La présence de glaires ou de mucus dans les selles est plutôt commune : les intestins en produisent une petite quantité pour maintenir la paroi du côlon humide et lubrifiée. Ce phénomène ne doit toutefois pas être sous-estimé, il peut trahir la présence de maladies digestives, ou d'autres pathologies sous-jacentes.
Comment traiter les glaires dans les selles ? Le traitement dépendra de la cause. En cas d'infection, la prise d'un antibiotique est privilégiée. Si la cause des glaires est une constipation, il est recommandé d'associer un laxatif avec un changement d'habitude alimentaire.
Une quantité importante de glaires dans les selles justifie toujours une consultation médicale. Si le phénomène est souvent sans gravité, il peut parfois être le signe d'une inflammation du côlon, ponctuelle ou chronique, voire d'un cancer.
La présence de mucosités, ou de glaires, dans les selles peut parfois évoquer un trouble sous-jacent. Ces mucosités sont épaisses, blanches et visqueuses, sécrétées par les muqueuses. Elles peuvent être le signe d'une inflammation du côlon ou d'une infection bactérienne.
Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
Consistance du mucus
une consistance mousseuse témoigne de maladies comme la pneumonie et un reflux œsophagien ; une consistance très liquide peut être causée par une inflammation : sans infection (allergie, asthme) ; ou avec infections (sinusite, rhume, grippe).
Le mucus intestinal est un composé acellulaire à l'interface entre l'épithélium et le microbiote dont le rôle clé commence seulement à être révélé. Il représente la première ligne de défense contre les menaces biologiques et chimiques traversant notre tube digestif.
Le mucus est un liquide gélatineux, aqueux ou visqueux produit par les muqueuses de l'organisme, souvent observé lorsqu'on se mouche pendant un rhume. Le mucus sert aussi de filtre pour les irritants tels que la poussière, les bactéries, la fumée et les allergènes.
D'autres remèdes naturels existent contre la toux grasse et les glaires. Vous pouvez ainsi vous préparer une boisson chaude avec de l'eau, du citron et une grosse cuillerée de miel. Les inhalations, avec ou sans huile essentielle, soulagent le nez bouché et peuvent agir sur la toux également.
Le mucus intestinal aurait donc deux fonctions essentielles dans l'intestin. D'une part, il jouerait le rôle de barrière protectrice contre les germes et les toxines, et, d'autre part, il limiterait la réaction immunitaire pour protéger les tissus.
Fistule anale
L'infection va ensuite se propager dans les muscles et les tissus du canal anal pour aboutir à un écoulement de pus au niveau de la peau entourant l'anus. Le pus ressemble à un liquide jaunâtre ou blanchâtre, signe d'une inflammation.
L'apport de L-thréonine et de 2 Fucosyllactose permet de soutenir la production de mucus, sorte de gel qui tapisse notre intestin et qui joue un rôle primordial dans la fonction barrière de l'intestin.
Pour cicatriser la muqueuse, le Dr Éric Ménat a recours à la L-glutamine, un acide aminé spécifique de la réparation de la muqueuse, et à la chlorophylle. En plus de cicatriser, la chlorophylle absorbe les gaz et est antifongique.
Le mucus, liquide clair et visqueux, composé de glycoprotéines, de lactoferrine et d'autres composés antimicrobiens comme des hypothiocyanites et de protéoglycanes, est formé par les cellules muqueuses ou mucipares (encore appelées, en histologie, cellules « caliciformes à mucus ») dispersées au sein des épithéliums.
Reflux avec glaire. Avoir un reflux avec glaires n'est pas inquiétant : en effet, lors d'un reflux gastro-œsophagien, le liquide gastrique qui remonte vers la gorge fait aussi augmenter la production de mucus, et donc de glaires.
Diarrhée. Si vous êtes atteint du cancer du pancréas, vous pourriez avoir différents types de diarrhée. Chez certaines personnes dont un canal biliaire est bloqué, les selles peuvent avoir la couleur de l'argile.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Des douleurs épigastriques (dans la région de l'estomac) et un amaigrissement progressif sont les signes les plus fréquents. Toutefois, ces symptômes ne sont pas spécifiques à cette maladie. Lorsqu'elle est plus évoluée, la tumeur peut engendrer d'autres signes : des vomissements, une hémorragie et donc une anémie …
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Qui consulter pour détecter des polypes ? Seule une coloscopie peut détecter la plupart des polypes. Elle est effectuée, surtout à partir de 50 ans, en présence de signes digestifs comme des ballonnements, des gaz coliques abondants, un petit saignement anal, des hémorroïdes internes.