Une consommation excessive d'ail cru, particulièrement lorsque l'estomac est vide, peut causer des désordres gastro-intestinaux : l'ingestion d'une à deux gousses d'ail par jour s'avère une dose sûre pour un adulte.
Consommé en grande quantité, l'ail peut entraîner une sensation de brûlure dans la bouche, des odeurs corporelles, des maux de tête, des flatulences, des vomissements et de la fatigue. Il peut également provoquer des irritations du système gastro-intestinal (2,3).
Aide à la digestion
L'ail contient des acides phénoliques, qui ont la capacité de nettoyer et épurer le système digestif de l'intérieur. Et il est également chargé en inuline, un prébiotique, et en fructosanes, une fibre, qui contribuent à lutter contre l'inconfort digestif et à restaurer la flore intestinale.
Ils peuvent être de type gastro-intestinal (nausées, vomissements, diarrhées, crampes abdominales), cutané (urticaire, eczéma, dermatite, oedème) ou respiratoire (asthme, oedème du larynx ou oedème généralisé nommé choc anaphylactique).
Effet sur la digestion
L'ail noir est un aliment permettant de faciliter la digestion, avec un léger effet laxatif, qui joue un rôle important dans un régime et une alimentation de qualité. Il facilite le transit intestinal, et, avec ses effets probiotiques, permet de participer à l'équilibre de la flore intestinale.
L'ail, l'oignon… et leurs cousins riches en fibres peuvent causer des flatulences. L'incapacité du corps à digérer le fructane, une fibre présente dans certains aliments, peut causer des flatulences.
Si l'ail est excellent pour la santé, il faut en revanche veiller à ne pas en abuser, au risque de souffrir de brûlures gastriques ou de crampes abdominales. Consommé en quantité importante, l'ail peut également donner une mauvaise haleine.
Dans ce cas, associez-les à des herbes aromatiques raffraichissantes comme le persil, le basilic, le romarin ou le thym. Elles facilitent également la digestion et débarrassent de la mauvaise haleine. Et puis surtout, pensez à toujours retirer le petit germe vert qui reste souvent dans l'ail…
des ballonnements de l'estomac (épigastriques) ; des nausées après les repas, voire parfois des vomissements ; des éructations après les repas (rots) ou un hoquet ; des douleurs de la région épigastrique ou brûlures de l'estomac intermittentes et modérées qui ne remontent pas derrière le sternum .
Toutefois, tout le monde ne digère pas l'ail de la même façon. Pour limiter ces soucis et cette gêne suite à l'ingestion de plats trop aillés, il faut retirer ce germe, qui contient du soufre, responsable des indigestions et du phénomène d'éructation.
La consommation d'ail présente peu de désavantages, pourvu que l'on s'en tienne à une consommation de moins de 4 g par jour (l'équivalent d'une gousse). A plus haute dose, la consommation d'ail frais couplée à la prise de certains médicaments anticoagulants pourrait augmenter les risques de saignement.
Par ailleurs, les gousses d'ail possèdent un fort effet laxatif, notamment lorsqu'on les associe à de la chlorella. La plante s'avère efficace en cas de gastro-entérite (malgré son pouvoir laxatif) et aide à rétablir la flore intestinale sans supprimer les bonnes bactéries qui s'y trouvent.
La menthe et la mélisse sont reconnues pour réduire les spasmes du colon et de l'estomac. Pour se faire, versez de l'eau bouillante dans une tasse et ajoutez-y une cuillère à café de menthe et mélisse en poudre. Pour sucrer cette tisane, ajoutez du miel et pour l'aromatiser du jus de citron pressé.
Les personnes qui ont une colopathie fonctionnelle ont des intestins plus sensibles. Elles ressentent plus péniblement des phénomènes pourtant naturels, comme des ballonnements, des flatulences, des contractions de l'intestin.
Avant de le consommer, coupez la gousse et écrasez-la. Le fait d'écraser les gousses d'ail active une réaction qui rend l'allicine plus bio-disponible. Sachez que l'ail est encore plus efficace lorsqu'il est mangé à jeun.
Cet aliment est excellent pour le corps, mais consommé en grande quantité (plus d'une gousse d'ail), il peut provoquer des reflux gastriques et des brûlures d'estomac, ce qui vous fera passer une nuit plutôt désagréable. Les protéines doivent également être évitées en trop grande quantité avant de se coucher.
Ca n'est quasiment pas calorique, en revanche ça prend énormément de place dans l'estomac, ce qui fait gonfler le ventre. L'ail fait partie des FODMAP, qui est un groupe d'aliments contenant des glucides peu digestes.
Avant tout antiseptique, l'ail élimine également à l'intérieur du tub digestif les bactéries responsables des gaz et autres sensations de ballonnement.Il contient aussi du chlore, qui entre dans la composition du sucgastrique sécrété dans l'estomac.
Les causes
Chaque fois que de l'air est avalée dans l'estomac, celle-ci doit s'évacuer et cela peut entrainer des flatulences. Par exemple, en mangeant ou buvant trop rapidement, en fumant, en mâchant des chewing-gums ou en consommant des boissons gazeuses. Mais la cause principale des flatulences est l'alimentation.
Les problèmes de mauvaise digestion sont causés le plus souvent par des facteurs externes : mauvaises habitudes alimentaires, repas copieux ou excès d'alcool. L'aérophagie (ingestion trop importante d'air lors d'un repas) peut également créer un grand inconfort et des éructations.
Dormir sur le côté gauche améliore la digestion
Du point de vue de la digestion, dormir sur le côté gauche est préférable au côté droit. Pourquoi ? Tout est une question de gravité. En effet, si vous êtes allongé sur le côté gauche, le transit se fait plus facilement du gros intestin en descendant vers le côlon.
Le fenouil, l'anis vert, le carvi ou le cumin sont carminatives, autrement dit, elles aident à expulser l'air bloqué dans les intestins tout en réduisant les douleurs. Les tisanes de thym, de romarin, d'anis vert, de mélisse, de menthe poivrée, ou encore de camomille sont recommandées de façon traditionnelle.
Elle se manifeste sous forme de spasmes ou de crampes. Souvent localisée au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou de la région ombilicale, elle peut être soulagée par l'émission de selles ou de gaz. les ballonnements y sont également souvent associés.