Depuis le début de l'année, 45% des demandes de prêt auraient été refusées, selon un sondage. La faute à un taux d'usure - soit un taux maximal d'emprunt - trop bas, assurent les banques. Elles font pression pour que Bercy l'augmente... ce qui entraînera une hausse des taux des crédits. Le chantier est paralysé.
Plusieurs raisons à cela (trop de prêts en cours, incidents de paiement antérieurs, situation financière trop fragile…). Pour tenter d'y remédier, faire jouer la concurrence et vérifier si une fiche existe à votre nom au FICP. Penser aussi au rachat de crédit et à la délégation d'assurance.
Parmi les établissements qui prêtent facilement pour un prêt immobilier, vous trouvez : Les banques généralistes nationales comme le CIC, la Banque Postale, BNP Paribas, LCL, etc. Les banques mutualistes ou coopératives comme le Crédit Mutuel, la Caisse d'Épargne, la Banque Populaire, etc.
Selon un sondage, près d'une demande sur deux de prêts immobiliers est refusée en France à cause du taux d'usure, c'est-à-dire le taux maximum auquel une banque peut prêter. Les 30-35 ans et les projets d'achat de résidence principale sont les plus concernés.
Ces normes étant fixées, les principales causes qui motivent un refus de prêt par les banques sont les suivantes : Pas ou peu d'apport (ou d'épargne) ; Un taux d'endettement trop élevé ; Une situation personnelle et financière instable.
Si vous voulez vérifier si vous êtes inscrit au FICP et pour quel motif, vous pouvez : Vous rendre, après avoir pris rendez-vous, dans un bureau de la Banque de France muni d'une pièce d'identité. Adresser un courrier simple avec copie d'une pièce d'identité à un bureau de la Banque de France.
Les banques attribuent, en effet, à leur clientèle professionnelle une note, basée sur la lecture de leurs comptes et l'historique de leurs relations. « Beaucoup de dirigeants ignorent cette pratique, et, a fortiori, la note qui leur est attribuée », constate Jean-Marc Lebreton, expert-comptable à Chambly dans l'Oise.
Selon un sondage Opinion System, près de la moitié des demandes de prêt immobilier sont actuellement refusées à cause du taux d'usure. Une proportion jugée « alarmante » par le président de l'Afib, qui appelle à changer les règles de calcul.
Comment calculer son taux d'endettement pour un prêt ? Le montant de la mensualité d'un emprunteur est de 500 €, tandis que son salaire net mensuel est de 1 800 €. Le calcul du taux d'endettement est le suivant : 500 x 100 / 1 800 = 27,7 %. Le taux d'endettement de cet emprunteur est de 27,7 %.
En cas d'accord du prêt
Si la réponse à la demande du client est positive, il reçoit une offre préalable de crédit qu'il devra compléter et signer. Il s'agit de toutes les informations relatives au prêt. Lorsque la demande de crédit est validée, Cetelem procède au déblocage des fonds.
La banque doit évaluer votre solvabilité
Votre situation financière doit être compatible avec le montant emprunté. Dès lors que vous empruntez, vous vous engagez à rembourser ce crédit, en plusieurs mensualités, sur une durée déterminée lors de la souscription.
On considère généralement que l'apport immobilier doit être au moins égal à 10 % de la somme totale empruntée. Par exemple, si vous désirez souscrire un prêt pour un bien immobilier d'une valeur de 200 000 euros, vous aurez besoin d'un apport personnel égal à 20 000 euros au minimum.
La banque peut-elle savoir si vous avez des crédits ? Pour analyser votre solvabilité, le banquier dispose de 2 sources : Les documents que vous lui transmettez et qui vont constituer le dossier de prêt immobilier. Les résultats de la consultation du FICP (fichier des incidents de crédits aux particuliers) (1).
L'offre formulée par la banque a une validité de 30 jours durant lesquels l'une ou l'autre partie du contrat peut se rétracter et annuler l'accord.
I/ la preuve du refus de prêt
Il suffira au vendeur de justifier du dépot du dossier et qu"il a sollicité une offre conforme à l'avant-contrat . -En cas de refus, il appartient au vendeur, créancier de démontrer que l'acquéreur a empêché la réalisation de la condition.
Crédit immobilier: de plus en plus de particuliers ne peuvent plus emprunter à cause du taux d'usure. Avec la progression des taux, certains particuliers sont bloqués par le taux d'usure. S'ils ne revoient pas leur projet, ils ne pourront pas obtenir de prêt.
35% : le taux d'endettement maximum en 2022. Depuis le 1er janvier 2022, les établissements bancaires ne peuvent plus octroyer un crédit aux particuliers au-delà de 35 % de taux d'endettement (assurance comprise) pour une durée de prêt de 25 ans maximum.
Le calcul de la capacité d'emprunt se fait en déduisant les charges de l'emprunteur de ses revenus et en multipliant le résultat par 35 %. Les 35 % correspondent aux taux d'endettement maximum fixé par le Haut conseil de stabilité financière (HCSF).
Un apport personnel standard : 10% du prix du bien
Les établissements prêteurs exigent généralement un apport personnel d'au moins 10% du montant total de votre achat. Ces 10% correspondent en fait aux frais annexes liés à votre achat : frais de notaire, frais de caution, frais de garanties, frais d'agence, etc.
25 ans : sur cette durée, le taux du crédit immobilier oscille entre 2% dans le Sud-Ouest et 2,20 % en Méditerranée.
Le taux d'usure. Le taux d'usure correspond au taux maximum que tous les prêteurs sont autorisés à pratiquer lorsqu'ils accordent un crédit. L'instauration d'un tel seuil vise à protéger l'emprunteur d'éventuels abus.
Cette année-là, le groupe bancaire Crédit Agricole dominait le classement avec plus de 51 millions de clients, suivi des groupes bancaires BNP Paribas, Société Générale et BPCE qui comptaient chacun plus de 30 millions de clients.
Un bon profil d'emprunteur doit afficher des comptes sans découvert, avoir peu ou pas de crédits, avoir un taux d'endettement inférieur à 33% et disposer d'un apport de 10 à 20% du prix d'achat.
Un bon client est fidèle
La relation que vous entretenez avec vos clients leurs permettent donc de développer certaines qualités. En premier lieu, la qualité constante est la fidélité. Il faut savoir qu'en moyenne, il coûte 7 fois plus cher d'acquérir un nouveau client que de le fidéliser.