La conscience faiblit, les membres refroidissent, voire bleuissent ou se marbrent, et la respiration devient irrégulière. La confusion et la somnolence peuvent survenir dans les dernières heures.
Arrêt cardio-circulatoire et respiratoire (absence de pouls, de respiration, de tension artérielle) Abolition totale de la conscience, de la sensibilité Aréflexie (absence de réflexe) Perte du tonus musculaire et mydriase bilatérale.
L'agitation terminale :
Le processus d'agonie peut alors se prolonger mais surtout, la personne commencera à s'agiter beaucoup lorsqu'elle sentira réellement que la fin est toute proche. L'agitation peut aussi survenir par manque d'oxygène au cerveau, ou par souffrances physiques mal contrôlées.
Lorsqu'ils viennent au monde, les nouveau-nés entament leur vie par une grande inspiration. Et lorsque vient le moment de quitter l'existence, les humains rendent leur dernier souffle par une ultime expiration ; dans de nombreuses langues, le terme « expirer » est un équivalent de « mourir ».
Elles peuvent se manifester à travers : Attitudes ou comportements : repli sur soi, agressivité, irritabilité, agitation, tension, hypervigilance, etc. Troubles du sommeil, de la digestion, respiratoires, etc. Répétition de certaines paroles comme « je vais mourir », etc.
LES CHANGEMENTS PHYSIQUES
Ce regain n'est pas toujours clairement visible, mais généralement, on peut le constater dans les derniers jours. C'est comme si la personne avait refait le plein d'énergie et le mettait à profit une dernière fois avant de partir pour de bon.
Les lividités cadavériques (ou livor mortis) sont une coloration rouge à violacée de la peau liée à un déplacement passif de la masse sanguine vers les parties déclives du cadavre, qui débute dès l'arrêt de l'écoulement du sang.
Le symbolisme du quarantième jour
Le quarantième jour est perçu comme un temps de transition, où l'âme du défunt achève son voyage vers l'éternité. Il est également considéré comme un moment propice pour la prière et l'offrande de messes en l'honneur du défunt.
Certaines personnes ont peur de mourir au moment de se coucher ou de s'endormir. Elles appréhendent le « lâcher-prise », le moment où elles perdent le contrôle de leur corps. Si vous êtes ainsi vous pouvez penser, consciemment ou non, « j'ai peur de mourir dans mon sommeil » au moment d'éteindre la lumière.
Les êtres chers décédés nous entendent-ils ou nous voient-ils ? Non. Quand on est mort, on entend et on ne voit rien.
Toucher doucement la main, l'épaule ou la tête de la personne mourante est une tendre manière de lui dire « Je suis là. Tu n'es pas seule. » Continuez de parler à la personne mourante même lorsqu'elle n'est plus en mesure de vous répondre. Elle sentira votre présence et entendra votre voix.
Des troubles intellectuels (difficultés à comprendre, à penser, à trouver les mots, à se rappeler) peuvent générer incohérence des propos, confusion et même parfois hallucination ou délire. Les troubles psychiques (dépression, angoisse) peuvent être à l'origine d'un refus de parler.
Mauvaise hygiène de vie
Cet état est provoqué par une mauvaise circulation sanguine. Pour y remédier, pensez à bouger, à changer de position, faire de la marche et surélever les pieds au sommeil. L'apport alimentaire trop riche en sodium induit une rétention d'eau et entraîne des mains et des pieds enflés.
Ces étapes sont les suivantes : le déni, la colère, le marchandage, la dépression et l'acceptation. Chaque personne vit habituellement toutes ces étapes, peu importe l'ordre, en s'adaptant au meilleur de ses capacités et de son rythme.
La perfusion sous cutanée, si elle est mieux tolérée, peut aussi susciter des hématomes, des douleurs au point de ponction, des œdèmes, ou un encombrement. Le maintien de l'hydratation artificielle (même par voie sous cutanée) après arrêt de l'alimentation, risque de prolonger la phase agonique.
L'Esprit se retrouverait alors dans une dimension qui se superposerait à celle de la Terre, dans laquelle son bien-être ou son mal-être correspondrait à son état d'avancement. Il pourrait être proche de nous sur Terre, ou pourrait s'éloigner dans l'espace sidéral.
Cette période de transition est plus ou moins longue et dépend souvent aussi de la vie que chacun a menée. Une fois le jugement prononcé, l'âme peut se rendre soit au paradis, soit en enfer, ou encore être envoyée dans un autre monde, jusqu'à ce qu'elle puisse trouver la paix ou se réincarner.
Plusieurs signes peuvent indiquer que la mort approche. Les fonctions du corps diminuent et se préparent à arrêter : le patient n'a plus faim ni soif, se fatigue rapidement, dort de plus en plus et s'isole. Il est difficile de prévoir le moment exact du décès, car chacun est différent.
Quelle est l'odeur d'un corps mort ? "Les premières heures suivant le décès, le corps a une odeur de viande froide. Cette odeur va évoluer et tendre vers une odeur caractéristique de certains fromages forts comme l'Époisses ou le Maroilles", compare notre interlocuteur.
ÉTAPES DU DEUIL
Lors du deuil, vous éprouverez plusieurs sentiments : choc, négation, colère, culpabilité, tristesse et acceptation. Souvent, vous passerez d'un sentiment à l'autre.
Dans ce cas, la toilette préliminaire faite dans l'établissement pourra être profitable à son travail, par exemple le maintien des yeux et de la bouche fermée retardera le dessèchement des muqueuses (bord des yeux et de bouche) donnant un résultat visiblement difficile à supporter pour les proches.
Sa respiration deviendra souvent irrégulière et ponctuée de pauses. Ces pauses seront souvent suivies de quelques inspirations rapides et profondes. La mort survient lorsque la personne cesse d'inspirer après une pause. Ces changements respiratoires signalent une défaillance du centre de contrôle de la respiration.
Respiration bruyante chez les patients durant les derniers jours de vie qui serait due à l'accumulation de sécrétions dans les voies aériennes. On les entend en général dans les 24 à 48 heures avant le décès.
Le Littré propose : « état dans lequel le malade lutte contre la mort. L'agonie n'a lieu que dans les maladies où la vie s'éteint par degrés. L'agonie des adultes est ordinairement pénible et douloureuse… »