœur, le cerveau et les reins.
►Les aliments à index glycémique bas (pâtes et riz complets, pomme, brocolis, tofu, carotte crue, courgette, patate douce, quinoa…) et d'éviter ceux à index glycémique élevé (aliments ultra-transformés, gâteaux, viennoiseries, pain de mie, sucre et riz blancs, pommes de terre frites…).
Une pizza affecte le taux de sucre dans le sang d'un patient diabétique de type 1 pendant plus de huit heures, nécessitant un apport lent et régulier d'insuline pour maintenir un taux de sucre optimal , montre une étude américaine. L'équipe du Dr Robert A.