Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” ? L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
Donc à travers la provocation, la personne cherche vraiment de la reconnaissance, quitte à prendre le risque d'être mal perçue. C'est aussi vrai chez les adolescents qui utilisent la provocation comme moyen de s'affirmer, de se construire, et aussi de s'émanciper d'un modèle parental très présent.
Il s'agit de répondre à une moquerie en utilisant une réponse qui n'a rien à voir avec la moquerie et la situation. Si l'interlocuteur dit à votre patient “tu as l'air ridicule avec tes fringues !”, alors votre patient peut répondre : “Oui, justement je me promenais hier sur les quais , j'ai vu les mouettes.
Attitude n°3 : Se tenir droit dans ses bottes
La fermeté est une autre arme puissante pour déstabiliser les moqueurs car le but ultime de ces derniers est de vous faire douter de vous, de vos capacités… En ayant une attitude ferme vous aurez le dessus sur tout ce que votre interlocuteur aura à vous dire.
Dans le cadre de la gestion des conflits, il n'est pas toujours conseillé de répondre aux provocations des harceleurs, il faut apprendre à mettre fin à la discussion de la façon la plus calme possible, par exemple : Demander à la personne de quitter votre bureau parce que vous devez passer un appel urgent.
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.
Pardonner revient à dire à la personne qui vous a fait du mal : « Je crois que vous valez mieux que le mal que vous m'avez fait ». C'est la position à laquelle il nous faudrait aspirer, celle de confiance en l'humain. Elle apporte une grande paix et un abaissement important du niveau de tension intérieure.
Parlez à la première personne du singulier.
Parler en « je » vous permettra d'assumer vos sentiments : « j'ai été blessée que tu ais oublié mon anniversaire la semaine dernière ». Les formules en « tu », au contraire, amèneront facilement votre interlocuteur à se sentir attaqué : « tu ne t'intéresses pas à moi !
Quand quelqu'un fait quelque chose que nous trouvons blessant ou trop gênant, nous devrions pouvoir l'exprimer de manière claire et concise. Cela ne doit pas être vague (par exemple : « tu es méchant ») mais spécifique (par exemple : « cela m'embête que tu me taquines à chaque fois sur mon poids »).
En cas de domination non frontale, vous diffusez avec politesse mais en étant ferme. En cas de domination frontale, donnez la chance à la personne qui vous attaque de faire marche arrière en utilisant l'humour une fois, et si elle ne comprend pas, vous pouvez y aller et contre-attaquer.
La manipulation repose sur des demandes masquées
Ainsi, une bonne technique de contre-manipulation est de faire préciser à la personne ce qu'elle attend de nous puis d'y répondre, par oui ou par non, en donnant éventuellement une raison claire et simple, mais sans justification.
Faites l'effort de découvrir quelle est sa réelle personnalité. Trouvez des choses que vous avez en commun et partez de là. Montrez-vous respectueux. Posez les questions de base lorsque la personne vous rend visite, à l'image de « As-tu faim ? » « Voudrais-tu boire quelque chose ? » ou « As-tu froid ? »
Pour ignorer quelqu'un en changeant vos habitudes, la façon la plus simple est d'emprunter de nouveaux itinéraires afin de ne plus croiser cette personne. Si vous croisez toujours cette personne entre deux cours, prenez un chemin plus long pour vous rendre en classe afin de ne pas voir cette personne.
Lorsqu'une personne est traitée par le silence, le cortex cingulaire antérieur du cerveau est activé. Cela signifie que lorsque nous sommes ignorés, le cerveau dit que nous souffrons physiquement. Certains symptômes peuvent être des maux de tête, des douleurs à l'estomac, de l'insomnie, de l'anxiété et de la fatigue.
Exprimez-vous en disant : « s'il te plait », « excuse-moi » et « merci ». Montrez donc les bonnes manières à la personne tout en maintenant une attitude quelque peu ferme. Cela lui permettra de se rendre compte que vous n'êtes pas hostile, mais plutôt que vous ne voulez pas avoir beaucoup affaire à elle.
provocateur, provocatrice
Personne qui incite à la violence, qui cherche à provoquer un affrontement, du désordre : Cet élève est un provocateur. 2. Personne qui s'infiltre dans un organisme ou une manifestation à la seule fin de commettre des actes qui justifieraient des représailles.
Dans ce cas précis, il vous suffit d'accepter simplement avec un sourire et de ne pas relancer. Ainsi, vous pouvez tout simplement répondre par « Tant mieux, cela semble résolu alors autant passer à chose » avec un sourire.
Le diagnostic repose sur l'anamnèse. Le traitement repose sur la psychothérapie individuelle associée à une thérapie familiale (incluant la personne ayant la charge de l'enfant). Parfois, des médicaments peuvent être utilisés pour réduire l'irritabilité.