À l'époque, les croisés découvrent un breuvage appelé « charâb », boisson en arabe. Ils y prennent tellement goût qu'ils vont conserver le mot en le transformant à la mode occidentale. « Charâb » devient « sirupus » puis « sirop ».
Le seul qui est un peu particulier, c'est sirop, s, i, r, o, p, qui a donné le verbe siroter bien qu'il existe aussi l'adjectif sirupeux. Les mots composés à partir des mots que nous avons vus, en toute logique, prennent aussi un p muet final : sur-le-champ, un contrecoup, un chien-loup, un pèse-sirop, et cetera.
Une question d'étymologie. L'adverbe « trop » vient du francique « thorp » qui signifie « amas », « groupement » et « village » (« Petit Robert »). « Trop » signifie l'excès (« Il parle trop »).
Comment détecter ces e muets ? Habituellement, le e muet correspond, à l'oral, à la voyelle [ə], qui a une caractéristique unique : on est libre de la prononcer ou non. Comparez par exemple [ʒəpaʁ] et [ʒpaʁ].
Femme vient du latin femina, qui progressivement s'est prononcé "fème", puis "fame", mais là encore les lexicographes ont tenu à maintenir le lien avec l'origine latine, donc le premier "e"… même s'il se prononce A. C'est toute la différence entre la graphie du français et celle de l'espagnol, par exemple.
Se prononcent « er » comme turn: learn, early, heard, earth, earn. Se prononcent « éa » comme air: wear, tear (déchirer), bear, pear. Se prononcent « ia » comme beer: ear, hear, tear (larme), appear.
Le loup, quant à lui, a pris un chemin plus tortueux ; il a d'abord été le « leu », terme conservé dans l'expression « à la queue leu leu ». Puis il est devenu le « loup », prenant son « ou » de sa moitié et son « p » de l'étymon latin « lupus ».
Quels sont les mots qui s'écrivent avec un b prononcé [p] ? À l'intérieur d'un mot, il arrive que le son [p] se transcrive par un b. Cela se produit lorsque la consonne qui suit ce b est dite sourde, ou non voisée.
Histoire. Pour retrouver la première trace des sirops, il faut remonter au temps des croisades au Moyen-Orient. À l'époque, les croisés découvrent un breuvage appelé « charâb », boisson en arabe. Ils y prennent tellement goût qu'ils vont conserver le mot en le transformant à la mode occidentale.
Étymologie. ( XII e siècle) De l'arabe شَرُوبٌ (carûbũ) (« potion ») → voir sorbet.
Le mot KE n'est pas valide au scrabble.
Le mot JO n'est pas valide au scrabble.
Le mot JU n'est pas valide au scrabble.
La bouche est fermée, les lèvres sont arrondies et légèrement projetées vers l'avant. [p] s'écrit : généralement p, moins souvent pp (grippe).
La grande différence entre ces deux sons, c'est que P est une consonne sourde et B et une consonne sonore. Ce qui veut dire que si vous mettez vos doigts sur votre gorge, vous allez sentir une vibration avec le B mais pas avec le P. Les cordes vocales vibrent avec le B.
Des exemples
Exemple : prendre, il prend, avec un d, prend-il, avec une liaison prononcée [t], bien que prend s'écrive avec un d. Autre exemple : entendre, elle entend, entend-elle. C'est pour cette raison qu'on n'ajoute pas de t entre deux traits d'union comme dans y a-t-il, neige-t-il. Le d prononcé [t] suffit !
À l'origine, ça s'adresse à un petit enfant, presque bébé (a toddler), qui a des crottes de nez sèches... C'est simplement pour lui dire qu'on va lui enlever avec un coton-tige, par exemple.
Mammifère carnivore, à pelage gris jaunâtre, vivant en meutes dans les forêts d'Europe, d'Asie et d'Amérique, appelé aussi loup gris ou loup commun. (Son cri est le hurlement. La femelle est la louve, le petit le louveteau.
Celui qui va le plus servir, et certainement pas mal bouleverser les parties, c'est le seul mot de deux lettres rentrant dans l'ODS 8 : QI, non pas comme le quotient intellectuel, les abréviations étant toujours bannies dans le jeu, mais comme le qi qong, cette gymnastique traditionnelle chinoise.
les graphies suivantes : OK, Ok, ok, okay, et O.K. Le mot est d'ailleurs très employé en France. Deviendra-t-il pour autant utilisable sur nos plateaux de Scrabble francophones ? La réponse est non.
Les sirops sont des boissons largement présentes dans les foyers français. En effet, 63,4% des foyers achètent du sirop* et leur fréquence d'achat est de 6,0 fois par an en moyenne*. La consommation moyenne de sirop atteint 6,3 L soit environ 50 L de boisson diluée par ménage/an*, ou encore 21,1 L par personne/an**.