Si vous les craignez, nous vous conseillons de choisir une place à proximité des ailes, au milieu de l'avion quand cela est possible. A cet endroit, on ressent moins les turbulences éventuelles. Et surtout, restez bien attaché sur votre siège lorsque le personnel de bord vous le demande.
Si votre peur réside sur le risque de crash de l'avion, la meilleure place sera alors située à l'arrière car les chances de survie sont plus élevées. Évitez cette place si vous avez peur des turbulences car c'est l'endroit de l'appareil où on les ressent le plus.
Les places “à éviter”
Près des toilettes, sauf si ceci peut vous rassurer. Le passage peut être très dérangeant. En milieu de rangée, sauf si vous êtes en bonne compagnie. Il n'est pas toujours agréable d'être coincé entre deux inconnus.
En revanche, évitez l'arrière de l'appareil qui risque de rapidement bouger en cas de trous d'air, surtout si vous avez le mal de l'air. Toutefois, il va falloir faire un choix, car ces fameux sièges situés au fond de l'avion sont aussi ceux où on a le plus de chances, statistiquement, de survivre à un crash.
L'idéal, évidemment, est au niveau des sièges hublots, en évitant la hauteur des ailes.
Il vaut mieux ne pas choisir la place côté hublot dans l'avion en raison des risques liés à l'exposition au soleil. Dans les avions, les hublots bloquent efficacement la plupart des rayons UVB, responsables des coups de soleil, mais pas les rayons UVA.
Il est possible de diminuer son niveau d'anxiété grâce à des techniques de relaxation comme la cohérence cardiaque, qui est un exercice de respiration antistress, ou la méditation. L'aromathérapie peut aussi aider, avec des huiles essentielles permettant de se sentir mieux.
La meilleure chose à faire pour diminuer votre état anxieux et calmer le stress du départ est de vous organiser en amont. Faites en sorte de boucler votre valise avec au moins une journée d'avance, pour ne plus vous en soucier. Si vous le pouvez, enregistrez vos bagages sur internet la veille du vol.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
"Plonger le matin et prendre un avion dans l'après-midi est potentiellement dangereux, cela peut engendrer un AVC, ou encore un infarctus", prévient le Dr Pierantoni.
Le traitement d'une crise d'angoisse aiguë consiste à éloigner la personne de la situation anxiogène. Si l'attaque de panique est forte, il peut lui prescrire un médicament contre l'anxiété. Le trouble panique nécessite une psychothérapie prolongée, voire un traitement médicamenteux.
Les personnes souffrant de peur de l'avion ou aérophobie ressentent une anxiété anticipatoire à partir du moment où un voyage en avion est planifié. Cette anxiété anticipatoire s'accroit au fur et à mesure que la date du voyage s'approche pour devenir intense dans les quelques heures précédant le vol.
Bruits bizarres, sensations étranges, trous d'air, turbulences, secousses : un passager sur quatre est angoissé à l'idée de prendre l'avion. Chacun y va de sa petite peur, et même les plus habitués peuvent être stressés.
D'où vient l'aérodromophobie, la phobie de l'avion ? La peur de l'avion est liée à plusieurs facteurs. Déjà, il existe une prédisposition génétique. L'amygdale, la partie de notre cerveau qui joue un rôle dans le déclenchement de la peur, est plus ou moins sensible.
1. Vous êtes anxieux ou stressé, c'est normal la plupart des passagers le sont. Il est recommandé de prévoir un sédatif léger : valériane, passiflore, Sériane®, Sédatif PC®…
selon les recommandations des projets correspondants. L'aviophobie (construit à partir des mots avion et φόβος / phobos, « peur »), ou aérodromophobie, désigne une phobie des avions ou des voyages en avion.
Généralement l'angoisse est liée à l'idée du décollage proche à laquelle s'ajoute un sentiment de claustrophobie. Sentiment souvent d'autant plus important lorsqu'il s'agit d'avions de tailles réduites comme les 737, DC 9 ou A 320 à deux rangées de sièges.
L'avion doit avoir une vitesse relative par rapport au vent pour décoller et se maintenir en l'air. S'arrêter, c'est avoir une vitesse relative de 1667 Km/h (donc supersonique) à l'équateur et nulle aux pôle (donc chute).
En cas de problème ou d'urgence, la visibilité vers l'extérieur leur permet de réagir rapidement et de prendre les décisions appropriées pour la sécurité de tous à bord. Si les stores des hublots sont abaissés, cela peut entraver leur vision et retarder leur capacité à évaluer la situation.
Cela peut être bénéfique pour l'adaptation de l'organisme aux changements d'altitude et de pression, ce qui peut aider à prévenir le mal d'altitude ou l'effet de “blocage d'oreille” ressenti par certains passagers. Enfin, lorsqu'un avion décolle, la pression extérieure diminue à mesure qu'il gagne en altitude.
La compression est bénéfique en avion pour éviter les pieds enflés. Il vous suffit de porter des chaussettes de compression de qualité médicale durant le voyage. Vous ressentirez immédiatement la différence.
Les individus souffrant de phobie de l'avion ressentent une anxiété d'anticipation du voyage dès lors qu'ils prennent connaissance d'un voyage planifié. Cette anxiété est de plus en plus importante à mesure que le jour du départ se rapproche, et atteint son paroxysme les heures qui précèdent le vol.
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.