Parmi les symptômes de la dépression on retrouve : l'altération de l'appétit qui peut avoir un impacte sur le poids de la personne malade. Le plus souvent, l'appétit est diminué en cas de dépression. Les aliments semblent sans goût, l'assiette paraît trop remplie.
Lors d'événements stressants, le cerveau libère de l'adrénaline, aussi appelée hormone du stress, qui ralentit le système digestif. La dépression déclenche la production de corticolibérine ou CRH pour corticotropin-releasing hormone, au niveau de l'hypothalamus du cerveau, qui freine également l'appétit.
Il n'est pas rare que la dépression entraîne une diminution de l'appétit et, par le fait même, une perte de poids. Effectivement, la dépression s'accompagne d'une perte de plaisir généralisée qui peut s'étendre jusqu'à l'alimentation des individus.
Une personne dépressive se sent souvent coupable. Elle éprouve de la culpabilité à ne plus réussir à faire les choses et à provoquer de l'inquiétude chez ses proches. Ainsi, elle aura des pensées telles que « Je suis un poids pour les autres », ou « J'embête mes proches avec mes problèmes ».
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
Le malade dépressif s'isole, son visage se fige et devient moins expressif. Il est ralenti, prostré et s'occupe de moins en moins de son apparence jusqu'à même négliger son hygiène. Il possède de moins en moins d'initiatives ; il parle, d'un ton monocorde et lent, de moins en moins souvent.
La présence d'une maladie chronique, les suites prolongées du Covid ou « Covid long », l'existence d'un handicap, la dépendance à l'alcool, au tabac ou l'addiction à d'autres substances consommées pour apaiser des angoisses sont des facteurs favorisant la survenue d'une dépression.
Le cerveau , la glande surrénale et l"hypophyse sont au centre de la réaction au stress . L'agression va produire sur l'organisme des réactions complexes impliquant à la fois : - Le cerveau et en particulier l'hypothalamus.
Un individu stressé brûlera davantage de calories qu'un individu plus zen car le stress qu'il éprouve lui fait consommer plus d'énergie et maintient son corps toujours en alerte.
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…
Le manque d'appétit survient quand les récepteurs qui régulent la sensation de faim et la satiété se mettent à dysfonctionner, mais les causes peuvent en être multiples. La perte d'appétit peut être temporaire dans certains cas : Lors de situations de stress qui peuvent perturber le système digestif.
Les personnes atteintes de dépression peuvent souffrir de douleurs corporelles, notamment de maux de tête, de douleurs musculaires et articulaires, de douleurs abdominales et de douleurs dorsales.
troubles physiques : troubles digestifs (colopathie fonctionnelle, nausées, hyperphagie boulimique ou perte d'appétit, incapacité à manger...), douleurs, douleurs et tensions musculaires, fourmillements, palpitations, douleurs thoraciques, envie fréquente d'uriner, insomnies, somnolence dans la journée, fatigue, mal de ...
La dépression est une maladie, et non le reflet d'une faiblesse de caractère. Elle peut durer quelques semaines, souvent plusieurs mois, parfois plusieurs années. Elle nécessite une prise en charge médicale et sa guérison n'est pas une affaire de volonté.
tout son sens dans les troubles anxieux et la dépression ainsi que dans la prévention des rechutes. L'activité physique peut être ainsi un outil très puissant dans votre situation. Qu'est-ce qu'elle favorise ? Pratiquer une activité physique de type cardio (vélo, course à pied, natation, aérobie à un rythme modéré…)
> La fatigue est l'un des nombreux symptômes des épisodes dépressifs. Elle s'accompagne d'un trouble de l'élan vital et se mêle entre autres à un abattement affectif, des troubles cognitifs de la concentration et une inhibition psychomotrice.
La psychothérapie est recommandée, quel que soit le type de dépression. Elle fait régresser les symptômes dépressifs, diminue la fréquence des récidives ou conduit à la rémission durable.
L'un des multiples effets de la dépression, ce sont les séquelles cognitives : des troubles de mémoire à court terme, des difficultés de concentration ou des difficultés pour acquérir des nouvelles connaissances...
Une étude récente a mis en lumière la présence d'altérations neurocognitives chez les patients dépressifs et chez les cas témoins. Les principaux déficits se trouvent au niveau de la mémoire, de l'inhibition, de l'attention partagée et des fonctions exécutives.
Maux de tête, problèmes de dos, difficultés intestinales… Les détails de cette souffrance physique. Parmi les symptômes de la dépression, l'un d'eux est souvent oublié : la douleur.
La clé pour amener une personne triste ou déprimée à exprimer ses sentiments est précisément de l'écouter sans jugement. C'est-à-dire que même si vous pensez pouvoir apporter une solution à leurs problèmes, en réalité, il vaut mieux les écouter sans donner de conseils qu'ils ne demandent pas.