La polysomnographie est un examen médical qui permet l'enregistrement du sommeil, de la ventilation et de mouvements corporels au cours de la nuit.
Enregistrement de la respiration pendant la nuit appelé Polygraphie Ventilatoire, réalisé à domicile ou dans un laboratoire du sommeil. C'est l'examen le plus courant et le plus simple pour diagnostiquer le syndrome d'apnées du sommeil.
Comment se passe une polysomnographie ? Suite à une prescription médicale, le patient est orienté vers un hôpital ou un centre du sommeil. Il est parfois possible d'effectuer les tests à domicile, en ambulatoire. Dans ce cas, on l'appelle polygraphie ventilatoire.
La polysomnographie est un enregistrement du sommeil réalisé soit sur une nuit, soit sur une nuit et une journée.
Comment se déroule l'enregistrement du sommeil ? Deux techniques existent : L'enregistrement polygraphique, à domicile, des mouvements respiratoires thoraciques et abdominaux, ainsi que l'enregistrement des entrées et sorties d'air par les narines, durant 6 heures la nuit ; La polysomnographie.
Le test de maintien de l'éveil permet d'évaluer l'efficacité du traitement d'une maladie du sommeil et aussi d'évaluer la capacité à conduire. Il est effectué pour mesurer la capacité de résistance au sommeil pendant la journée dans une situation monotone.
Le patient doit porter un T-shirt pour accrocher le boitier de l'appareil avec 2 petites pinces métalliques. Les ceintures thoracique et abdominales sont placées.
L'apnée du sommeil peut également jouer un rôle dans l'apparition d'une insuffisance cardiaque. Ainsi, lorsqu'elle n'est pas traitée, l'AOS peut mener à l'insuffisance cardiaque, mais également en aggraver les symptômes.
L'apnée du sommeil augmente le risque d'accidents de la circulation. Saviez-vous que les personnes apnéiques sont 2,5 fois plus susceptibles de provoquer un accident de la circulation que les personnes dont le sommeil est normal ?
Actuellement, l'apnée du sommeil n'est pas reconnue comme une ALD (affection de longue durée) et n'est donc pas prise en charge à 100% par l'Assurance maladie.
La prescription de l'examen de polysomnographie peut être faite par un médecin traitant, un pneumologue, un orthodontiste ou encore un ORL.
La polygraphie respiratoire est définie dans la plupart des cas comme étant une polysomnographie simplifiée comprenant un moins grand nombre de signaux mesurés, le plus souvent sans les paramètres neurophysiologiques, et qui sert surtout à explorer les troubles respiratoires du sommeil.
Le médecin traitant peut vous adresser à un médecin neurologue ou à un centre du sommeil : si l'insomnie s'aggrave ou ne s'améliore pas après une première prise en charge ; s'il suspecte un syndrome d'apnées obstructives du sommeil ou un syndrome des jambes sans repos.
Vous allez porter une canule nasale, ceci nous permet de surveiller votre respiration et de déterminer s'il y a une réduction ou une obstruction de votre débit d'air — c'est-à-dire une apnée. Cela nous indiquera également si vous ronflez, un signe commun d'AOS.
- Dans le cadre de troubles respiratoires du sommeil nécessitant une trachéotomie, un contrôle par polysomnographie ou une polygraphie respiratoire est indiqué avant et après décanulation. - La polygraphie respiratoire n'est pas indiquée dans le diagnostic des troubles respiratoires liés au sommeil hors SAS.
Elles sont dues à des obstructions répétées complètes ou partielles des conduits respiratoires de l'arrière-gorge survenant au cours du sommeil. Cette réduction ou interruption de la ventilation pendant le sommeil provoque un manque en oxygène. Le cerveau réagit et la personne se réveille pour reprendre sa respiration.
Lorsque l'apnée du sommeil n'est pas traitée, le risque d'un second AVC décuple et limite le rétablissement post-AVC.
Réaliser ses activités sportives en matinée ou dans la journée mais pas le soir. Rompre avec les écrans 1 heure avant (compensable avec de la lecture ou de l'écriture) Rompre avec l'alcool 2 heures avant d'aller au lit.
Les personnes qui souffrent de syndrome d'apnée du sommeil se plaignent de somnolence pendant la journée, de maux de tête en se levant, de réveils en sursaut au cours de la nuit, de sueurs nocturnes, de devoir se lever fréquemment la nuit pour uriner, d'irritabilité et d'agressivité, voire d'épisodes dépressifs.
Les médecins considèrent qu'elles sont problématiques lorsqu'il y en a plus de 5 par heure. Dans les cas graves, elles surviennent jusqu'à plus de 30 fois par heure. Ces apnées perturbent le sommeil et se traduisent principalement par une fatigue au réveil, des maux de tête ou une somnolence pendant la journée.
Les complications et effets secondaires, tels que la fatigue diurne, le manque de concentration, les pertes de mémoire, les problèmes d'érection et les maux de tête sont réunis sous le nom de syndrome d'apnée du sommeil et ne font pas qu'altérer énormément la qualité de vie.
[Quatre pictogrammes – Essoufflement inhabituel, Prise de poids rapide, Pieds et chevilles gonflés, Fatigue excessive – apparaissent à l'écran.] Ces 4 symptômes ne doivent pas être pris à la légère. C'est peut-être le signe que votre cœur ne fonctionne plus correctement.
Difficultés à s'endormir; se réveiller la nuit ; anxiété au moment de s'endormir; avoir la sensation de ne pas dormir assez; manquer de sommeil; etc. J'ai tout le temps envie de dormir : ce sont des hypersomnies.
Un sentiment négatif peut être mémorisé puis expurgé durant la nuit. Au contraire, le manque de sommeil peut avoir des effets néfastes sur nos capacités cognitives : il nuit à notre attention et à notre vigilance, réduit nos capacités à ressentir, à imaginer et à créer, affecte notre humeur et nos émotions, etc.