pertes vaginales inhabituelles, pouvant être nauséabondes, ressembler à du pus ou être teintées de sang. douleur durant les relations sexuelles. douleur ou pression dans le bassin, la partie inférieure de l'abdomen, le dos ou les jambes. douleur pendant la miction, difficulté à uriner ou sang dans l'urine.
Des douleurs pelviennes et/ou lombaires sont aussi typiques du cancer de l'utérus à un stade avancé. Elles peuvent être plus ou moins intenses, permanentes ou intermittentes, et survenir ou non au cours des rapports sexuels et/ou durant la miction.
Après un examen clinique et gynécologique, le médecin gynécologue demande des examens complémentaires. La confirmation du diagnostic d'un cancer du col de l'utérus repose sur l'analyse de fragments de tissu (biopsies) prélevés au niveau du col de l'utérus lors d'une colposcopie ou par conisation.
Le frottis du col de l'utérus permet de prélever superficiellement des cellules pour les analyser au microscope et/ou de réaliser un test HPV-HR. Cet examen dépiste un éventuel cancer du col de l'utérus.
Le signe le plus fréquent est la présence d'un saignement d'origine vaginale chez une femme ménopausée, que l'on appelle métrorragies de la ménopause. Ce saignement peut être abondant tout comme il peut être minime. Ainsi même des traces de sang doivent conduire à pratiquer des examens complémentaires.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
On parle généralement de spotting pour désigner de petites pertes de sang qui apparaissent en dehors de vos règles. Ces saignements légers sont courants et généralement bénins. Le spotting correspond à des pertes vaginales de sang bien moins importantes que celles des menstruations.
Le carcinome endométrioïde est le type de cancer du corps de l'utérus le plus souvent rencontré. Lorsqu'il est diagnostiqué à un stade précoce (stade I et stade II) – ce qui représente heureusement la plupart des cas – ses chances de guérison oscillent entre 70 % et 90 %.
Nous savons maintenant que d'autres facteurs de risque (cofacteurs) agissent de concert avec le VPH pour accroître le risque de cancer du col de l'utérus. La majorité des cancers du col de l'utérus apparaît chez des personnes âgées de moins de 50 ans.
Facteur de risque principal : le papillomavirus humain (HPV)
La très grande majorité des cancers du col de l'utérus sont liés aux infections à papillomavirus humain (CIRC, 2018). Ce virus se transmet par contact avec la peau et les muqueuses, souvent lors des rapports sexuels.
Pour établir le stade du cancer de l'utérus, on peut effectuer les analyses biochimiques sanguines suivantes. On peut mesurer les taux d'azote uréique du sang et de créatinine pour vérifier la fonction rénale.
des douleurs dans le bas-ventre, d'un ou des deux côtés du corps, irradiant dans les cuisses et les organes génitaux externes (grandes lèvres en particulier) ou irradiant vers le rectum.
Statistiques des chances de survie du cancer de l'utérus
Mais ces patientes peuvent vivre beaucoup plus longtemps que 5 ans. Le cancer du col de l'utérus présente un pronostic relativement bon, avec une survie nette moyenne à 5 ans estimée aux alentours de 63 %.
On peut administrer seulement une radiothérapie externe ou l'associer à une curiethérapie intracavitaire (type de radiothérapie interne) pour traiter un cancer du col de l'utérus de stade 1. On administre habituellement la radiothérapie 5 jours par semaine pendant 6 à 7 semaines.
Cette propagation porte le nom de métastase. Région de la cavité thoracique située entre les poumons, le sternum et la colonne vertébrale qui contient le coeur, les gros vaisseaux sanguins, le thymus, la trachée, l'oesophage et les ganglions lymphatiques.
stade précoce qui comprend habituellement les stades 1A, 1B et 2A; localement avancé, qui comprend habituellement les stades 2B, 3 et 4A; stade avancé, qui est habituellement le stade 4B.
L'infection par ces virus peut provoquer l'apparition de tumeurs bénignes ou condylomes (= verrues génitales). Celles-ci peuvent être invalidantes et nécessiter un traitement long et récidiver fréquemment.
La chirurgie visant à enlever ces ganglions lymphatiques est appelée curage ganglionnaire, ou lymphadénectomie. On peut faire l'hystérectomie en passant par l'abdomen (hystérectomie abdominale). On peut aussi la faire en passant par le vagin (hystérectomie vaginale), mais cela est moins fréquent.
Chaque année, près de 3000 femmes développent un cancer du col de l'utérus et 1000 femmes en meurent. Le cancer du col de l'utérus est attribuable dans la grande majorité des cas à une infection persistante par un papillomavirus humain (HPV) à haut-risque, infection très fréquente, transmissible par contact sexuel.
S'il la tumeur est cancéreuse et si elle n'est pas traitée (à ce stade, la chirurgie est le traitement principal), elle va évoluer plus ou moins rapidement en fonction de son type et de son grade (agressivité), toutefois, pour un cancer de stade 1 l'espérance/chance de survie est de 100%, si il est traité bien entendu.
Symptômes des saignements utérins anormaux
être de durées variées. durer plus de 8 jours. se produire entre les règles (saignements intermenstruels) impliquer une perte de sang plus importante (perte de plus de 85 ml de sang environ ou des règles qui durent 8 jours ou plus)
En cas de saignements douloureux, inconfortables, abondants ou persistants, une consultation médicale s'impose. Le fait de savoir quand les saignements se produisent, combien de fois ils durent et combien de sang est perdu peut aider le médecin à diagnostiquer la cause exacte.
Ce n'est pas anormal puisqu'il s'agit simplement de sang oxydé provenant de l'endomètre. Les pertes brunes peuvent également être un signe d'ovulation. Dans ce cas les pertes sont plutôt rosées, tirant sur le marron. Lorsque ces pertes ne durent pas, cela est tout à fait normal et inoffensif.
des signes respiratoires, comme une toux, un essoufflement ou une sensation d'oppression dans la poitrine ; des maux de tête, des courbatures, une fatigue inhabituelle ; une perte brutale de l'odorat (sans obstruction nasale), une disparition totale du goût ; une diarrhée.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.