Vous pouvez être convoqué par courrier envoyé ou remis en main propre ou par téléphone. Le lieu, la date et l'horaire de convocation vous sont indiqués. Les auditions ont le plus souvent lieu au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie.
Comment est-on convoqué par la gendarmerie ? Les convocations sont envoyées par courrier ou remises en main propre à la personne concernée. Sur ce courrier, on trouve quelques grandes informations comme l'heure, la date de rendez-vous, l'adresse de l'établissement et parfois, le motif de la convocation.
Vous recevrez votre convocation aux épreuves de sélection après votre participation à la session d'information et d'entretien de recrutement dans un délai pouvant aller de plusieurs semaines à quelques mois selon les centres de sélection.
Arnaque à la convocation pour pédopornographie : un gendarme reçoit un faux mail signé de son nom. Le chef de la brigade numérique de la gendarmerie de Rennes a reçu une fausse convocation qui était illégalement signée en son nom. Une tentative d'escroquerie qui se développe depuis plusieurs années.
Si l'objet n'est pas indiqué sur la convocation, c'est que vous êtes convoqué en qualité de simple témoin. Les motifs précis de la convocation vous seront précisés sur place. Vous pouvez toutefois prendre attache préalablement avec l'enquêteur afin d'essayer d'obtenir plus de renseignements.
Pourquoi suis-je convoqué au commissariat de police ou à la gendarmerie ? Vous pouvez être convoqué pour plusieurs raisons dans le cadre d'une enquête pénale (enquête préliminaire, enquête de flagrance ou information judiciaire ouverte auprès d'un juge d'instruction) : en tant que mis en cause dans une affaire pénale.
L'envoi d'une convocation en elle-même n'est pas automatique et dépend du type de procédure. Exemple : l'assignation délivrée par huissier au défendeur l'informe et vaut convocation devant le tribunal. Dûment informé, il doit se présenter devant le tribunal sans que celui-ci ne le convoque directement.
Le motif de la convocation ne figure pas sur le courrier qui indique simplement le jour et l'heure du rendez-vous fixé. En cas d'empêchement, vous pouvez tenter de modifier le jour ou l'horaire de convocation. En revanche, votre interlocuteur n'est pas obligé de vous communiquer la raison de votre convocation.
Pour conclure, après le dépôt d'une plainte, la victime, l'auteur des faits et les témoins peuvent être convoqués si l'acte aboutit à l'engagement des poursuites. Toutefois, la loi pénale n'impose aucun délai de convocation.
Si quelqu'un porte plainte contre vous, vous en serez informé par écrit ou par téléphone. Les forces de l'ordre vous communiqueront l'identité de la personne qui vous met en cause et le motif de la plainte.
Appelez la police.
Si vous appelez la police et que vous êtes suivi, par un détective privé par exemple, il pourrait être entendu par les services et vous serez informé du déroulement de l'enquête. Si vous êtes suivi, dans le cadre d'une enquête, la filature pourrait s'arrêter.
En cas d'urgence, et uniquement dans cette situation, il est possible d'alerter la police ou la gendarmerie par appel téléphonique, ou par SMS, si vous êtes dans l'incapacité de parler.
Les convocations aux épreuves écrites et/ou orales sont généralement envoyées 2 à 3 semaines avant la date de la première épreuve.
Dans ce cas, le juge doit envoyer une convocation soit par lettre recommandée, soit par une notification transmise par un officier de police judiciaire. Cette lettre ou cette notification indique les faits pour lesquels la personne est mise en cause, la date et l'heure de la convocation.
Une personne peut être mise en garde à vue uniquement s'il lui est reproché un crime : Infraction la plus grave punissable par une peine de prison (homicide volontaire ou viol par exemple) ou un délit : Acte interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans puni d'une peine ...
Pourquoi je reçois des mails de la gendarmerie ? Ces mails frauduleux, présentés comme une convocation avec l'en-tête de la gendarmerie. Sauf qu'il n'en est rien, le but est de soutirer de l'argent aux futures victimes, en prétextant qu'elles ont commis des crimes.
« Une nouvelle vague d'envoi de courriels frauduleux au nom de la police nationale concernant une convocation « JUDICIAIRE » est en cours. Il s'agit de FAUX. Ne répondez pas », préviennent les forces de l'ordre de la Sarthe.
"Les données collectées font l'objet d'un traitement par la gendarmerie et la police nationales appelé PeSMS (Plateforme d'Envoi de SMS) Ce service permet aux gendarmes et policiers d'envoyer des SMS vers des particuliers et professionnels (élus, acteurs de la sécurité, commerçants...etc) dans un cadre de prévention et ...
Vous pouvez adresser une demande au ministère de l'intérieur pour accéder à vos informations personnelles. La demande se fait par courrier. Vous devez préciser le ou les fichiers auxquels vous souhaitez avoir accès. Joignez une copie d'un titre d'identité signé.
Faire un signalement sur la plateforme PHAROS
Vous pouvez également signaler un mail frauduleux ou un site au contenu illicite sur la plateforme PHAROS (Plateforme d'Harmonisation, d'Analyse, de Recoupement et d'Orientation des Signalements) à l'adresse suivante : www.internet-signalement.gouv.fr.
Motifs de la convocation
Témoigner sur des faits auxquels vous avez pu assister. Témoigner et donner des renseignements sur une personne dans une enquête pénale en cours.
Seules les condamnations figurent au casier judiciaire. Une plainte est considérée par le Procureur de la République : - soit il la classe pour divers motifs : absence d'infraction caractérisée, faible portée du préjudice laissant au plaignant le soin de poursuivre lui-même l'affaire s'il l'estime nécessaire ...
Il peut prendre une décision de classement sans suite. Il n'y a alors ni enquête, ni procès, ni mesures alternatives aux poursuites. Un avis de classement sans suite est transmis au plaignant. Il indique le motif pour lequel le procureur de la République a pris une décision de classement.
Ce refus peut entraîner une peine de deux ans d' emprisonnement, 4.500€ d'amende, une suspension du permis de conduire pour une durée de trois ans, l'annulation du permis de conduire et six points de permis.