Dans tous les cas, la dysphorie post-coïtale peut arriver à chacun d'entre nous. La communication, au moins avec son partenaire, reste la clé de la guérison.
Les individus présentant une dysphorie postcoïtale (DPC) ressentent mélancolie, tristesse, anxiété, irritabilité ou agitation psychomotrice, immédiatement après l'acte sexuel. Cet état peut, semble-t-il, durer plus d'une heure et n'est pas soulagé par les mots de réconfort du partenaire.
Du grec 'dysphoros' (qui supporte difficilement), la dysphorie correspond à un « état psychique généralement durable, marqué par la présence de sentiments d'insatisfaction, d'ennui, de mal-être diffus, de goût amer de la vie et de dépression », décrit l'Académie nationale de médecine.
Pendant l'acte sexuel, notre corps se relâche, notre esprit s'apaise. Autrement dit, on s'allège d'un poids. "Les larmes en sont la démonstration. On pleure parce qu'on dépressurise et pleurer continue de nous libérer" poursuit Laurence Siroit, psychologue et sexologue.
Une pénétration trop profonde peut avoir un effet sur les organes pelviens, comme l'utérus et le col de l'utérus. Tout contact avec le col de l'utérus peut provoquer une réaction vagale, qui entraîne des nausées.
L'excitation sexuelle s'accompagne de tensions plus ou moins fortes, dans les jambes en particulier. Ces tremblements se produisent après l'orgasme, dans une phase de détente.
Les causes de la dysphorie post-coïtale restent en réalité mal connues - car trop peu étudiées - mais certains scientifiques pensent que les sentiments de tristesse et de regret chez l'homme résulteraient de la libération du sperme et de l'épuisement du corps après l'orgasme. Le sexe nous rend vulnérable.
Pour donner du plaisir à un homme au lit, il est important de ne pas se mettre de pression et de ne pas être dans le calcul, la spontanéité c'est souvent ce qui fait la différence entre une femme qui donne du plaisir et une femme qui fait cela simplement par habitude ou pour éviter que son mari ne lui fasse des ...
La décharge hormonale que libère l'orgasme peut provoquer des réactions inattendues, comme des larmes, qui dans ce cas sont généralement l'expression d'une joie très intense. Mais lorsque celles-ci viennent à couler pendant l'acte, elles peuvent être le symptôme d'un véritable mal-être.
Quand arrive le café, on a envie d'accompagner cet instant en fumant une cigarette. Ce serait la même chose après l'amour pour prolonger le plaisir. D'autant plus que la cigarette contient des composés qui prolongent les sensations agréables ressenties pendant l'amour.
Ce terme anglophone contraction des mots "cry" (pleurer) et "climax" (soit le niveau de jouissance ultime), désigne simplement le fait de fondre en larmes juste après avoir atteint le septième ciel.
Dans ce cas, Caroline Michel conseille : « Il suffit simplement d'expliquer à l'autre qu'on a besoin d'être encouragée. A priori, s'il nous remercie à chaque fois qu'on se dépasse, on se dépassera les prochaines fois avec plaisir. » C'est une véritable déclaration d'amour, d'où notre pudeur à le lâcher parfois.
"La grande majorité des couples ne pourra dans la durée accepter de vivre dans une forme d'abstinence sexuelle sans conséquences pour leur union. La sexualité restera un élément indispensable et indissociable du couple et de l'amour favorisant leur épanouissement et bien être mutuel.
S'il ose vous toucher, mettre une main sur votre genou ou toucher votre taille par exemple, il sent le sexe ! À moins qu'il ne soit quelqu'un de très accessible avec tout le monde, ses petites touches signifient qu'il a envie de vous.
Buvez un grand verre d'eau avant l'acte sexuel
Le fait de boire beaucoup d'eau vous permettra en effet d'uriner fréquemment (dans l'idéal environ 1 fois toutes les 3h) et donc de nettoyer régulièrement votre vessie.
Malgré le surnom trompeur de "Viagra féminin", la flibansérine vise à renforcer le désir sexuel, et non à restaurer la mécanique de la vie sexuelle, comme les inhibiteurs des phosphodiestérases de type 5, médicaments inducteurs de l'érection (VIAGRA, CIALIS, LEVITRA, SPEDRA).
Une autre cause souvent mise en avant est le manque d'estime de soi. Avoir une mauvaise image de son corps avec des complexes physiques, ou douter de ses capacités et se sous-estimer vis-à-vis de son partenaire est aussi à l'origine de difficultés à atteindre l'orgasme.
Après l'orgasme, il existe une période réfractaire. C'est un moment pendant lequel l'excitation sexuelle est impossible physiquement, un peu comme si l'organisme avait besoin de recharger ses batteries. Ce phénomène existe chez tous les hommes, et la durée de cette période réfractaire augmente avec l'âge.
Peut-être que la raison qui le pousse à s'éloigner de toi se cache dans sa malhonnêteté. En effet, peut-être qu'il n'avait pas l'intention de coucher avec toi plus d'une fois, ou qu'il ne désirait pas du tout entretenir une relation amoureuse durable.
« Pourquoi tu pleures ? »
Quoi qu'il arrive, vos paroles ne serviront pas de mouchoirs. Tendez-lui un Kleenex ! Racontez-lui une bonne blague, un peu d'humour après l'amour, c'est bien aussi.
L'orgasme et l'éjaculation demande un lâcher-prise. Il existe également hommes qui n'y parviennent pas. Là aussi les raisons sont multiples : la peur de devenir père, la peur du vagin, un trop grand contrôle de son plaisir mais aussi parfois un plaisir sadique de se refuser à la femme.
Vous dormez face à votre homme, votre visage tourné vers le sien. Cette position vous permet de vous toucher le corps. Vous pouvez le toucher avec les pieds, les jambes, les genoux, le torse, la poitrine. Quand il ouvrira les yeux, votre amoureux vous verra abandonnée au sommeil.
Pour certains ce sont des "expressions dimorphes" de l'émotion. Nous pleurerions quand nous ririons autant parce que le corps essaie de s'autoréguler en réponse à des émotions fortes. Certains indices suggèrent également que la même partie du cerveau contrôle à la fois les pleurs et le rire.