L'été est la saison que beaucoup de monde préfère et il y a plusieurs raisons à cela. 1- C'est la saison des grandes vacances, celle où on prend la quasi totalité de ses congés. 2- Il fait beau, le soleil brille et les oiseaux chantent, cela met tout le monde de bonne humeur.
L'hiver est synonyme de grippe, de virus, de tous ces microbes bizarres que vous transportez partout avec vous. 4 : Le froid, c'est aussi le signe de l'approche de Noël. Et qui dit Noël dit “courses de Noël”.
La chaleur pour détester l'été
Qui dit été dit chaleur. Et, selon moi, c'est ça le problème majeur de l'été : la chaleur sans arrêt. La journée, c'est parfois difficilement supportable, mais le pire, c'est la nuit. La température qui ne baisse pas et dormir devient difficile.
La nature est tellement belle en juillet. Toutes ces fleurs qui éclatent de couleurs, ces champs de blé qui jaunissent… Quand on est une éternelle romantique comme moi, on adore se perdre dans le paysage de juillet.
Pour certains, l'arrivée de l'hiver est l'occasion de se faire plaisir et de se recentrer sur l'essentiel. Enquête sur une hibernation plus féconde qu'on ne l'imagine. L'hiver est la saison du repos, du calme et l'occasion de faire le point sur soi.
La saison est aussi (et surtout) rythmée par un manque d'énergie qui ne vous lâche pas et une fatigue constante. Cette dernière peut soit découler du manque de lumière naturelle inerrant à la saison, soit d'un problème de santé, ou encore de vos nerfs qui arrivent en bout de course.
Le renard. Ce magnifique petit rouquin reste très présent dans nos montagnes enneigées grâce à son joli manteau d'hiver. En effet, dès l'arrivée de l'automne, sa fourrure devient de plus en plus épaisse et cela lui permet d'être bien isolé du froid.
L'attrait de la neige
Mais pourquoi aime-t-on autant la neige ? Olivier Proust, prévisionniste chez Météo France, explique au Parisien : "Parce que, dans les plaines, la neige est assez rare pour qu'on trouve exotiques ces paysages couverts de blanc.
"Pour s'habituer au froid, il faut exposer son corps au froid. Mais bien sûr, cela n'est possible qu'en sortant couvert et bien couvert, notamment sur la tête, le cou et la nuque." En particulier pour les enfants chez qui le froid peut provoquer une réaction fébrile si ces zones ne sont pas suffisamment protégées.
Bouger dehors favorise l'appétit, le sommeil, la concentration et la capacité à apprendre. Les enfants adorent les constructions en neige, que ce soit pour y jouer ou s'y cacher.
Les Romains, en -800 avant Jésus Christ, utilisent un calendrier de dix mois composé de 29 et de 30 jours, ce qui faisait une année de 295 jours. Puis, ils passent à des mois de 30 et de 31 jours, ce qui fait un total de 304 jours sur l'année.
Raison n°1 : une deuxième chance pour l'été
Même si les journées raccourcissent, le mois d'août reste un mois chaleureux. On profite encore d'un maximum de luminosité, de douceur. Les journées d'août me semblent toujours très agréables, presque plus belles et moins agressives que celles de juillet.
Les aoûtiens, d'autre part, ne jurent que par le mois des moissons et sa promesse de chaleur. Pour eux, il n'y a pas de doute possible : choisir le mois d'août est la garantie de vacances réussies. Il fait plus chaud, il y a moins de pluie et de vent. La météo semble alors plus propice à la farniente.
Plusieurs facteurs entrent en compte dans cette situation comme l'urbanisation grandissante de nos régions mais aussi le développement des nouvelles technologies ou même le rôle des parents de plus en plus réticents à laisser les enfants jouer seuls à l'extérieur.
Les jeunes enfants sont plus vulnérables au froid. Chez eux les mécanismes de régulation thermique fonctionnent moins bien (en raison d'un ratio surface-masse corporelle plus élevé que chez les adultes), ils sont moins actifs et donc se refroidissent plus vite.
Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables au froid. Leur capacité réduite de perception du froid, leur faible masse musculaire et leur activité physique insuffisante expliquent en partie cette vulnérabilité. Le froid détruit alors les cellules de la peau.
Face au changement de température, une protéine appelée α-actinine-3, peut, ou non, entrer en jeu. Cette protéine présente dans les fibres musculaires serait en effet absente chez près de 1.5 milliards de personnes dans le monde, ce qui les rendrait naturellement plus résistantes au froid.
Ainsi, plus on est habitué à vivre dans le froid, plus notre corps s'habitue. Et le constat semble se transmettre entre les générations : le corps des Inuits, par exemple, génère naturellement trois fois plus de graisse sous-cutanée que la moyenne, ce qui leur permet de hausser leur température corporelle.
Plus la transpiration se fait, plus le corps dégage les sensations de chaud et régule ainsi sa température. Au contraire, si une personne ne transpire pas beaucoup, son corps va quand même évacuer par la perspiration qui correspond aux échanges respiratoires par la peau.
1. Le Husky Sibérien. Habitué aux grands froids et aux efforts intenses, le Husky Sibérien est un animal particulièrement résistant, comme la plupart des chiens de traîneau. Il résiste justement très bien aux températures extrêmes.
Si votre chien doit rester dehors optez pour une race rustique comme le Husky, le Terre-Neuve ou le Léonberg ; Ces races sont originaires de contrées froides, leurs poils longs et denses les protégeront bien.
L'écureuil. C'est essentiellement le même principe chez l'écureuil commun, qui va rester actif tout l'hiver et va survivre dans son nid, grâce à ses préparatifs intelligents. Durant l'été, l'écureuil travaille très fort.