L'impulsivité peut être considérée comme une classe diagnostique en soi (ex. trouble du contrôle des impulsions) ou faisant partie des critères diagnostiques de certains troubles psychiatriques comorbides.
En psychiatrie, l'impulsivité compte parmi les critères les plus courants du DSM, touchant plusieurs diagnostics: trouble déficitaire de l'attention et de l'hyperactivité (TDAH), troubles de la personnalité borderline et antisociale, trouble bipolaire, troubles de la conduite et oppositionnel, troubles du contrôle des ...
L'impulsivité, une des caractéristiques de certains troubles psychologiques, comme la schizophrénie ou les troubles bipolaires aurait un caractère génétique. Vos parents seraient responsables de votre impulsivité, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue médicale Neuropsychopharmacology.
Concrètement, l'impulsivité est un manque d'autocontrôle qui amène les enfants à réagir rapidement, qui les empêche de réfléchir avant d'agir et qui souvent, les amène à réagir fortement face à une situation ou une émotion négative.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
1 – On verbalise nos émotions
Il prend conscience de comment est perçue son agressivité, et ça l'oblige à argumenter sur son état, et à comprendre l'origine de cette agressivité. On peut alors mieux le « rassurer ».
Dans une large mesure, cela est dû à une mauvaise maîtrise de soi et à une faible tolérance à la frustration. Cependant, ce ne sont pas les seules causes. Sous la colère se cache aussi très souvent une couche de tristesse que nous ne savons pas affronter, et encore d'autres sentiments ou émotions refoulés.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Selon la neuropsychologie, l'agressivité serait due à un réflexe pré-programmé au niveau neurologique, en lien avec le vécu personnel et le contexte socio-culturel. L'agressivité peut aussi être associée à certaines pathologies, telles que la psychose, la névrose ou l'épilepsie.
La thérapie centrée sur les émotions (TCE) est un type de thérapie validée de façon empirique et qui aide les gens à identifier, vivre, exprimer, accepter, réguler, comprendre et transformer une large gamme d'émotions.
Qui agit comme sous la poussée d'une force irrésistible, en l'absence de toute volonté réfléchie : Un impulsif qui ne sait pas se retenir de parler.
L'adjectif « impulsif » vient du mot latin impellere signifiant « heurter, pousser à, inciter à ». Être impulsif c'est donc agir, ou plutôt réagir de manière incontrôlée, suite à une impulsion qui nous pousse à l'action.
Définition de irascible
➙ coléreux ; irritable.
Les psychoses notamment, comme la schizophrénie, la paranoïa ou les troubles bipolaires peuvent engendrer de grosses crises d'énervement. Diverses maladies neurodégénératives, dont l'Alzheimer, sont aussi souvent responsables. Enfin, il peut être lié à un dérèglement hormonal.
SALAMI (conjoint impulsif qui crie en cas de désaccord)
La colère peut arriver seule, à la suite de la présence d'un irritant, d'un besoin non satisfait, ou d'un désir non respecté. Mais elle peut aussi être un moyen de libérer d'autres émotions enfouies telles que la peur, l'angoisse, la tristesse…
Évitez de rajouter à la tension et à la colère ambiante en vous montrant fermé et énervé. Ne croisez ni les bras ni les jambes, évitez de grimacer ou de regarder par terre et n'approchez jamais vos mains du visage de quelqu'un, n'envahissez pas son espace X Source de recherche .
On détruit notre entourage sans s'en rendre compte, ce qui finit par nous détruire aussi. On culpabilise beaucoup, du coup.
En général, s'énerver fait partie de la nature humaine. Mais, dans certains cas, une colère permanente peut être le signe d'un problème plus profond: la dépression. Une étude de 2014 montre que la colère – aussi bien manifeste que réprimée – est un indice de trouble de la santé mentale.