L'italique est un caractère légèrement incliné. Il contraste avec le romain, qui est un caractère droit. On utilise les caractères italiques pour la mise en évidence, les mots étrangers et les citations.
Ces caractères penchés furent à l'origine appelés « lettres vénitiennes », et ensuite nommés « italiques », car ils venaient effectivement d'Italie. L'emploi de l'italique s'est généralisé pour citer les titres de livres à la suite de l'exemple donné par Vincenzo Coronelli (1650-1718) dans sa grande encyclopédie.
Il est toutefois possible d'utiliser l'italique pour les citations courtes, ne présentant pas de discontinuité avec le texte (dans le corps du texte). Par contre, les citations longues et indépendantes ne le sont pas. L'important est d'annoncer les citations clairement et d'être uniforme tout au long du texte.
Usages conventionnels des italiques
L'italique sert à attirer l'attention sur un mot, à désigner ce qui n'est pas de l'auteur, à composer les titres d'œuvres et de journaux, les noms propres de véhicules, les notes de musique, les devises, les lettres de l'alphabet.
Le caractère penché, dit italique [it. ds le texte], est employé pour la reproduction textuelle de phrases, de locutions et de mots étrangers, et de tout ce que l'auteur veut mettre en évidence.
Considérée par Erasme comme la plus belle écriture du monde, l'italique a été créée au début du 16e siècle par l'imprimeur italien Aldo Manuzio (Alde Manuce), également père du livre de poche.
Il est possible d'utiliser l'italique pour les citations, particulièrement lorsqu'elles sont en langue étrangère, pour les citations doubles, pour les citations courtes ne formant pas une phrase ainsi que pour les citations longues qui forment un paragraphe autonome.
Définition de la didascalie
Rédigées par l'auteur, les didascalies se présentent sous la forme de notations en italique ou entre parenthèses, insérées dans les dialogues, et ne sont pas destinées à être prononcées par les comédiens.
L'épigraphe est alignée sur la marge de droite, dans le haut de la page. Bien qu'il s'agisse d'une citation, il n'est pas nécessaire de la mettre entre guillemets, puisqu'elle est détachée du texte principal. Si elle est écrite avec la même taille de caractères que le reste du texte, elle doit être en italique.
Qui a trait à l'Italie ancienne. Se dit d'un caractère qui est penché vers la droite.
Les didascalies sont intercalées dans le dialogue écrit, mais n'en font pas partie, et ne sont donc pas destinées à être prononcées sur scène. Elles sont notées le plus souvent en italique ou entre parenthèses.
5. Comment écrire une lettre en italique ? Pour écrire une lettre en italique, il suffit d'incliner légèrement chaque mot ou phrase vers la droite en utilisant un stylo ou un crayon. Il est également possible d'utiliser des techniques de calligraphie plus avancées pour créer des lettres en italique plus élaborées.
Didascalie (n. f.) : indication scénique donnée par l'auteur pour guider le jeu du comédien. Souvent écrite en italique, elle peut préciser les gestes, les déplacements, les mimiques ou le ton du personnage.
Guillemets et titre. On emploie les guillemets pour citer le titre d'une œuvre ou d'une publication et, selon le contexte, celui de l'une de ses parties. En fonction des éléments cités et du support utilisé, on privilégiera l'italique ou le soulignement aux guillemets.
Il est usuel de mettre le titre de la partie entre guillemets et le titre principal en italique : « Le Vaisseau d'Or » est tiré des Poésies complètes de Nelligan.
La première fonction de l'italique est de faire ressortir des mots, d'attirer l'attention sur eux, de les distinguer du reste du texte. À défaut d'italique, ou dans un texte manuscrit, on souligne normalement tout ce qui devrait être en italique.
Le préambule se rapproche de la préface à la différence qu'il est rédigé par l'auteur lui-même. Le préambule est un éclaircissement préliminaire plus ou moins utile, il donne un avant-goût de l'ouvrage, en marque le caractère et la portée, ou résume les événements accomplis antérieurement au récit.
Les didascalies dénotent en effet des portions du monde fictionnel ou non, qui sont autant d'éléments jugés indispensables (par l'auteur dramatique) pour que le lecteur puisse interpréter les répliques, et se faire une représentation de l'action.
Les didascalies (indications de mise en scène ou d'intentions) s'écrivent en italique. Lorsque la didascalie se trouve avant une réplique, elle suit, après une virgule, le nom du personnage et est écrite en minuscules. Elle n'est pas suivie par un point.
Déterminant indéfini d'un groupe nominal dont il indique le genre et le nombre.
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible.
On cite quand :
on reformule l'idée d'une autre personne dans nos propres mots (paraphrase); on fait référence à l'idée, l'opinion d'une autre personne; on utilise des données secondaires (statistiques, graphiques, etc.).