le manque de soutien social. les problèmes d'argent. les problèmes de santé mentale. les abus d'alcool ou de drogue.
L'acte précède la pensée dans le passage à l'acte ou le comportement à risque. Le mal-être permanent sous la forme de symptômes physiques, d'anxiété, de doute, d'inquiétude, de stress, de fatigue, est masqué par des attitudes de prestance, le repli sur soi ou l'hyperactivité.
Selon Emmanuel Macron, "nous sommes dans une société de plus en plus violente" Faisant référence à la crise sanitaire, il souligne que "nous vivons dans un contexte qui a accru les tensions, l'inquiétude, l'angoisse" et pointe du doigt l'incidence des réseaux sociaux dans cette violence.
Selon l'ouvrage États de fragilité 2016 : Comprendre la violence, le monde est devenu plus violent ces dix dernières années, 2014 et 2015 étant les deuxième et troisième années les plus meurtrières depuis la fin de la Guerre froide, il y a un quart de siècle.
Les violences collectives semblent apparaître avec la sédentarisation des communautés qui débute à la fin du paléolithique, aux alentours de 13 000 avant notre ère au Proche-Orient, mais, là encore, seuls un ou quelques individus ont été tués.
Parce que la violence est une pulsion, un besoin de réagir déclenché par certaines situations et présent en chaque être humain. Mais ce qui rend vraiment violent, c'est quand cette violence n'est ni maîtrisée ni transformée, qu'on la laisse sortir et parfois... exploser !
Elle est fondamentalement inhumaine. Elle ne permet pas d'apporter une réponse humaine aux inévitables conflits qui naissent entre les hommes. Il faut trouver des alternatives à la violence comme méthodes d'action. Notre société est dominée par l'idéologie de la violence nécessaire, légitime et honorable.
La violence n'a jamais été une solution pour régler les problèmes quels qu'ils soient. C'est pourquoi, il vous faut impérativement essayer de communiquer afin de trouver une solution idéale et pacifique. Cela permettra d'éviter de blesser quiconque. Aussi, tout un chacun doit apprendre à être tolérant.
La guerre n'est pas un problème, c'est une solution.
C'est une solution insatisfaisante et provisoire, mais dont les groupes se servent sans doute faute de mieux. Manifestation collective engageant deux peuples, deux groupes, deux communautés au moins, elle esquive la complexité des conflits en les dualisant.
La solution est d'abandonner par convention à un tiers commun (le Léviathan ou l'Etat) l'autorité et le droit de juger de leurs propres actions. Le pouvoir souverain s'approprie en quelque sorte l'exclusivité de la violence, qui devient entre ses mains la seule violence légitime.
La violence n'est utilisée qu'une fois que les alternatives non violentes ont été épuisées, en fonction de ce que le temps et les circonstances permettent. Alors, dans de tels cas, le recours à la violence est justifié.
C'est assez compliqué de bien comprendre ce phénomène dont on parle beaucoup à l'heure actuelle. On trouve de la violence partout où il y a des êtres humains : dans la rue, dans le couple, à l'école, dans les institutions, dans la famille, etc. Elle est souvent liée à des problèmes de communication.
La violence dans le couple se met en place dès le début d'une relation. Il y a des éléments sous-jacents : le contrôle et la domination. La violence apparaît au moment de la grossesse dans 40 % des cas. Mais la plupart du temps, la violence se met en place sans qu'on en ait pris conscience.
Qui est brutal, impulsif, agressif.
La maltraitance infantile peut débuter très tôt, avant même la naissance de l'enfant. "Il y a des femmes qui, enceintes, se font du mal en buvant de l'alcool, fumant, consommant des drogues et par conséquent en font à l'enfant.
User de cruauté mentale : bouderie, indifférence, silence, exigence excessive par rapport aux tâches, prendre des décisions pour l'autre, etc. ; Faire croire à une personne qu'elle est stupide, bonne à rien, etc.
La pression psychologique est une sensation psychique, le produit de deux forces mentales qui tirent dans des directions opposées. Ces forces peuvent être de natures très différentes, comme des souhaits ou des obligations. On parle d'une situation qui cause de l'inconfort.
Montbéliard | Justice « Pousser quelqu'un, c'est une violence »
Il existe principalement trois types d'agressions dans le Code pénal français : l'agression verbale, l'agression physique et l'agression sexuelle. Or, chaque type d'agression débouche sur une sanction bien particulière.
À RETENIR : Quelle sanction pour avoir frappé quelqu'un ? Le délit de coups et blessures volontaires est une atteinte délibérée à l'intégrité physique d'une personne. Il est passible d'une amende pouvant atteindre 150 000 euros et d'une peine d'emprisonnement de 30 ans.
Il nous est apparu fondamental de rappeler la loi. Embrasser une femme ou un homme sans son consentement, ou 'attraper les fesses', comme cela a été dit, d'une personne, c'est une agression sexuelle, quand cela n'est pas consenti.
Ainsi, voici à titre d'exemple, comment les peines encourues peuvent évoluer, selon la situation. Violences avec ITT de plus de 8 jours : 1 circonstance aggravante : 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende. 2 circonstances aggravantes : 7 ans d'emprisonnement et 100 000 € d'amende.
Il dénote d'un manque d'intelligence émotionnelle, et il peut aussi entraîner de graves conséquences sur l'autre personne. Cela revient à des tentatives de contrôle et d'humiliation de l'autre. Dans tous les cas, cela n'a rien de positif dans une relation. Ignorer quelqu'un, c'est le mépriser et même l'annuler.
La violence spirituelle consiste à empêcher une femme d'exprimer ses croyances religieuses ou spirituelles ou, au contraire, l'obliger à adhérer à des pratiques religieuses qui ne sont pas les siennes.