Selon le type de cancer pulmonaire, le traitement repose sur les soins suivants : chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie, thérapie ciblée et immunothérapie spécifique, pratiqués en association ou successivement.
Les médicaments face à la douleur liée au cancer
Pour les douleurs neuropathiques, les spécialistes font appel à des antiépileptiques comme la prégabaline (Lyrica®) ou la gabapentine. Parfois, des anxiolytiques ou des antidépresseurs peuvent être utiles.
La chirurgie, lorsqu'elle est possible, reste le principal traitement du cancer du poumon. Elle a pour objectif d'enlever la tumeur dans sa totalité. Pour y parvenir, les chirurgiens procèdent à l'ablation du ou des lobes atteints (lobectomie, bilobectomie) ou de la totalité du poumon (pneumectomie).
Des douleurs persistantes dans la poitrine et dans les bras sont un signe de cancer du poumon à un stade déjà avancé, lorsque les tumeurs commencent à irriter les nerfs situés aux alentours de l'apex du poumon.
L'utilisation de corticoïdes peut être utile pour calmer la toux d'une compression trachéo-bronchique, d'une lymphangite carcinomateuse pulmonaire, d'une fibrose, d'un bronchospasme, d'un syndrome cave supérieur, etc.
Le cancer du poumon à petites cellules est le type le plus agressif de cancer du poumon. Dans de nombreux cas, il s'est déjà propagé à d'autres parties du corps au moment où il est diagnostiqué.
Les personnes concernées par un cancer du poumon ont la possibilité de renforcer leur bien-être de différentes manières : alimentation, exercice physique et relaxation sont des facteurs fondamentaux pour se sentir bien. Ils peuvent aussi avoir une action positive sur la santé et le psychique.
On peut ainsi diviser le stade 1A : Stade 1A1 – La tumeur au poumon mesure 1 cm ou moins. Stade 1A2 – La tumeur au poumon mesure plus de 1 cm mais pas plus de 2 cm. Stade 1A3 – La tumeur au poumon mesure plus de 2 cm mais pas plus de 3 cm.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Pour le stade limité du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 12 à 16 mois, avec traitement. Pour le stade étendu du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 7 à 11 mois, avec traitement.
Les chimiothérapies restent la base du traitement des cancers du poumon à un stade étendu. On les utilise aussi après le traitement chirurgical lorsque la tumeur dépasse 4cm et/ou lorsque certains ganglions retirés sont pathologiques. La chimiothérapie a pour but d'empêcher la multiplication des cellules tumorales.
Le curcuma, anti-inflammatoire à tout faire
Cette racine épicée est la star des anti-inflammatoires naturels. Il est principalement utilisé pour calmer les douleurs articulaires ou les inflammations de la muqueuse intestinale, mais il peut être employé pour toute douleur d'origine inflammatoire.
La chaleur. Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire.
Les AINS employés pour traiter la douleur liée au cancer sont entre autres ceux-ci: ibuprofène (Motrin, Advil, Nuprin) acide acétylsalicylique (ASA, aspirine, salicylate) naproxène sodique (Aleve)
L'envie de dormir ressentie par les patients atteints d'un cancer peut survenir à tout moment de la journée et pas nécessairement après un effort, elle peut être particulièrement intense et handicapante. Manque d'énergie, sensation d'épuisement, somnolence…
Les douleurs du cancer ne sont pas forcément un signe de gravité. Elles dépendent principalement de l'endroit où est située la tumeur. Des douleurs neuropathiques peuvent apparaître lorsque la tumeur ou des métastases compriment ou envahissent une partie du système nerveux : un nerf, la moelle épinière* ou le cerveau*.
Dans un cas de cancer du poumon à petites cellules au stade avancé, la durée de survie moyenne est de 6 à 12 mois avec traitement et de 2 à 4 mois sans traitement.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
« Actuellement avec la chimiothérapie seule, les chances de survie ne sont que de 50 % un an après le diagnostic ».
Il est possible que le cancer du poumon ne cause aucun signe ni symptôme aux tout premiers stades de la maladie. Les signes et symptômes apparaissent souvent au fur et à mesure que la tumeur se développe et provoque des changements dans le corps comme la toux ou l'essoufflement.
C'est le cas lorsque “la tumeur est trop grosse, la localisation du cancer rend son retrait difficile sans endommager les organes à proximité, le cancer est trop petit pour être vu par les chirurgiens, l'état de santé général du patient rend l'opération trop dangereuse”, détaille la Société canadienne du cancer.
Stade 4. Le cancer s'est propagé à d'autres parties du corps (métastases à distance). On parle aussi de cancer du poumon non à petites cellules métastatique.
Les cancers les plus mortels dans le monde
Le cancer du poumon, qui tue deux fois plus les hommes que les femmes, est pourtant largement évitable puisque sa principale cause est le tabagisme (deux tiers de cas). Ce cancer est particulièrement mortel, avec un taux de survie à 5 ans inférieur à 10 ou 20 %.