« il » 'et « ce » sont les sujets apparents. . La proposition qui suit est sujet réel. « Il » est un pronom impersonnel. « ce » semble* remplir la même fonction ici.
« Il est » et « elle est » sont suivis d'un adjectif masculin ou féminin singulier et « ils sont » et « elles sont » se placent devant un adjectif masculin ou féminin pluriel. Ils s'emploient pour décrire une caractéristique d'une personne ou d'un objet en particulier. Exemples : Elle est grande.
Faut-il écrire « quand » ou « quant » ? Règle : lorsque vous pouvez remplacer par « lorsque », « à quel moment » ou « le moment où » alors il faut écrire « quand » avec un -d. Sinon, il faut écrire « quant » avec un -t, prenant le sens de « en ce qui concerne ».
Au conditionnel présent, on conjugue le verbe être comme ceci : je serais , tu serais , il serait . Avec le sujet il , la terminaison est -ait . Et ensuite, quand le sujet est placé après le verbe, ces deux mots se relient par un trait d'union.
croyable, envisageable, éventuel, imaginable, plausible, probable, virtuel, vraisemblable.
"il se peut que la vérité soit triste" est correcte; c'est une phrase au présent. au passé, ce serait "il se peut que la vérité ait été triste".
1. [Pour marquer la simultanéité avec le fait exprimé par le verbe de la princ.] Au moment où, dans le temps que.
Étymologie de « quoi qu'il en ait »
Forme décalquée sur l'expression « malgré qu'il en ait », évitant un malgré que présumé fautif : voir malgré.
Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ». Le sens est conservé ? Écrivez « est ».
Comment s'écrit la formule est-elle ? La formule est-elle sert à poser des questions. On y trouve les mots elle et est ( être , conjugué au présent), et l'ordre habituel des mots est inversé. Le mot elle est ici le sujet du verbe être , qui se conjugue donc à la troisième personne du singulier ( elle est ).
Quand l'interrogation comporte une relative avec qui, on emploie de préférence quel, qui évite la répétition de qui : quel est celui qui ose se plaindre ? (plutôt que : qui est celui qui ose se plaindre ?).
en français "es-ce" n'existe pas. "es" est la conjugaison au présent du verbe "être" à la deuxième personne : tu es (means "you are"). "est" est la conjugaison au présent du verbe "être" à la troisième personne : il est, elle est (means "he is, she is" and, which doesn't existe in french, "it is").
Toujours est-il que le smartphone fonctionne, ça veut dire “peu importe comment, elle s'en moque, on aura beau dire tout ce qu'on veut, peu importe, l'important, c'est que le smartphone fonctionne correctement, marche correctement.” Voilà le sens de « toujours est-il ».
Dans les tournures impersonnelles
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Rappel : * un verbe terminé par é est au participe passé; il est conjugué avec avoir ou être. * un verbe terminé par -ais, -ait ou -aient est conjugué à l'imparfait de l'indicatif.
Dans pour qu'il y ait , ait s'écrit avec la terminaison t . On l'emploie par exemple dans : pour qu'il y ait le moins de mécontents possible , pour qu'il y ait quelqu'un qui réponde , pour qu'il y ait du monde qui vienne .
Pour vous assurer qu'il faut bien employer « est » (du verbe être) et non « ai » (du verbe avoir), « pensez » la phrase à l'imparfait, par exemple : => « ce message vous était adressé » (verbe être) est compréhensible => Il s'agit bien du verbe être (est).
quel que soit. "Quel qu'il soit" est une locution qui s'emploie lorsque l'on parle d'une personne ou d'une chose que l'on ne connaît pas ou dont on a une connaissance partielle. C'est aussi la marque de son indifférence quant à cette personne ou cette chose.
Bonjour, Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
(La bonne réponse est : « Prend-il? ». La consonne d devient t quand on fait une liaison. Il ne doit pas y avoir de t euphonique parce que le verbe se termine par une consonne.)
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Soit est toujours invariable : Quand il exprime une alternative : soit il a vraiment oublié, soit il est de mauvaise foi. Quand il a le sens de « c'est-à-dire » : il a gagné le gros lot, soit deux millions de francs.