Le Po, qui prend sa source au mont Viso dans le Piémont, près de la frontière occidentale de l'Italie, et se jette dans la mer Adriatique à l'est après avoir parcouru 652 kilomètres, est le plus long fleuve d'Italie.
Le Pô est renforcé par divers affluents qui, à l'exception du Tanaro, sont surtout des affluents alpins de rive gauche, tels la Sesia, le Tessin, l'Adda, le Brembo, le Serio, l'Oglio, le Mincio. Plus à l'aval, ce sont les rivières du versant apennin qui dominent avec la Secchia et le Panaro.
L'un des exemples les plus emblématiques de ce lien est celui qui existe entre la ville de Rome et son fleuve: le Tibre.
Le lac de Garde, le plus grand d'Italie, est aussi le plus spectaculaire. Il surprend par son air méditerranéen et par le bleu intense de ses eaux. Ses splendides paysages sont divers : bordé au nord de falaises escarpées, ses rives sont vallonnées au sud.
Le Pô, "Roi des fleuves italiens" : même aussi à Venise.
Le Tibre (latin Tiberis, italien Tevere) est le troisième fleuve italien, après le Po et l'Adige. Il traverse Rome, à l'histoire de laquelle il est étroitement lié.
L'histoire de Bordeaux est intimement liée à la Garonne. Longtemps nourricier, il a été également une des raisons principales de la prospérité de la ville. Aujourd'hui, le fleuve est toujours au coeur de la ville.
allus. au Rubicon, petit fleuve formant la limite entre l'Italie et la Gaule Cisalpine qu'il était interdit de passer à la tête d'une armée et que César franchit avec ses troupes] Franchir, passer le Rubicon. Prendre une décision hasardeuse irrévocable et lourde de conséquences.
La cité des amoureux ne disposant pas de système d'égout à proprement parler, les eaux usagées sont reversées directement dans les canaux et évacuées par les marées. En l'absence de celles-ci, les eaux sales stagnent et dégagent de mauvaises odeurs.
En conséquence si l'on continue avec ce rythme, il est légitime de croire qu'aux alentours des années 2100 Venise sera complétement recouverte d'eau. A suivre juste derrière Venise nous retrouvons Amsterdam et Hambourg ainsi que d'autres splendides villes.
La lagune de Venise, ou lagune vénète, est une lagune de la mer Adriatique septentrionale, le long des côtes de la Vénétie où se situe la ville de Venise.
1. Le lac de Côme. Situé à une heure de Milan, le lac de Côme est un passage obligé pour tout séjour dans la Péninsule. Telle une vraie perle, ce lac offre un cadre enchanteur qui a conquis depuis toujours l'aristocratie italienne.
Le lac Supérieur
Il se situe entre le Canada et les États-Unis dans la région des Grands Lacs. Il est le plus grand lac d'eau douce au monde avec une superficie de 82 414 km2.
1. Le lac de Côme, le plus célèbre. Découvrir les lacs italiens, c'est nécessairement commencer, ou tout au moins inscrire à sa liste, le lac de Côme. Il n'est ni plus ni moins que le plus célèbre lac italien et considéré comme une perle.
Balade à Londres, au fil de la Tamise.
Le Tigre est le fleuve situé plus à l'Est. Il est long de 1900 km et draine un bassin de 258 000 km², situé à 12% en Turquie, 2% en Syrie, 53% en Irak et 33% en Iran.
La ville de Rome a reçu de nombreux noms. Elle a reçu celui de Ville éternelle par traduction du latin "urbs aeterna", en référence à la pérennité et à la grandeur de Rome.
A Venise, il n'y a pas de sol véritable, et donc pas de canalisation ni station d'épuration. Les égouts sont les canaux, et le rôle de chasse d'eau est joué par les marées journalières.
Venise est construite sur une lagune : une étendue d'eau salée peu profonde qui communique avec la mer. En réalité, les maisons ne sont pas bâties sur l'eau, mais sur 117 îles, reliées par des canaux. Les maisons au bord de l'eau ont des fondations qui résistent au sel de la mer.
L'eau est potable et Venise offre de nombreuses fontaines publiques avec de l'eau merveilleusement fraîche. Ne pas se baigner à l'intérieur des canaux de la ville, c'est interdit et pas sain.
Cette expression latine, habituellement traduite par «les dés sont jetés» ou «le sort en est jeté», est employée pour indiquer, en un moment crucial, que l'on remet son sort au hasard. Jules César aurait prononcé cette phrase passée à la postérité le 11 janvier 49 av. J.