Le Némès est la coiffe la plus emblématique des pharaons qui la porteront de l'Ancien Empire jusqu'à la période ptolémaïque.
On retrouve également la barbe postiche, fixée sur son menton. Ici, le pharaon porte le némès (la coiffe du pharaon) ainsi que la barbe postiche.
La couronne blanche symbolise le pouvoir du pharaon sur la Haute-Egypte. La couronne rouge symbolise le pouvoir du pharaon sur la Basse-Egypte. La double couronne (le pschent) symbolise le pouvoir du pharaon sur les deux Terres (Basse et Haute-Egypte). L'uræus et le vautour : les deux protecteurs du pharaon.
Mot dérivé de l'égyptien pa-sekhemty, qui signifie les « deux puissantes ». C'est le nom de la double couronne qui symbolise l'union de la Haute-Égypte et de la Basse-Égypte et qui était portée par le roi des « deux pays ».
Le Némès est la coiffe la plus emblématique des pharaons qui la porteront de l'Ancien Empire jusqu'à la période ptolémaïque.
L'ultime représentant de l'institution pharaonique proprement dite est le dernier Lagide, Ptolémée XV (dit Césarion), fils de Jules César et de Cléopâtre.
Alors que beaucoup s'attendaient à ce que les restes de Néfertiti, décédée en 1331 av. J. -C., reposent encore dans une grande chambre dissimulée dans la tombe du roi Toutankhamon, l'égyptologue assure que la momie avait en fait été découverte en... 1817.
Le lion et le taureau sont deux animaux qui symbolisent la férocité.
Rarement une femme aura autant intrigué qu'Hatshepsout. Certes, d'autres femmes de pouvoir existèrent avant et après elle, mais jamais une reine n'aura autant marqué son temps et sa civilisation.
Titre donné aux souverains absolus de l'Égypte ancienne.
Trois attributs sont indiqués : en haut, (1) l'uraeus ou cobra, puis, (2) le némès coiffe royale et (3) la barbe postiche. A droite de la tête, on découvre deux insignes royaux croisés : (4) le fléau, (5) le bâton de berger.
Durant l'Egypte Antique, les perruques étaient utilisées pour protéger du soleil les crânes rasés ou pour les cérémonies. Elles étaient alors faites de cheveux naturels, de lin ou de fibres de palmier. Toutes les classes en portaient, mais la matière était différente suivant son rang social.
Hatchepsout est la première femme qui a marqué l'histoire de l'Égypte antique. Fille, sœur et épouse de pharaon, elle a régné de 1479 à 1458 avant Jésus Christ, après la mort de son mari Thoutmôsis II. Sur les fresques, elle est représentée comme un pharaon, avec un pagne et une barbe postiche.
Une série de passages bibliques suggère que le Pharaon de l'Exode meurt noyé dans les eaux dans sa poursuite des Hébreux. Ces derniers traversent la mer à pied ; les Égyptiens les poursuivent mais les eaux reviennent, et recouvrent leurs chars.
Un trouble de la circulation sanguine ? Selon le médecin australien Deb Cohen-Jones, interrogée par le DailyMail, la reine souffrait peut-être d'une maladie vasculaire périphérique, aussi appelée "artériopathie oblitérante des membres inférieurs" (AOMI).
Cléopâtre, Nefertiti, Hatchepsout... Lorsqu'on évoque l'Egypte de l'antiquité, les premières images qui viennent à l'esprit sont celles de ces femmes puissantes qui ont autant marqué leur temps et la postérité que les hommes qui furent leurs contemporains, si ce n'est plus.
Cléopâtre, septième du nom – lequel signifie « la gloire de mon père » –, est issue d'une dynastie d'origine grecque, celle des Lagides, fondée par Ptolémée, fils de Lagos. Elle est la fille de Ptolémée XII Néos Dionysos Aulète, auquel elle succède à l'âge de 18 ans.
Femmes dans l'Histoire : Hatchepsout, la première reine d'Égypte.
Longtemps oubliées des archéologues, ces nécropoles livrent aujourd'hui les vestiges d'une des plus grandes civilisations que la terre ait portée. Les pharaon et reine noirs les plus connus se nommaient Taharqa et Kandake.
Piye devient le premier empereur de la 25e dynastie d'Égypte (v. 770-656 av. J. -C.), la dynastie des « pharaons noirs ».