Le safran est ce que l'on appelle généralement le « gouvernail ». Il s'agit de la pièce mobile plate et verticale immergée qui pivote pour diriger le bateau. Cette pièce est généralement située derrière l'hélice pour être plus efficace.
Le Gouvernail : un point de vue insolite sur le détroit situé juste à côté du Cimetière Marin, à l'extrême pointe de la presqu'île, ce site militaire est un long tunnel de 168 marches creusées dans la falaise.
Le gouvernail est un dispositif mobile destiné au contrôle directionnel d'un bateau et plus généralement de tout engin se déplaçant sur ou dans l'eau.
Les voiliers sont dirigés par le gouvernail, un appendice vertical en forme de lame fixé sur la traverse (la partie plane de la poupe) ou sous le bateau.
Définition de gouvernail
Plan mince orientable que l'on manœuvre à l'aide de la barre, et qui sert à diriger un bateau.
Le safran est ce que l'on appelle généralement le « gouvernail ». Il s'agit de la pièce mobile plate et verticale immergée qui pivote pour diriger le bateau. Cette pièce est généralement située derrière l'hélice pour être plus efficace.
Le gouvernail d'étambot, fixé à l'arrière d'un navire par des charnières, donnait un meilleur contrôle sur sa direction que l'aviron de gouverne et réduisait l'espace nécessaire aux manœuvres tournantes.
La barre d'un navire (ou barre de gouvernail ou barre de pilotage ou, si en forme de roue, barre à roue) est utilisée pour orienter un navire à moteur ou à voile dans la direction voulue.
barre : partie du gouvernail actionnée par le pilote du bateau, manche relié au safran ou roue(s) sur les plus gros bateaux. barreur : Celui qui tient la barre et donc qui dirige le voilier ou le bateau à moteur. bas-hauban : Câble qui permet de tenir le mât au niveau des barres de flèche.
vOOg invente Le Gouvernail, la nouvelle boussole du piéton.
Le coin et le safran font la partie extérieure du gouvernail. Toutefois le coin ne fait que remplir le vide entre le safran et la mèche. Et s'il n'y a pas de coin, le safran est composé de deux pièces a peu près égales. En général le safran définit la surface du gouvernail.
La barre de roue marine, aussi appelée roue de bateau ou encore barre de gouvernail, sert à diriger un bateau, qu'il soit à voile ou à moteur. La barre à roue est la plus répandue sur les bateaux de grande taille et les vieux gréements.
La barre est directement fixée sur la tête de safran. Contrairement à la barre à roue, son utilisation n'est pas intuitive puisque le bateau se dirige à l'opposé de la direction dans laquelle on déplace la barre.
La caravelle est restée le symbole des grandes découvertes. Imaginée par les Portugais vers 1430, elle leur a permis de conquérir la haute mer, ce qu'aucune autre civilisation maritime au monde n'avait su faire avant eux.
Une écoutille est une ouverture rectangulaire dans le pont d'un bateau, destinée au passage ou au chargement ou déchargement des marchandises et provisions de bord.
Le gouvernail axial, pivotant sur charnières à l'étambot et manœuvré par une barre horizontale, apparaît au début du xiii e siècle.
La proue est la partie avant d'un bateau. La première image qui nous vient alors est celle des figures de proue accolées aux bateaux de pirates. La poupe, du latin “puppis”, est quant à elle la partie qui se trouve à l'arrière du bateau.
La proue est la partie avant du bateau.
voileux n. Personne qui pratique la voile de plaisance.
Le mot Marinette s'entend sur les pontons, dans les ports et même sur certaines annonces d'emploi à la plaisance professionnelle. Vous ne le trouverez jamais dans un dictionnaire et pourtant, quand on parle d'un marin au féminin, on utilisera souvent le terme de Marinette.
Lieutenant, Mate – Officier de la marine marchande, troisième autorité du bord après le capitaine et le second capitaine.
Ce n'est qu'au début du XXe siècle qu'elle est devenue un local fermé et vitré (un abri de navigation) intégré aux superstructures du navire, mais le nom de passerelle est resté. On utilise aussi le terme timonerie pour désigner la passerelle d'aujourd'hui.
Sur un voilier, les haubans sont les câbles, fixés de part et d'autre du mât, qui maintiennent celui-ci rectiligne et dans le plan longitudinal. Fixés au sommet du mat et sur le pont du navire ils reprennent les efforts transversaux exercés par les voiles et s'opposent à la rupture par flambement.
Pour diriger le bateau dans la direction souhaitée, il suffit de tourner la roue du gouvernail ou de manœuvrer la barre. Écoutes : ce sont des cordages qui servent à régler les voiles, les écoutes font partie du gréement courant.
Le volant est sur le côté droit de l'embarcation à moteur pour des raisons mécaniques. L'hélice d'un bateau tourne dans le sens horaire. Il faut donc un contre-poids à droite du bateau (le conducteur) pour compenser l'effet de la rotation de l'hélice.