La loi rend obligatoires, depuis le 1er janvier 2018, onze vaccins pour les enfants de moins de 2 ans. Il s'agit des vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l'hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque et l'Haemophilus influenzae b.
Les nourrissons trop jeunes pour être vaccinés constituent un groupe très vulnérable aux maladies. Par exemple, le vaccin contre la rougeole n'est géné- ralement pas recommandé chez les bébés avant 9 à 12 mois.
Les vaccinations obligatoires sont les suivantes : diphtérie, tétanos et poliomyélite (DTP). Et, pour les résidents de Guyane, la fièvre jaune, à partir de 1 an. Les personnes titulaires de l'autorité parentale doivent veiller au respect de cette obligation.
Bon à savoir : Il existe également d'autres vaccins non obligatoires qui peuvent être proposés par votre médecin ou le pédiatre de l'enfant comme le vaccin contre la varicelle (VARIVAX°) ou contre le rotavirus responsable de gastro-entérites sévères chez le nourrisson de 6 mois (ROTARIX°).
les personnes atteintes de problèmes chroniques comme les maladies pulmonaires, cardiaques ou rénales ou le diabète; les nouveau-nés, trop jeunes pour être vaccinés contre la plupart des maladies; les personnes âgées qui peuvent être plus vulnérables aux complications des maladies.
Il s'agit des vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l'haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites), l'hépatite B, le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites), les infections invasives à pneumocoque (bactérie provoquant ...
Les vaccinations obligatoires sont les suivantes : diphtérie, tétanos et poliomyélite (DTP). Et, pour les résidents de Guyane, la fièvre jaune, à partir de 1 an. Les personnes titulaires de l'autorité parentale doivent veiller au respect de cette obligation.
Il est recommandé de commencer la vaccination dès l'âge de 2 mois, pour suivre le calendrier régulier. L'enfant prématuré, lui aussi, doit recevoir son premier vaccin 2 mois après sa naissance.
à l'âge de 6 ans, puis entre 11 et 13 ans ; chez l'adulte à 25 ans, 45 ans, 65 ans ; puis tous les 10 ans (75 ans, 85 ans etc.)
D'autres vaccins restent encore facultatifs mais conseillés : le BCG, le papillomavirus humain, la grippe et le zona.
L'obligation vaccinale contre la tuberculose (BCG) est suspendue. Ce vaccin n'est donc plus obligatoire mais reste recommandé pour certains enfants résidant en France quel que soit leur nationalité. Il peut être fait dans un centre de protection maternelle et infantile (PMI) par exemple sans avance de frais.
Le calendrier vaccinal
La vaccination ROR est maintenant obligatoire chez les enfants nés à partir du 1er janvier 2018. Selon les recommandations du calendrier des vaccination, les enfants doivent recevoir 2 doses de vaccins trivalent contre la rougeole, les oreillons et la rubéole.
La vaccination permet aux bébés d'être protégés contre des maladies qui pourraient avoir des conséquences très graves sur leur santé. Même si leur système immunitaire fonctionne, il n'est pas encore tout à fait mature et n'a encore rien « vu ».
Il est possible d'avoir un peu de fièvre, des maux de tête ou des courbatures. Un enfant en bas âge peut également avoir moins d'appétit que d'habitude, être un peu somnolent ou grognon. Ce sont des réactions très fréquentes et normales, qui ne durent pas plus de deux jours après la vaccination.
Notre pédiatre nous a conseillé lors des vaccins de donner du paracétamol le soir du jour de vaccination, non seulement pour éviter la fièvre, mais aussi pour éviter les douleurs liées à l'injection.
Les premiers vaccins se donnent dès l'âge de 2 mois. Il est possible de faire vacciner son enfant au CLSC ou parfois lors des visites chez le médecin.
A 3 mois ? – Pneumocoques : une seconde injection du vaccin protégeant contre 7 types de pneumocoque est recommandée uniquement pour les enfants présentant un risque élevé d'infection (enfants nés prématurés, atteints de drépanocytose, de déficits immunitaires, d'une cardiopathie congénitale infectés par le VIH...).
le tétanos. la poliomyélite. la coqueluche (infection respiratoire grave chez le très jeune enfant) la rubéole (infection fréquente et bénigne chez l'enfant, mais qui présente des risques chez la femme enceinte : la vaccination de l'enfant a pour but de limiter la contamination des femmes enceintes)
Centre de protection maternelle et infantile (PMI)
Les centres de PMI sont ouverts à tous et gratuits et peuvent pratiquer toutes les vaccinations. Les professionnels habilités sont présents dans ces établissements (médecins, sages-femmes et infirmiers ou infirmières).
Le BCG (qui doit ses initiales au Bacille de Calmette et Guérin) est un vaccin vivant atténué, c'est-à-dire qu'il contient une bactérie vivante, proche du bacille de Koch responsable de la tuberculose, mais qui a été atténuée pour ne pas donner de maladie.
Agents publics ou salariés, les personnels des établissements et services sanitaires et médico‑sociaux avaient jusqu'au 15 octobre 2021 pour avoir un schéma vaccinal initial complet. À partir du 30 janvier 2022, la dose de rappel est intégrée dans l'obligation vaccinale.
Les immunisations contre la tuberculose, la coqueluche, la rubéole, la rougeole, les oreillons, la varicelle, la grippe, l'hépatite B, le zona, et certaines infections invasives restent recommandées, mais aucun justificatif ne peut être exigé à ce sujet.
La vaccination contribue également à éviter de transmettre le virus à la famille et aux amis, et elle protège les personnes plus vulnérables à une COVID-19 grave. Certains enfants peuvent être infectés sans présenter de symptômes, mais ils transmettent tout de même la maladie.