La principale cause de l'interruption de la circulation sanguine est le rétrécissement et le durcissement des artères, ou athérosclérose. L'athérosclérose se caractérise par l'accumulation de plaque de gras à l'intérieur de la paroi d'une artère. Cette accumulation durcit la paroi de l'artère.
Quels sont les signes avant-coureurs d'une crise cardiaque ? Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
Au repos, le cœur se contracte de façon régulière à une fréquence comprise entre 60 et 80 pulsations par minute. Si elle dépasse 100 battements par minute, le patient souffre de tachycardie, parfois douloureuse. Si les contractions sont en plus anarchiques, les spécialistes parlent de fibrillation.
D'après une recherche américaine, les personnes souffrant d'apnée du sommeil présentent un risque beaucoup plus élevé que la normale de mourir d'une crise cardiaque au cours de la nuit.
Le bacon, les saucisses, le salami et les viandes froides sont les pires types de viande pour votre cœur. Ils contiennent de grandes quantités de sel et la plupart sont riches en graisses saturées. En ce qui concerne la charcuterie, la dinde est meilleure, car elle ne contient pas de graisses saturées.
Pour le vérifier des cardiologues, proposent un test qui prend moins de deux minutes et qui ne nécessite pas d'autre matériel qu'un escalier. Comment faire ? Lancez un chronomètre et tentez de monter quatre étages : si vous mettez moins d'une minute, cela signifie que votre cœur est en bonne santé.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
L'activité physique régulière aide à la dilatation des artères, y compris les artères coronaires qui nourrissent le cœur en oxygène. Au moins 30 minutes d'exercice physique chaque jour et en continu sont donc indispensables pour entretenir votre cœur.
Elle affecte surtout les personnes atteintes du diabète et les personnes de plus de 75 ans. Les facteurs qui augmentent le risque de crise cardiaque sont l'âge (les hommes de plus de 45 ans et les femmes de plus de 55 ans y sont davantage sujets), le tabac, le surpoids ou l'obésité, ainsi que l'hypertension.
Mécanisme de l'infarctus du myocarde
C'est à partir de 4-5 heures du matin que sont libérées dans la circulation les hormones du réveil qui entraînent une augmentation physiologique de la fréquence cardiaque , de la tension artérielle et du risque d'infarctus du myocarde .
Comprimez verticalement le sternum en l'enfonçant de 5 à 6 cm. Appuyez avec l'ensemble de votre corps et pas seulement avec vos bras et vos mains. Après chaque pression, laissez la poitrine de la victime reprendre sa position initiale. Cela permet au sang de revenir vers le cœur.
Bras tendus, les jambes bien ancrées au sol, dans le prolongement du bassin donc un peu écartées, vous pliez, vous dépliez. Vous descendez, vous remontez. 30 fois. 30 flexions à un rythme assez soutenu dans la mesure où il faut que ça soit bouclé en 45 secondes.
Le stress n'est bon ni pour le coeur, ni pour les artères. Il active une réaction en chaîne qui favorise les incidents cardiovasculaires graves et les maladies chroniques. Le stress, un facteur de risque cardiovasculaire au même titre que le tabac.
Infarctus du myocarde (IDM)
L'infarctus du myocarde est une nécrose du myocarde se manifestant lorsqu'une ou plusieurs artères coronaires s'obstruent. De ce fait une partie du cœur n'est plus approvisionnée en sang et en oxygène.
Une angiographie coronarienne (aussi appelée coronarographie) est un test qui consiste à prendre des radiographies des artères coronariennes et des vaisseaux qui alimentent le cœur.
Selon une étude publiée dans le European Heart Journal, les personnes s'endormant entre 22 et 23 heures ont un risque plus faible de développer une maladie cardiaque. Se coucher après minuit augmenterait de 25 % le risque cardiovasculaire, se coucher avant 22 heures de 24 %.
S'accorder un temps de repos suffisant après ou entre chaque effort. Eviter les activités par des températures extérieures inférieures à -5 °C ou supérieures à +30 °C, ou encore lors de pics de pollution. Ne pas fumer dans les deux heures qui précèdent ou qui suivent l'activité.
Les signes avant-coureurs de l'arrêt cardiaque
Lorsque la cause est un infarctus du myocarde, le sujet peut présenter, dans les jours ou les heures qui précèdent, une douleur thoracique prolongée pouvant s'étendre jusqu'aux bras, une sensation d'oppression, de serrement voire d'écrasement.