Bien que le mot "musique" ne soit jamais cité dans le Coran, elle est considérée comme impure par les djihadistes ainsi que par certains musulmans ultra-conservateurs.
Un seul verset (6ème de la sourate 31) fait vaguement allusion à la musique : « Tel homme ignorant se procure des discours plaisants (ou futiles) pour égarer les autres hors du chemin de Dieu et prendre celui-ci en dérision.
Pour certains musulmans, la musique est interdite par Allah. Ceux qui défendent cette vision s'appuient aussi bien sur le texte du Coran que sur les hadîths. Pourtant, le terme musique ne figure pas dans le Coran, et cette interprétation s'appuie donc sur ce qui est perçu comme une allusion.
Dans un verset du Coran, Dieu s'adresse à Satan: «Subordonne de ta voix qui tu pourras.» Interprétation: la voix du Démon est la musique, donc la musique est interdite.
"Les concerts sont considérés comme haram par l'État Islamique, c'est-à-dire non conforme à l'islam radical et rigoriste, pour qui la musique correspond à des sifflements sataniques.
Voici sa réponse : « Le bâillement provient de Satan selon l'information donnée par le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui). De même que Satan s'impose au prieur en lui inspirant de mauvaises pensées qu'il ne peut pas repousser, de même il lui impose de fréquents bâillements afin de le détourner de sa prière.
- « Le jeu doit avoir pour objet un sport ou un exercice faisant acquérir la force. Ceci comprend toutes les activités qui renforcent le corps et la santé : la gymnastique, le football, le tennis, la course, la lutte, la course de chevaux, la natation, le lancement des javelots etc.
Ce n'est que d'après les textes de la Bible qu'on peut apprendre quelque chose de la musique chez les Hébreux ; car, leur loi interdisant toute représentation de créatures animées, telles que des musiciens, ainsi que celle d'objets fabriqués, d'images taillées par la main des hommes, tels que des instruments de musique ...
Selon les textes bibliques la musique a joue un grand role dans la vie du peuple de Dieu. Elle tenait une place importante aussi bien dans la vie quotidienne que dans la liturgie personnelle et collective.
Mais, pour entrer en transe, la musique semble l'élément déterminant. Il s'agit d'une musique particulière, celle du djinn possesseur. Néanmoins, il est vraisemblable que l'effet de la musique soit préparé par l'ambiance qui règne dès le début des soirées de transe.
Bien que le mot "musique" ne soit jamais cité dans le Coran, elle est considérée comme impure par les djihadistes ainsi que par certains musulmans ultra-conservateurs.
1- Qui chante la musique sacrée ? Les moines chantent la musique sacrée. 2- Pour qui est jouée cette musique ? Elle est jouée pour le dieu des chrétiens et les croyants.
La musique profane, dite aussi musique séculière ou encore musique mondaine, regroupe les genres musicaux qui ne sont pas associés aux pratiques religieuses d'un groupe social donné. Le concept s'oppose donc à celui de musique sacrée. La musique profane peut être vocale ou instrumentale.
État de bien-être et émotions positives
Les œuvres musicales ont une structure expressive suffisamment puissante pour imposer des états émotionnels. Elles peuvent aussi diminuer l'état d'anxiété, le niveau de stress et améliorer l'humeur.
Musique et gestion de la douleur
Levitin explique que le cerveau produit un cocktail d'hormones en réaction à la musique, incluant la dopamine, la sérotonine et les opioïdes: des substances chimiques qui soulagent la douleur et produisent une impression d'euphorie.
La musique vecteur d'émotions
Pour lui la musique est un outil puissant car elle a été créée par Dieu à l'origine, avant même la création de l'homme, pour aider les anges à le louer ! La musique vient faire résonner notre corps pour être en harmonie avec Dieu.
Selon le livre de la Genèse, Jubal fut le fils de Lémec et Ada (Genèse 4 : 19-21). La Bible le présente comme le père de tous ceux qui jouent de la harpe et du chalumeau.
Au-delà de la fonction du « maître de chant », dont la mention apparaît fréquemment dans le Psautier, le premier chantre lévite à être mentionné est Yedutûn (ydwtwn) aux Ps 39,1 ; 62,1 ; 77,1. Son nom apparaît encore fréquemment dans les Chroniques [5] et en Né 11,17.
Sans musique, la vie serait une erreur, de même que, sans pardon, bonté ou infinitude, Dieu serait une erreur, un concept raté ou un diable boiteux. La musique est partie intégrante de l'essence de la vie ou, si, comme Nietzsche, on se méfie de ce mot emprisonnant, de sa « perfection ».
Il faut attendre le concile de Laodicée (481) pour que des « chantres canoniques » participent au culte. L'emprunt à Isaïe du Sanctus, au culte hébraïque des acclamations Amen !, Alleluia ! et de la mélodie des psaumes et des cantiques ne fait pas de doute.
Lorsque vous lisez le Coran, maintenez-Le au-dessus du sol, car il est considéré comme un manque de respect de Le placer au même niveau ou en dessous du pied. Prenez le temps de Le contempler et de bien comprendre ce que vous aviez lu.
Dans le sunnisme, il existe quatre écoles juridiques principales. Il s'agit du hanafisme, du chafiiisme, du malikisme et du hanbalisme.
La sunna (سنة, « loi », « tradition ») désigne la tradition et les pratiques du prophète islamique Mahomet, et constitue un modèle à suivre pour la plupart des musulmans. Elle est considérée comme ce que les musulmans du temps de Mahomet suivaient et ont transmis aux générations suivantes.
La musique s'est révélée un moyen d'assurer la continuation esthétique de la civilisation musulmane. Et cette musique se nourrit de la dimension orale du Coran, qui est parole de Dieu transmise oralement.