Il est également possible de formuler une réponse négative en positivant. 'Un tout grand merci pour votre proposition et votre geste, mais je ne peux vraiment y donner suite. ' Vous avez donc plus ou moins neutralisé l'autre, qui plus est en le remerciant. Généralement, il n'insistera plus par la suite.
Dites non dès que possible. Le plus rapidement vous indiquez votre refus, le plus il sera facile pour le destinataire de le recevoir avec l'espoir de recevoir des «oui» de ses autres invités. Remerciez la personne de vous avoir invité. Si vous avez un autre engagement, mentionnez-le au début de votre conversation.
Dites simplement que vous ne pouvez pas, sans vous justifier et sans mentir, au risque de donner l'impression que votre refus n'est pas légitime. Vous avez le droit d'être fatigué, vous avez le droit de vouloir rester chez vous, vous avez le droit de dire non à ce que vous voulez.
# 1 : Dites-le de vive voix
Vous devez assumer votre non et pour cela, le dire en face à face. Bannissez le mail et répondez lorsque vous êtes seul(e) avec la personne et mettez-vous dans une posture d'égal(e) à égal(e). Pas question que l'un soit assis et l'autre debout.
Gardez en tête quelques formules faciles pour affirmer votre refus, comme « je suis désolée mais je ne peux vraiment pas t'aider », ou « non, je ne suis pas disponible », ou encore « non, je ne veux pas ».
Utilisez le “oui mais”
L'astuce : Dites : “Ce sera avec plaisir, oui mais là, tout de suite, ce n'est pas ma priorité. Je suis sur un dossier urgent et important. On verra cela plus tard si tu veux bien”. L'avis de la coach : “Proposez un autre créneau pour voir avec votre chef/collègue le sujet en question.
Par exemple, vous pouvez dire ceci : « Je ne peux plus sortir avec toi. Tu m'énerves, car tu ne fais qu'annuler nos programmes sans m'avertir. » Vous pouvez aussi dire quelque chose de gentil, comme ceci : « J'aime beaucoup sortir avec toi, mais je pense qu'il est temps de m'en aller. »
- La classique : "Désolé(e), mais je préfère qu'on reste amis." - La détournée : "Tu es vraiment un(e) ami(e) précieux(se) pour moi" ou "Qu'est-ce que je ferais sans notre amitié !" Et voici un florilège de phrases à ne PAS dire, au risque de lui accorder des espoirs vains : - "Je ne sais plus où j'en suis..."
Il vaut mieux dire “hum, je ne peux pas” ou “hum, je suis désolé, mais je ne vais pas avoir le temps”. Il vaut mieux dire des phrases comme celle-là que de dire un “non” brut. Donc, si tu dis “je suis désolé, mais je ne vais pas avoir le temps”, ça veut dire “non”, c'est clair, la personne a compris.
Vous pouvez écrire : « Je pense que nous n'avons rien en commun », « Je suis désolé(e), mais je pense que nous sommes trop différents » ou « Tu es très cool, mais tu n'es pas vraiment mon genre. »
Par exemple, chez nous, le jour du film est le mardi. Alors, si en rentrant de l'école, mon fils me dit « Je peux voir un film ? », il me suffit de répondre : « On est jeudi aujourd'hui. », ou encore mieux : « Quel jour on est ? », ce qui lui permet de conclure tout seul…
Cela consiste à exprimer de façon claire et directe ses sentiments et ses besoins aux autres, sans pour autant les frustrer ou à les offusquer. L'assertivité permet de se montrer authentique, sans masquer nos faiblesses ni ses qualités, sans changer son comportement par peur du jugement des autres.
2 ) Dire non renforce la confiance en soi
Formuler un refus devient ainsi un moyen d'affirmer son existence et sa personnalité. En exprimant un « non » clair, on exprime également ses valeurs, on se fait respecter.
#1 Remercie. Si quelqu'un t'adresse une demande à laquelle tu veux répondre par la négative, remercie-le de te faire confiance. Peut-être également pour le fait qu'il a pensé à toi et – si c'est vrai – dis-lui aussi qu'en général tu l'aiderais volontiers, mais que tu dois malheureusement refuser cette fois-ci.
Dites non lorsque vous avez déjà trop à faire.
Si vous vous sentez déjà dépassé, accepter de faire une chose de plus pourrait avoir des conséquences négatives sur votre travail en cours, sur votre bienêtre mental et physique et sur vos relations sociales.
Les risques de ne pas dire non
En échappant au non, les personnes courent de nombreux risques : surcharge mentale, stress, épuisement, non-respect de soi ou encore burn-out. Dans d'autres cas, cela amène à des abus de pouvoir de toutes sortes. D'où l'importance de mettre des limites.
La peur de dire non est liée à une image négative de soi. La peur de dire non repose dans un premier temps sur un « socle affectif » instable. Par ailleurs, il est fréquent que la personne qui ne sait pas dire non, ne sache même pas ce qu'elle veut ou qu'elles sont ses envies ou désirs.
Stop, c'est le moment où tu es capable de dire haut et fort ta propre réalité et de décider ce que tu en fais. Et il n'y a qu'à ce prix que tu peux retrouver ta liberté et prendre les choses en main.