La croissance économique permet le développement dans la mesure où elle améliore le niveau de vie des individus qui peuvent mieux satisfaire leurs besoins et connaître une vie plus longue en meilleure santé ce qui leur permet de construire des projets.
La croissance économique est souvent présentée comme ayant toutes les vertus. Elle permet de diminuer le chômage dans les pays industrialisés et de réduire la pauvreté dans les pays en développement. Elle correspond à l'augmentation, pendant une longue période, du volume de la production et des richesses d'un pays.
A) La croissance n'assure pas toujours le développement. La croissance économique n'est pas obligatoirement synonyme de développement. En effet, elle peut entraîner un mal développement, ainsi qu'un appauvrissement du niveau de vie dû aux inégalités dans la répartitions des richesses.
La croissance va entraîner l'implantation de nouvelles usines qui viendront concurrencer les anciennes. Cette augmentation du nombre d'usines va entraîner la pollution de l'atmosphère donc une dégradation des conditions de vie aussi. Il y'aura aussi destruction de la couche d'ozone, donc réchauffement de la terre.
A) La croissance économique aide au développement durable : 1) Les pays riche ont les moyens de dépollué grâce à leur croissance économique qui a déjà eu lieu. 2) L'importance de la croissance économique afin de se consacrer au développement durable. B)
Ces vingt dernières années, la croissance du capital économique se heurte à des limites écologiques. Que ce soit l'augmentation des gaz à effet de serre, les sécheresses, l'épuisement des ressources naturelles, etc.
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
La croissance économique conduit à l'épuisement progressif de certaines ressources naturelles non renouvelables. Si le processus se poursuit, il faudra trouver de nouvelles sources d'énergie et de nouveaux modes de consommation et de production pour assurer leur développement.
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.
La croissance physique correspond à l'augmentation des dimensions corporelles. Le développement correspond à la croissance et à la maturation, des différentes fonctions et capacités fonctionnelles. Ces deux processus dépendent de facteurs génétiques, nutritionnels et environnementaux.
Le développement est une fin en soi, la croissance est un instrument subordonné au développement, d'autant qu'elle entraîne la destruction d'une dotation limitée en ressources naturelles non reproductibles et soulève donc la question de sa soutenabilité à long terme.
La croissance se heurte à des limites sociales (les inégalités) et écologiques (les externalités négatives, les gaz à effets de serre, l'épuisement des ressources naturelles). Une externalité est un effet non voulu de la production.
La croissance économique a des conséquences négatives sur l'environnement. Elle est responsable de l'augmentation de la pollution et des risques d'épuisement du capital naturel (car les ressources sont non-renouvelable ou que l'utilisation intensive de ces ressources ne permet pas leur renouvellement).
La croissance économique, source d'enrichissement et de progrès, engendre en parallèle des externalités négatives : pollution, nuisances, gaspillages, réduction de la biodiversité, déforestation, épuisement des ressources non renouvelables (ex: pétrole, gaz naturel…).
La croissance économique s'explique d'abord par la quantité de facteurs de production mobilisés. Ainsi, la quantité de facteur travail, c'est-à-dire l'augmentation de la population active, contribue directement à l'évolution de la quantité de biens et services produits.
Si l'économie du développement est un domaine de la pensée économique dont le but est d'aider les pays en retard à rattraper ceux qui sont en avance sur eux, surtout en ce qui concerne le revenu par habitant, alors elle doit être un des plus anciens domaines de la science économique contemporaine.
1. Facteurs généraux : · Intrinsèques : génétiques, endocriniens ; · Extrinsèques : nutritionnels, socio-économiques, affectifs.
la concentration. l'intégration verticale. la diversification. la globalisation (internationalisation)
La croissance serait unidimensionnelle, caractérisée par l'augmentation d'un agrégat bien défini, comme le revenu par tête. En revanche, la notion de développement désignerait un changement de structure de l'économie, voire de la société en général.
Définition : La croissance est une augmentation soutenue de la production de biens et services pendant une période plus ou moins longue. La croissance doit être distinguée de l'expansion qui est une augmentation de la production à court terme et qui dépend de la conjoncture.
En augmentant le nombre de biens et services disponibles, la croissance améliore le bien-être des populations, mais elle peut aussi avoir des effets négatifs comme la pollution, la destruction des ressources ou l'augmentation des inégalités.
Selon J. Tirole, il semblerait que la Croissance Économique mondiale soit face à 3 enjeux majeurs sur le long terme : Le climat, les inégalités et la démographie.
L'accumulation de capital humain permettrait en effet des gains de productivité favorables à la croissance et à l'emploi. Depuis Adam Smith, la plupart des économistes reconnaissent que les compétences de la main d'œuvre d'un pays représentent un de ses atouts concurrentiels les plus importants.
La croissance économique dépend de l'utilisation des facteurs de production. Ces facteurs de production sont le capital, le travail et la productivité globale des facteurs.