Réponse : la seule orthographe possible est vous serait-il possible , où le verbe a la terminaison -ait .
croyable, envisageable, éventuel, imaginable, plausible, probable, virtuel, vraisemblable.
Le verbe serait-ce n'existe pas. Il s'agit peut-être d'une faute d'orthographe. Voici une liste des verbes se rapprochant le plus : surtitrer.
Quelle (ou quelles au pluriel) est l'adjectif interrogatif ou exclamatif. Il s'accorde avec le nom qu'il accompagne (quel, quelle, quels, quelles). Par contre, on écrit qu'elle (ou qu'elles au pluriel) quand il s'agit de la conjonction que + le pronom sujet elle(s) PRONOMS SUJETS.
On écrit dans tous les cas vous est-il possible .
Il peut servir à : Donner une information incertaine, non confirmée. D'après moi, il serait sur le point de partir.
Il est préférable d'accorder possible lorsqu'il est placé après un adjectif pluriel au superlatif. Cependant, on peut aussi le laisser invariable. Nous avons cueilli les fraises les plus mûres possible(s). Ils ont acheté les articles les moins chers possible(s).
Les deux sont corrects. Voir par exemple l'entrée du TLFi qui note que quand l'antécédent est un pronom à la première ou deuxième personne, quel est rarement utilisé. Quel peut être utilisé dans des contextes où il n'est pas équivalent à qui, quand l'interrogation porte sur une qualité plutôt que sur l'identité.
Quel : Attribut du sujet
Il s'accorde avec le nom auquel il se rapporte en genre (féminin, masculin) et en nombre (singulier ou pluriel). Quels sont ces pouvoirs ? Quelles sont vos disponibilités ?
On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»
Locution-phrase
Au moins, au minimum. Même pas, point du tout.
Les verbes pronominaux permettent d'indiquer que le sujet fait l'action pour lui-même. On les reconnaît par les pronoms réfléchis me, te, se, nous, vous et à nouveau se devant le verbe. Ces pronoms réfléchis sont toujours de la même personne que le sujet.
s'il s'avère que, s'il est vrai que, dans la mesure où ...
Je vous informe que... Permettez-moi de vous annoncer que... Nous vous annonçons…
Qui peut se produire, éventuel : Une erreur est toujours possible. 3. Dont il est envisageable qu'il soit éventuellement tel : C'est un candidat possible. 4.
Quelle(s) est un adjectif interrogatif ou exclamatif, au féminin QUEL ADJECTIF. Quelles sont les nouvelles ? Quelle belle barbe ! Qu'elle(s), c'est que + elle(s).
Caractère de ce qui est affligeant, déplorable : Quelle tristesse de voir ça !
Quelle(s), forme féminine dequel, peut être adjectif interrogatif ou exclamatif. Je l'accorde en genre et en nombre avec le nom qui le suit. - Quelle heure est-il ? - Quelles histoires !
« Beaucoup » est un adverbe de quantité. Invariable, il exprime la quantité, la fréquence ou l'intensité. Qu'il soit complément d'un verbe ou qu'il accompagne un nom au pluriel, il ne prend jamais de « s ».
Une règle simple pour savoir si on doit mettre é ou er à la fin d'un verbe est de le remplacer par le verbe "vendre" dans la phrase. Si l'on dit "vendu", il faut mettre é, sinon il faut mettre "er".
L'expression dès que possible est tout à fait correcte. Il en va de même d'aussitôt que possible : Ils devaient quitter le pays dès que possible/aussitôt que possible.
Bonjour Victoria, Ici, impossible est une épithète ordinaire ; il s'accorde donc avec le nom auquel il se rapporte. On écrit dès lors des émotions impossibles à maîtriser. Autre ex. : Des conditions impossibles à respecter.
L'adjectif « possible» demeure également invariable lorsqu'il se rapporte à un verbe, un adverbe, un nom ou un adjectif, placé après un superlatif. Il se rapporte alors au pronom impersonnel « il », qui est sous-entendu.