Une vision claire, la capacité d'influencer et de motiver, et de bonnes compétences en matière d'écoute et de communication sont les trois qualités essentielles des grands leaders, selon notre dernière étude Executive Horizons.
Les grands leaders sont loyaux
Etre loyal, ou inspirer la loyauté, revient à avoir de la transparence, de la confiance et de l'authenticité. Les grands leaders s'impliquent avec leurs équipes. Ils rendent compte à ceux qui en font de même et n'hésitent pas à accorder la confiance dans le but d'en avoir en retour.
Les mauvais leaders évitent ou ignorent les conflits
Que ce soit lors d'un conflit direct avec un autre employé ou lorsqu'il est nécessaire de jouer les médiateurs entre deux partis dans une dispute, un leader ne devrait pas prétendre que tout va bien et assumer que les choses vont se régler d'elles-mêmes!
Les leaders sont confiants sans être arrogants
Une caractéristique des grands chefs confiants est qu'ils continuent de demeurer humbles malgré leur succès. Ils ne laissent pas leurs réalisations et leur position d'autorité leur faire croire qu'ils sont meilleurs que quiconque.
Il ne suffit pas d'être un manager ou un patron pour savoir mener une équipe. Être un leader, c'est avoir les compétences, les qualités et les attributs nécessaires pour inspirer et motiver d'autres personnes dans le but de concrétiser une idée ou un projet.
Un leader positif tente de maintenir un climat de travail amical et chaleureux au sein de l'équipe afin de faire émerger le meilleur de chacun de ses membres. Le leader négatif, quant à lui, influence les membres de son équipe par le jugement, le négativisme, l'opposition ou le désintérêt face au projet.
Le leader se doit donc de faire en sorte que son équipe lui fasse confiance ; il doit pour cela donner l'exemple, respecter ses engagements, faire ce qu'il dit et dire ce qu'il fait, soutenir ses collaborateurs y compris lorsqu'ils se trompent, leur porter de l'attention et leur montrer de la reconnaissance en cas de ...
L'objectif est de créer du lien et une certaine harmonie entre les collaborateurs dans un but de cohésion. Cette forme de leadership permet d'accroitre la motivation et le sentiment d'appartenance à un groupe.
Le leader inspirant se distingue également du leader classique comme on peut l'entendre aujourd'hui. C'est toute sa personne qui est engagée et investie. On retrouve ainsi plusieurs qualités inhérentes à ce type de leader comme : La confiance en soi et dans les autres.
Le leadership, un terme emprunté à l'anglais, définit la capacité d'un individu à mener ou conduire d'autres individus ou organisations dans le but d'atteindre certains objectifs. On dira alors qu'un leader est quelqu'un qui est capable de guider, d'influencer et d'inspirer.
Naturellement autoritaire, le leader rassure et inspire confiance. Egalement populaire et charismatique, son influence lui permet de galvaniser les foules. Quand le manager serait un simple gestionnaire, le leader aurait une vision.
Le leadership peut être potentiellement exercé par toute personne, quelle que soit sa position hiérarchique. Le leader peut donc être celui qui a du leadership, ou celui qui est en position d'autorité. L'idéal est la conjonction des deux !
Un leader charismatique doit avoir une vision très claire et savoir la partager avec passion. Plusieurs points doivent être réunis pour qualifier un leader charismatique : la force de conviction, la capacité de mobiliser ses équipes, l'envie de les guider et, surtout, la volonté d'aboutir et de réaliser son projet.
Au-delà des qualités des personnes qui l'exercent, des études soulignent que le leadership efficace se distingue par la possession de capacités mentales et comportementales qui permettent d'atteindre les buts visés, soit la vision, la mobilisation, l'innovation, etc.
Un leader est quelqu'un qui dirige par l'exemple, de sorte que les autres sont motivés à le suivre. Pour être un leader, une personne doit avoir un engagement profond envers l'objectif qu'elle s'efforce d'atteindre, et ce, même si personne ne la suit !
La première catégorie de mauvais leaders est celle des leaders distants. Les leaders distants basent leurs relations avec leur équipe sur l'émotion. La communication n'est pas professionnelle, centrée sur les émotions et les ressentis. Le doute et le scepticisme sont roi et sapent les bases de la confiance.
Appuyez-vous sur lui en lui donnant la parole en premier sur un sujet délicat en réunion par exemple. C'est un bon soutien. Passez-lui le relais lorsque vous devez vous absenter, au début pendant de brèves durées afin de le tester. Veillez auparavant à clarifier son rôle et ses missions pour éviter toute ambiguïté.
Un leader se remet toujours en question : loin de considérer ses idées comme les meilleures et ses compétences comme acquises, il prend du recul, remet les situations en perspective et cherche lui-même à progresser. Ainsi, il s'applique avant tout à lui-même ce qu'il demande à ses équipes.
Tout comme Lewin, Likert fait le constat que le leadership participatif ou démocratique est le plus efficace. Selon les chercheurs, favoriser la coopération entre les salariés et la prise d'initiatives individuelles seraient ainsi le système le plus efficace en management des équipes en entreprise.