Aucune étude scientifique sérieuse n'a jamais décelé la moindre trace de souffrance chez les plantes. Actuellement, les plantes ne sont donc pas reconnues comme des êtres pouvant éprouver des émotions et une capacité à souffrir.
La souffrance des plantes, aussi hypothétique qu'inexistante. Il n'y a tout simplement aucune étude scientifique qui trouve la moindre trace de douleur chez les plantes ni même des études qui le suggéreraient. Nous ne pouvons donc pas dire aujourd'hui que les plantes souffrent.
Les plantes sont des êtres vivants, il est donc normal de penser qu'elles peuvent ressentir la douleur, mais la réponse à cette question est négative : les plantes ne ressentent pas la douleur, car elles ne disposent pas du système nerveux et du cerveau pour traiter les stimuli de cette manière.
Depuis 30 ans, les travaux des biologistes révèlent que les plantes sont sensibles au toucher et aux flexions. Lorsqu'elles sont soumises au vent, elles ont une croissance en hauteur moins importante mais un meilleur ancrage racinaire et une croissance en épaisseur plus visible.
Des expériences en laboratoire (qui ont mesuré les plantes avec des électrodes) ont prouvé que les plantes réagissent quand on les soigne ou, au contraire, quand on leur brûle leurs feuilles, ou quand on "fait mal" à un congénère voire même à un autre animal.
Aucune étude scientifique sérieuse n'a jamais décelé la moindre trace de souffrance chez les plantes. Actuellement, les plantes ne sont donc pas reconnues comme des êtres pouvant éprouver des émotions et une capacité à souffrir.
FemininBio : Vous publiez “Les émotions cachées des plantes”. Ce serait donc vrai ? Les plantes ressentent des émotions ? Didier van Cauwelaert : Oui, absolument !
En fonction de ce qu'elles “captent”, elles poussent plus ou moins vite, et se développent dans certaines directions plutôt que d'autres par exemple. Il est donc possible de parler aux plantes pour contribuer à leur croissance.
Dans le monde végétal, en revanche, il n'y a pas d'organe dédié à la cognition (cerveau). L'information est donc traitée par toutes les cellules de la plante, là aussi par des signaux électriques et chimiques, mais sans être centralisée.
Les arbres communiquent par l'air
Le système racinaire n'est toutefois pas le seul mode de communication des arbres entre eux. Ainsi ont-ils développé plusieurs sens, comme nous. Non seulement le toucher, mais aussi le goût, ou l'odorat, sinon la vue.
Donc c'est exactement ce que tu dis, quand on coupe une feuille à une plante, c'est comme à nous lorsqu'on nous coupe les cheveux ou l'extrémité des ongles, elles ne ressentent rien. Même lorsqu'on lui coupe trop de feuilles ou une branche, ce qui représente un danger, elle ne ressentira rien.
Une nouvelle étude affirme que les carottes souffrent quand on les épluche. Fruit de plusieurs années de recherche, des scientifiques affirment que les légumes souffrent quand on les épluche. C'est notamment le cas de la carotte, qui posséderait le plus de cellules microsensibles chez les végétaux.
Contrairement aux mammifères et aux reptiles, la plupart des insectes ne modifient pas leurs comportements après avoir été blessés. Pour de nombreux experts, ce phénomène a été interprété comme une insensibilité à la douleur.
Les plantes (Plantae) sont des organismes photosynthétiques et autotrophes, caractérisés par des cellules végétales. Elles forment l'un des règnes des Eukaryota. Ce règne est un groupe monophylétique comprenant les plantes terrestres.
Les plantes communiquent par leurs racines
Les plantes ont besoin d'intermédiaires. Ce sont des champignons dans le sol - ils colonisent leurs racines et les aident à se nourrir - qui vont intervenir. Car souvent un même champignon peut coloniser plusieurs plantes.
La sensitive (mimosa pudica) elle aussi est dotée de mémoire. Cette plante, connue pour replier ses feuilles lorsqu'on la touche et qu'elle se croit menacée, est capable de mémoriser l'absence de danger et d'adapter ses comportements.
Effectivement, la plante n'est pourvue d'aucun organe : pas de cerveau, pas non plus de poumons ni d'estomac, rien. “Elles n'en ont pas car les organes sont des points faibles et fragiles”, explique Stefano Mancuso.
La plante carnivore Dionée attrape-mouche est célèbre pour sa capacité inhabituelle à attraper et à digérer les insectes et autres petits animaux. Et bien qu'elle n'ait pas de cerveau ou de système nerveux, son comportement est étonnamment intelligent.
Pour que leur croissance soit verticale, les arbres ont besoin à la fois d'un « squelette », qui est obtenu par la rigidité et la résistance du tronc, et d'une « musculature » pour contrôler leur posture en générant des forces compensant l'effet de la gravité.
Les plantes à fleurs sont celles dont la reproduction est généralement la mieux connue, notamment parce qu'elle est bien visible grâce à ces fameuses fleurs. Chez elles, les gamètes mâles et femelles sont respectivement le pollen et l'ovule. Le pollen se trouve sur les étamines, qui sont les organes mâles d'une fleur.
-, ne possèdent pas de nocicepteurs, les récepteurs sensoriels de la douleur. De plus, ces animaux, dotés d'un cerveau très primitif constitué d'une chaîne de ganglions nerveux, ne posséderaient pas la capacité cérébrale à ressentir la souffrance.
Si vous essayez d'écraser un moustique, il ne reviendra pas vous piquer. C'est, en tout cas ce que tend à démontrer une étude américaine. Une piste intéressante dans la lutte contre le virus Zika, la dengue ou le chikungunya.
On peut donc dire que les insectes ne ressentent pas la douleur. Chez les animaux capables de nociception, reste à savoir s'ils ont aussi la conscience de souffrir comme les vertébrés à sang chaud (mammifères, oiseaux).
Est-ce que les animaux et les plantes sont des êtres vivants? Oui, car ils se nourrissent, se développent et se reproduisent, tout comme les êtres humains. D'ailleurs, en biologie, les êtres humains font partie des animaux.
L'argile : plusieurs compositions naturelles à base d'argile peuvent servir de mastic de cicatrisation. Pour les plus pressés d'entre vous, vous pouvez vous contenter de mélanger de l'eau de pluie à l'argile jusqu'à obtenir la consistance idéale à son application.